ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
PROJETS DE
DÉVELOPPEMENT LOCAL INTÉGRÉ, ÉCOLOGIQUE, DURABLE, ET AUTOFINANCÉ.
Cette
œuvre a été mise à la disposition du public général aux termes d’une licence
Creative Commons
Attribution-Non-commercial-Share Alike
3.0 Licence.
Édition
05 : 17 Décembre, 2013.
Sommaires et descriptions du projet.
Description
du projet pour les bailleurs de fonds.
Incorporant l´éducation à l´hygiène, la fourniture en eau
potable, l´assainissement, structures pour la santé et l’éducation, la sécurité
alimentaire et l’adaptation aux changements climatiques à travers la formation
de structures sociales, financières et productives locales autogérées.
Coût
total éligible de l’action : € 13.750.000
Montant demandé aux bailleurs de fonds:
€ 7.976.531
% du coût total éligible de l’action: 58,01 %
Durée de l’action: 24
mois
Objectifs globaux:
Développement intégré durable à travers la
formation de structures innovatrices sociales, financières, productives et de
service à bénéfice de tous les habitants de la zone du projet, y compris des
services d’alimentation en eau potable, d’assainissement, et d’éducation à
l’hygiène, la santé, l’éducation, la sécurité alimentaire et l’adaptation aux
changements climatiques.
Objectifs spécifiques:
Une gamme entière de
structures sociales, financières et productives autogérées, y comprises 288
clubs d’éducation à l’hygiène et des cours d’éducation à l’hygiène aux écoles ;
288 structures locales, et 41 systèmes à moyen niveau, alimentation en eau
potable à 104 forages et 288 points d’eau; 11155 systèmes d’assainissement
éco-sanitaires auprès des ménages; 288 écoles primaires, 41 écoles secondaires,
288 salles d’études, 288 centres infirmiers, 41 centres médicaux, nombreuses
installations d’éclairage photovoltaïque, 329 pépinières, 288 services de
meunier, etc.
Mise en œuvre :
Partenaire(s):
(Nommer les partenaires) .
Groupe cible:
La population entière sans aucune exclusion de
Bénéficiaires finaux:
La population entière de
Les
objectifs à long terme de ce projet de développement intégré comprennent :
01. Faciliter une
amélioration continue de la qualité de vie et de la santé des usagers.
02. Établir une économie locale dans le zone du projet qui soit autonome,
coopérative, sans intérêts financiers et sans inflation.
03. Éliminer les fuites
financières de la zone du projet..
04.Dédier les ressources humaines dans la zone du projet à la production et
au développement locaux.
05. Réduire l’incidence des maladies d’origine hydraulique , de la malaria et d’autres maladies
infectieuses
06. La réduction de la mortalité infantile et la promotion du planning
familial.
07. L'amélioration du niveau de la scolarité pour tous, surtout celui des
jeunes filles et des femmes.
09. La contribution active à la réduction de la déforestation et à la lutte contre l’augmentation des la
température globale mondiale et
pour réaliser l’adaptation
de la Commune de Tougan aux changements climatiques.
10.
La création de valeur ajoutée à travers la création des structures de
recyclage des urines, de l'excréta et des ordures solides (assainissement).
11. La création d'une culture d'entretien et de conservation des
investissements réalisés.
12. La promotion des droits des femmes et la participation majoritaire de femmes à
toutes les structures du projet.
13. Assurer à tous les habitants de la zone du
projet une activité coopérative productive à plein temps. (“Travail à pleines journées”)
14. Contribuer à arrêter l’émigration des zones rurales aux grandes villes.
15. Dépasser les objectifs du Millénaire dans la zone du projet à l’exclusion des vaccinations et de la médecine curative et quelques aspects de l’objectif 8 lesquels n’ont rien à faire avec le développement local.
1.6 Résultats attendus.
Les résultats minimums
directs attendus qui sont automatiquement couverts de ce projet comprennent :
Structures
sociales.
La création de structures sociales commissions réservoir,
commissions intermédiaires, commission centrale démocratiques de préférence avec une participation active des
femmes .
01. 288 clubs de santé communautaires créés et fonctionnels dans la zone du projet; cours permanents d’éducation
à l’hygiène auprès de 329 écoles.
02. 288 commissions réservoir à 5-7 membres établies et fonctionnelles, chacune à service de +/- 40
familles (266 personnes).
03. 41 288 commissions intermédiaires à 5-9 membres établies et fonctionnelles chacune à service de 270 familles
(1865 personnes).
04. Une commission centrale à 41 membres créée et fonctionnelle à service de la zone entière du projet
(11155 ménages; 76.740 personnes).
Structures financières pour
combattre la crise financière et les épargnes y
relatives.
05. Une structure coopérative locale d’échange locale SEL-LETS créée et fonctionnelle à
service des 288 zones de développement local, des 41 zones de
développement intermédiaire, et de la zone entière du projet.
06. Une structure coopérative de microcrédit sans intérêts créée et fonctionnelle à service des 288 zones de développement local, des 45 zones de développement
intermédiaire, et de la zone entière du projet.
07. Divers coopératives d’achat créées et en fonctionnelle à service des 288 zones de développement local, des 45 zones de développement
intermédiaire, et de la zone entière du projet. (Groupes volontaires d’achat,
médicaments, éducation, systèmes PV domestiques etc.).
Structures de sécurité sociale.
09. Un système de sécurité sociale
est créé et en
fonctionnel à service des 288 zones de
développement local, des 41 zones de développement intermédiaire, et de la zone
entière du projet.
Eau et l'assainissement et épargnes y relatives.
10. Un système individuel d’assainissement installé dans chacune des 11.155
habitations et dans les lieux publics et les écoles.
11. 104 forages à plusieurs pompes forés et équipés d’une
installation à trois unités de pompage manuel et d’une aire de lavage. Bénéfice
des aires à lavage 4 heures/femme par
semaine = +/- € 693.756 par an.
13. 288 réservoirs à eau chacun installé dans un radius de
14. 11.115 systèmes domestiques de récolte de l’eau pluviale un système produit
localement et installé pour chacun des habitations individuelles dans la zone
du projet.
15. Un système efficient de drainage des eaux pluviales installé et en
fonction des 288 centres habités.
16. +/- 1000 réservoirs à 15m3 pour la
récolte de l’eau pluviale installés sur les terrains agricoles pour la
micro-irrigation.
Recyclage des urines, de l'excréta et des
ordures solides (assainissement) et les épargnes y relatives.
17. (288) systèmes pour la récolte et recyclage des déchets établis et en
fonction au niveau des commissions de développement local.
18. (41) systèmes pour la récolte et recyclage des déchets établis et en fonction
au niveau des commissions intermédiaires de développement.
19. Un système pour la récolte et recyclage des ordures établi et en
fonction au niveau du projet.
20. Épargne des coûts des engrais.
21. 288 Infermières locales fournies d’habitation, en fonction (et
éventuellement payées) au niveau du développement local.
22. 41 Centres médication pour médecins construits au niveau intermédiaire,
et en fonction selon la disponibilité de personnel qualifié.
23. Plan rédigé pour la construction et mise en œuvre d’un hôpital de base
au niveau du projet. Construction, entretien, et quelques services dans le
cadre du système de monnaie locale établi.
24. Réduction des frais de traitement médical traitement
pour maladies portées de l’eau, 50% de la population (25.000 partie de 50.000)
au moins une fois par an par le coût
moyen pour les médicaments et pour le médecin €
20 = 38.370 x € 20 = €
767.400.
27. Augmentation
de la productivité due à la réduction de l’incidence de la malaria :
29. 41 ambulances à vélo construites localement avec personnel, une pour chaque commission
intermédiaire de développement.
30. 3 voitures à ambulance qui fonctionnent sur le
bio-fuels produits localement au niveau du projet.
31. 288 Écoles élémentaires construites au niveau de commission de
développement local et fournies d’enseignants.
32. 41 Écoles secondaires construites ai niveau de commission intermédiaire
et fournies d’enseignants.
33. Une école métiers construite au niveau du projet et fournie
d’enseignants.
34. Un cours universitaire préparatoire au niveau du projet et fournie
d’enseignants
35. 288 écoles élémentaires, 41) écoles secondaires, 1 école métiers et(1
facilité de cours préliminaire équipées de structures d’éclairage
photovoltaïque.
36. 288 salles d’études construites au niveau des commissions réservoir.
37. 288 salles d’études équipées d’éclairage photovoltaïque.
38. 288 cours permanents du soir à faveur des adultes (surtout des femmes) fournis
d’enseignants et en fonction.
Foyers de cuisine améliorés et les épargnes y relatives.
39. Au moins 11.155 foyers de cuisine améliorés produits localement,
distribués, et en fonction.
40. Élimination de la corvée de bois : 60% des familles
(soit 60% de 11.155 familles ou 6.693 familles)
x 4 heures par semaine (soit 40%
d’une journée à dix heures de travail) x revenu € 3 par jour, soit € 1,20 par semaine par famille. € 1,20 par semaine x 6.693 femmes = € 8031 par semaine, soit € 472.000 par an.
42% des familles (soit 40% de 11.155 soit 4.462). Pour le bois en ville
[centre plus grand], une famille de 7 personnes consomme environ 500 CFA ( +/- € 0,75) de bois par jour. Réduction
65% à travers l’utilisation des foyers améliorés + Cfa 325 (soit € 0,50) par
famille par jour. 4462 familles x € 0,50 x
365 = € 814.000.
43.
Reforestation “automatique”
Agriculture et la sécurité alimentaire et les épargnes y
relatives.
43. 288 pépinières établies au niveau des commissions
réservoir et en fonction.
44. 41 pépinières établies au niveau des commissions
intermédiaire et en fonction.
45. Réduction des frais du traitement de personnes
souffrant la faim, ou du à l’hygiène inadéquate, ou causés par la fumée à
l’intérieur et à l’extérieur des habitations : 25% de la population au
moins une fois par an x un coût moyens
pour médicaments et médecins € 20 = 19185 x
€ 20 = € 383.700.
47. 288 Facilités pour le
stockage des aliments construites au niveau de chaque commission réservoir avec
personnel et en fonctionnelles.
48. 41 Facilités pour le stockage
des aliments construites au niveau intermédiaire avec personnel et en fonction.
72. 1 Coordonnateur central gestion stockage aliments.
49. La valeur des bénéfices alimentaires de la plantation de 600.000 arbres
à fruit ou à noix, 400.000 plantes de
bambou (pour pousses de bambou et utilisation générale), 1.440.000 arbres de Moringa
(feuilles « à épinards » comestibles), afforestation à espèces
traditionnelles 1.200.000 arbres.
50. 41 Banques de semences créées et en fonction a niveau des commission
intermédiaires.
51. Une banque de semences créée au niveau du projet et en fonction.
Meuneries et épargnes y relatives.
52. 288 meuneries manuelles établies et en fonction à niveau local de
développement.
53. Épargne de temps des femmes et jeunes filles pour la
préparation des aliments sur une base typique de
€ 1.832.000.
Activités agro-forestières et biomasse pour la production de
mini-briquettes pour les fourneaux améliorés.
54. 576 contrats pour la fourniture de biomasse pour la production
des mini briquettes pour les foyers et en cours d’exécution.
55. Un projet démonstration pour le reforestation et parc
naturels utilisant des espèces natives établi et en cours
d’exécution. 1.200.000 arbres (400
arbres par hectare sur
57. 288 initiatives au niveau de développement
local pour les plantations de bambou sur le
prairies ou terres de récolte planifiées et en cours de mise en
œuvre. Superficie moyenne de
58.
288 activités
agro-forestières à petite échelle – plantations à démonstration et à
utilisation exclusivement locale, y comprises les plantation de Moring sur les terres marginales. Superficie moyenne
59.
288 activités pour la plantation, récolte et distribution
d’huile de Jatropha. Superficie moyenne
par activité
Éclairage
photovoltaïque à faveur des études ; éclairage et réfrigération dans les
cliniques et les épargne y relatives.
60. 288
Systèmes éclairage à 200 Wc un système installé dans
chacune des 288 écoles élémentaires au niveau local de développement.
61.
288 Systèmes éclairage à 200 Wc un système installé
dans chacune des 288 salles d’études au niveau local de développement.
62.
41 Systèmes éclairage à 400 Wc un système installé dans chacune des 41 écoles
secondaires au niveau intermédiaire de développement.
63.
41 Systèmes éclairage à 400 Wc un système installé dans chacune des 41 cliniques au
niveau intermédiaire de développement.
64.
41 Systèmes de réfrigération à 400 Wc pour vaccines et médicaments un système installé au
niveau intermédiaire de développement.
Transport et communications.
65.
66. 288 unités de radiotéléphone
ou équivalent établies et fonctionnelles au niveau de commission réservoir.
67.
Une station radio locale établie, avec personnel,
et fonctionnelle.
Unités
de production.
68.
4 unités coopératives de production d'articles en
composites de gypse construites et opératives.
69.
41 unités coopératives pour la production des mini briquettes pour les
foyers construites et opératives au niveau de développement
intermédiaire.
70
Une coopérative pour l’installation et l’entretien des
services de fourniture en eau potable établie et opérative.
71
Unité production
Principales activités:
Formation à travers d’une série d’ateliers Moraisiens,
des structures sociales, financières et productives nécessaires à la création
d’une économie coopérative locale sans intérêts et sans inflation; les
activités des clubs d’hygiène mis en place ; les leçons d’éducation à l’hygiène
aux écoles ; la production, l’installation et la gestion autonome de
structures d’alimentation en eau potable distribuée pour tous; la production
l’installation et la gestion autonome de structures d’assainissement éco
-sanitaires à compostage à sec pour tous ; et tous les services de base
nécessaires à une bonne qualité de vie y comprise l’ élimination du chômage.
Les contraintes graves y
comprennent :
Sol : Dégradation
et insuffisance des terres cultivables avec une baisse des rendements agricoles
variant entre 700 et 1000 kg /ha.
Eau : Volume
pluviométrique (
Assainissement :
manque générale de structures d’assainissement et surtout de latrines.
Éducation :
Insuffisance de salles de classe et de logements pour les enseignants ;
absence d’écoles dans certains villages ; classes avec 75-100
élèves ; absence de centres de formation professionnelle.
Santé :
insuffisance de centres sanitaires (7 fonctionnels pour 76.740 habitants) avec
seuls 3 médecins et 17 infirmiers, état chaotique des routes qui rende difficile
les évacuations et l’accessibilité aux soins.
Investissements agro-sylvo-pastoral et halieutique : il n’y a que
Investissements de
soutien à la population, surtout jeunes : chômage et émigration des
jeunes, absence de marché à bétail, absence de foires et infrastructures
marchandes, insuffisance d’infrastructures d’accueil et restauration, absence
de voies bitumées, état chaotique du réseau routier, manque d’alphabétisation
de la majeure partie de la population, y compris le 70% des conseillers
municipaux.
Budget : faiblesse
du budget communal, étroitesse de l’assiette fiscale.
2 b) Solutions aux besoins et contraintes.
On fait face aux besoins
et contraintes de
Sol : On combatte la dégradation et insuffisance
des terres cultivables à travers le recyclage des déchets, le plantage de
600.000 arbres à fruit et/ou à noix, de 400.000 plantes de bambou (pousses de bambou), de 1.440.000 arbres de Moringa (feuilles « à épinards »
comestibles) ; par l’afforestation à espèces traditionnelles 1.200.000
arbres. Le projet ne prévoit aucune
irrigation industrielle.
Eau : On combatte l’insuffisance pluviométrique et mauvaise
répartition dans le temps des pluies à travers le creusement de 104 forages équipés de trois unités de pompage manuel, la
fourniture de 288 systèmes de pompage solaire PV à haute pression et de 288
points eau chacun installé dans un radius de 150-
Assainissement : on
installe un système individuel d’assainissement
dans chacune des 11.115 habitations, et
on fournit des toilettes publiques dans les lieux publics, les écoles et
les cliniques.
Éducation : On construit 288 écoles élémentaires,
enseignants et, éventuellement, logements pour les enseignants ; 41 écoles
secondaires construites et fournies d’enseignants éventuellement avec
logements ; une école métiers construite au niveau du projet et fournie
d’enseignants éventuellement avec logements; un cours universitaire
préparatoire au niveau du projet et fournie d’enseignants . Les 288 écoles
élémentaires, 41 écoles secondaires, 1 école métiers et 1 facilité de cours
préliminaire sont toutes équipées de structures d’éclairage photovoltaïque; on
construit 288 salles d’études construites et les équipe d’éclairage
photovoltaïque ; on organise 288 groupes de cours permanents du soir à
faveur des adultes (surtout des femmes) et les enseignants nécessaires, le case
échéant avec logements. On prévoit 17-20 élèves par classe. Les enseignants
seront en principe des étudiant(e)s gradué(e)s originaires de
Santé : On fournit de logements à 288 infirmières au niveau de base, 41 centres médication construits et fonctionnels au
niveau intermédiaire, un plan rédigé pour la construction et mise en œuvre d’un
hôpital de base au niveau du projet. Médecins pour les centres médiques seront
engagés selon leur disponibilité, probablement sur un terme plus long.
(Demander assistance à Cuba ?) Réduction importante de l’incidence de maladies portées de l’eau et de la malaria; 41 ambulances à vélo
construites localement avec
personnel ; 3 voitures à ambulance à bio-fuels locaux pour le transport
des cas urgents. Le projet ne prévoit ni
vaccinations ni médicaments, causes de fuites financières de
Investissements agro-sylvo-pastoral et halieutique : on prévoit le plantage de
600.000 arbres à fruit et/ou à noix, de 400.000 plantes de bambou (ou
équivalent), de 1.440.000 arbres de Moringa (feuilles
« à épinards » comestibles) ; afforestation à espèces
traditionnelles 1.200.000 arbres. En ce que concerne l’élevage, le projet ne
s’intéressera directement que de la volaille et éventuellement de porcins pour
le recyclage des déchets organiques au niveau des commissions réservoir. La
production de la viande n’est pas en principe indiquée pour
Pour favoriser les
Investissements de soutien à la population, surtout jeunes : on éliminera
le chômage et émigration des jeunes en créant presque 9000 occupations
productives, éliminant la fuite de la population vers les grandes villes et
encourageant le retour des émigrés à
Investissements de soutien à la population,
surtout jeunes : chômage et émigration des jeunes, absence de marché à
bétail, absence de foires et infrastructures marchandes, insuffisance d’infrastructures
d’accueil et restauration, absence de voies bitumées, état chaotique du réseau
routier, manque d’alphabétisation de la majeure partie de la population, y
compris le 70% des conseillers municipaux, à travers la construction de 288
écoles élémentaires, 41 écoles secondaires, une école métiers, un cours
universitaire préparatoire au niveau du projet et 288 groupes de cours permanents du soir à
faveur des adultes (surtout des femmes) et 288 salles d’étude. Toutes les
écoles et salles seront fournies d’éclairage photovoltaïque. On trouvera les
enseignants nécessaires parmi les jeunes diplômés en chômage local et parmi
ceux qui sont émigrés vers les grandes villes. Le cas échéant, on les fournir
tous de logements.
On combattra la faiblesse du budget communal et l‘étroitesse de son assiette fiscale en
tenant moyens en CFA roulant dans
2 c).
Rapport aux objectifs et aux principes directeurs énoncés dans (nom de
l’appel).
(Adapter selon les exigences
des priorités énoncées dans le programme du bailleur de fonds)
La proposition réponde
de façon particulièrement innovatrice aux principes directeurs énoncés dans
(nommer l’Appel de Propositions). Elle prévoit le développement de nombreuses
infrastructures sociales, financières, productives et de service physiques et
durables permanentes qui deviennent propriété des habitants locaux, à la
gestion desquelles les femmes jouent un rôle déterminant. Les habitants
participent à la conceptualisation, à la mise en œuvre et au contrôle du
projet. Ils organisent, administrent et maintiennent aux propres frais de façon
durable toutes les structures mises en place. La contribution mensuelle faite
par chaque famille dans le Fonds Coopératif de Développement Local à couverture
de la fourniture des tous les services de base est à la portée des familles les
plus pauvres à travers un système de sécurité (garantie) financière à trois
niveaux qui fait parti intégré des structures créées. Le projet établit une
économie locale complète qui est volontaire, coopérative, sans intérêts, sans
inflation et entièrement gérée par la communauté elle-même. Cette économie
locale fonctionne paisiblement en parallèle à celle formelle existante. Elle ne
se substitue pas à celle formelle. Les habitants restent toujours libres à
choisir de faire chaque transaction dans le cadre du système local ou bien du
celui formel.
2 d)
liste des groupes cibles et nombre estimé de bénéficiaires directs et
indirects.
Zone intermédiaire |
Localité |
Habitants (2014) |
3/jour |
Forages |
Pompes manuelles |
Pompes solaires |
Watts |
Écoles/santé |
Watts |
Basbatenga. |
Basbatenga |
01194 |
0035 |
02 |
003 |
004 |
001200 |
006 |
001900 |
|
Kirstenga |
00582 |
0015 |
01 |
003 |
002 |
000600 |
002 |
000600 |
Boare. |
Boare |
01476 |
0040 |
02 |
006 |
006 |
001800 |
008 |
002500 |
Bonou. |
Bonou |
01920 |
0050 |
02 |
006 |
007 |
002100 |
009 |
003800 |
|
Toaga |
01062 |
0030 |
01 |
003 |
004 |
001200 |
004 |
001200 |
Boussoum Est. |
Boussoum Est |
01918 |
0050 |
02 |
006 |
007 |
002100 |
009 |
002800 |
Boussoum Ouest |
Boussoum Ouest |
01900 |
0050 |
02 |
006 |
007 |
002100 |
009 |
002800 |
Da Nord. |
Da Nord |
01554 |
0040 |
02 |
006 |
006 |
001800 |
008 |
002500 |
Da Sud. |
Da Sud |
01000 |
0025 |
02 |
006 |
004 |
001200 |
006 |
001900 |
|
Wattinoma |
00194 |
0005 |
01 |
001 |
001 |
000300 |
001 |
000300 |
|
Zinzin |
00590 |
0015 |
01 |
003 |
002 |
000600 |
002 |
000600 |
Daka Est. |
Daka Est |
01700 |
0045 |
02 |
006 |
006 |
001800 |
008 |
002500 |
Daka Ouest. |
Daka Ouest |
01711 |
0045 |
02 |
006 |
006 |
001800 |
008 |
002500 |
Diouroum Nord. |
Diouroum Nord |
01500 |
0040 |
02 |
006 |
006 |
001800 |
008 |
002500 |
Diouroum Sud. |
Diouroum Sud |
00825 |
0020 |
01 |
003 |
003 |
000900 |
005 |
001600 |
|
Dimboro |
01197 |
0030 |
01 |
003 |
004 |
001200 |
004 |
001200 |
Dissi. |
Dalo |
01266 |
0035 |
02 |
003 |
005 |
001500 |
005 |
001500 |
|
Dissi |
01600 |
0045 |
02 |
006 |
006 |
001800 |
008 |
002500 |
|
Gonon |
00747 |
0020 |
01 |
003 |
003 |
000900 |
003 |
000900 |
|
Toungaré |
00832 |
0025 |
01 |
003 |
003 |
000900 |
003 |
000900 |
Goron. |
Goron |
01746 |
0045 |
02 |
006 |
007 |
002100 |
009 |
002800 |
Papale. |
Gorombouli |
01167 |
0030 |
02 |
006 |
004 |
000300 |
006 |
001000 |
|
Largogo |
00285 |
0010 |
01 |
001 |
001 |
000300 |
001 |
000300 |
|
Papale |
00496 |
0015 |
01 |
003 |
002 |
000600 |
002 |
000300 |
Gosson. |
Gosson |
00753 |
0020 |
01 |
003 |
003 |
000900 |
003 |
000400 |
Guimou. |
Guimou |
02512 |
0065 |
03 |
009 |
010 |
003000 |
012 |
003700 |
Kassan Est |
Kassan Est |
02211 |
0060 |
03 |
009 |
008 |
002400 |
010 |
003100 |
Kassan Ouest |
Kassan Ouest |
02000 |
0050 |
03 |
009 |
008 |
002400 |
010 |
003100 |
Kawara Est |
Karawa Est |
01401 |
0035 |
02 |
006 |
005 |
001500 |
007 |
002200 |
Kawara Oest |
Karawa Ouest |
01400 |
0035 |
02 |
006 |
005 |
001500 |
007 |
002200 |
Kouy Est |
Kouy Est |
01750 |
0040 |
02 |
006 |
007 |
002100 |
009 |
002500 |
Kouy Ouest |
Kouy Ouest |
01806 |
0045 |
02 |
006 |
007 |
002100 |
009 |
002500 |
Namassa |
Namassa |
01545 |
0040 |
02 |
006 |
006 |
001800 |
008 |
002500 |
|
Panian |
00620 |
0020 |
01 |
003 |
002 |
000600 |
002 |
000600 |
Nassan |
Nassan |
01700 |
0045 |
02 |
006 |
005 |
001500 |
007 |
001900 |
Niankore Est |
Niankore Est |
01839 |
0050 |
03 |
009 |
007 |
002100 |
009 |
002800 |
Niankore Ouest |
Niankore Ouest |
01600 |
0040 |
03 |
009 |
006 |
001800 |
008 |
002500 |
Niankore Sud |
Niankore Sud |
01600 |
0040 |
03 |
009 |
006 |
001800 |
008 |
002500 |
Sissile. |
Bompela |
00832 |
0025 |
01 |
003 |
003 |
000900 |
003 |
000900 |
|
Sissile |
00974 |
0025 |
01 |
003 |
003 |
000900 |
005 |
001600 |
Touare. |
Touare |
02170 |
0060 |
03 |
009 |
009 |
002700 |
011 |
003400 |
Tougan 2 Est |
Tougan secteur
1 |
00646 |
0020 |
01 |
003 |
002 |
000600 |
002 |
000600 |
|
Tougan secteur
2 |
01000 |
0025 |
02 |
006 |
004 |
001200 |
006 |
001900 |
Tougan 2 Ouest |
Tougan secteur
2 Ouest |
01819 |
0050 |
03 |
009 |
007 |
002100 |
009 |
002800 |
Tougan 2 Sud |
Tougn 2 Sud |
01750 |
0045 |
02 |
006 |
007 |
002100 |
009 |
002800 |
Tougan 3 Est |
Tougan secteur
3 Est |
01865 |
0050 |
02 |
006 |
007 |
002100 |
009 |
002800 |
Tougan 3 Ouest |
Tougan secteur
3 Ouest |
01800 |
0050 |
02 |
006 |
007 |
002100 |
009 |
002800 |
Tougan 4 |
Tougan secteur
4 |
02045 |
0050 |
03 |
009 |
008 |
002400 |
010 |
003100 |
Tougan 5 Est |
Tougan secteur
5 est |
01586 |
0040 |
02 |
006 |
006 |
001800 |
008 |
002500 |
Tougan 5 Ouest |
Tougan secteur
5 ouest |
01550 |
0040 |
02 |
006 |
006 |
001800 |
008 |
002500 |
Tougan 6 Est |
Tougan secteur
6 Est |
01617 |
0040 |
02 |
006 |
006 |
001800 |
008 |
002500 |
Tougan 6 Est |
Tougan secteur
6 Est |
01550 |
0040 |
02 |
006 |
006 |
001800 |
008 |
002500 |
Tougan 7 |
Tougan secteur
7 |
02131 |
0055 |
03 |
009 |
008 |
002400 |
010 |
003100 |
Yeguère. |
Yeguère |
02213 |
0060 |
03 |
009 |
008 |
002400 |
010 |
003100 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
41 |
|
76740 |
2000 |
104 |
308 |
288 |
086400 |
370 |
115100 |
|
|
|
|
|
|
|
|
288 primaires 41 secondaires 41 cliniques |
|
2. e)
raisons de la sélection des groupes et activités cibles.
Les concepts de
développement intégré ici utilisés ne prévoient point de sélection des groupes
et des activités cibles. La zone du projet a été choisie à cause de la pauvreté
des ces habitants. Le nombre de bénéficiaires est de nature sociologique. Il
est déterminé par les rapports d’adhésion de l’individu au groupe. Le groupe
doit avoir une dimension suffisante pour garantir un bon choix de produits et
de services locaux aux consommateurs et un marché suffisant pour permettre en
même temps la production spécialisée de produits et services. La dimension du
groupe doit rester également compréhensible à l’individu, qui doit pouvoir s’en
sentir partie intégrante. L’individu doit pouvoir connaître personnellement les
organes administratifs du groupe et participer à leurs activités s’il le veut.
Ces conditions sont mieux respectées avec des populations entre 50.000 et
75.000. La population de
01. Faciliter une
amélioration continue de la qualité de vie et de la santé des usagers.
02. Établir une économie locale dans le zone du projet qui soit autonome,
coopérative, sans intérêts financiers et sans inflation.
03. Éliminer les fuites
financières de la zone du projet..
04.Dédier les ressources humaines dans la zone du projet à la production et
au développement locaux.
05. Réduire l’incidence des maladies d’origine hydraulique , de la malaria et d’autres maladies
infectieuses
06. La réduction de la mortalité infantile et la promotion du planning
familial.
07. L'amélioration du niveau de la scolarité pour tous, surtout celui des
jeunes filles et des femmes.
09. La contribution active à la réduction de la déforestation et à la lutte contre l’augmentation des la
température globale mondiale et
pour réaliser l’adaptation
de la Commune de Tougan aux changements climatiques.
10.
La création de valeur ajoutée à travers la création des structures de
recyclage des urines, de l'excréta et des ordures solides (assainissement).
11. La création d'une culture d'entretien et de conservation des
investissements réalisés.
12. La promotion des droits des femmes et la participation majoritaire de femmes à
toutes les structures du projet.
13. Assurer à tous les habitants de la zone du
projet une activité coopérative productive à plein temps. (“Travail à pleines journées”)
14. Contribuer à arrêter l’émigration des zones rurales aux grandes villes.
15. Dépasser les objectifs du Millénaire dans la zone du projet à l’exclusion des vaccinations et de la médecine curative et quelques aspects de l’objectif 8 lesquels n’ont rien à faire avec le développement local.
2. h)
Description des éléments à valeur ajoutée du projet.
Pour € 179 environ par
habitant (dont € 104 à la charges des
bailleurs de fonds et € 75 à la charge des habitants) compte-on éliminer la
pauvreté dans
Les bénéfices
financières annuelles à faveur des habitants montent à plusieurs fois le
montant de l’investissement initial en monnaie formelle, soit €7.976.511. Les bénéfices important
dérivants de l’utilisation des structures sociales, financières, productives et
de service mises à leur disposition, y compris les bénéfices apportés des
arbres de fruit et à noix, n’ont pas été monétisés. Les populations
bénéficieront en plus des épargnes directes suivantes:
Le fonds local de développement coopératif épargne € 1.560.098 d’intérêts par an.
Épargne des coûts des engrais pour une valeur de € 217.000.
Réduction
des frais de traitement médical traitement pour maladies portées de l’eau €
750.000
Élimination
de la corvée de bois : € 417.643 par an.
Reforestation “automatique”
Épargne
de temps des femmes et jeunes filles pour la préparation des aliments :€ 1.832.000.
Soit un total annuel d’épargnes de €
15.205.000 environ, soit 190% environ l’investissement initial par an.
Préparation générale.
Formalités pour permis. Personnel nécessaire:
coordonnateur et secrétariat. Le consultant donne conseils. La coopération des
autorités nationales et locales est nécessaire. Aucun problème spécifique n’est
prévu.
Achat terrain et bureaux permanents, au nom de
Préparation et rédaction
des spécifications détaillées du projet. Personnel : coordonnateur;
consultant, secrétariat. Les travaux comprennent la définition générale des
futurs groupements pour les commissions réservoir, des locations les plus
probables des forages, ainsi que des aspects administratifs importants tels les
règles à adopter pour l’écriture «correcte » des noms, des personnes et des
lieux.
Construction de la salle
des ateliers et des services hygiéniques et en eau potable y associés. L’apport
des populations prévu est de 38000 heures travail. Construction d’un forage.
Équipage du forage de pompes et panneaux solaires. Constructions toilettes à
compostage à sec provisoires. Jardin de recyclage des déchets. Mise en place
des postes de travail du Coordonnateur du projet et du Consultant (exécution du
coordonnateur et son secrétariat). Terminées les activités des ateliers, la
salle des ateliers deviendra le dépôt central permanent du projet.
Clubs Hygiène.
Activité de formation
288 clubs de santé. Acquisition et mise à disposition de matériel pour les
clubs de santé. Formation des animatrices des clubs de santé.
Il
s’agit de la phase la plus critique du projet entier.
Au cas où les travaux ne
réussissent pas, doit-on refaire l’atelier jusqu’ à ce que les activités des
clubs ne soient opérationnelles. Le succès de l’atelier ne se réfère pas
tellement à l’éducation à l’hygiène comme telle, mais à l’organisation pratique
en groupes des femmes, qu’elles puissent jouer
le rôle important leur
réservé dans la formation et le fonctionnement des structures sociales,
financières et productives prévues.
Exécution à travers d’un
atelier Moraisien. 288 participants environs sur 3 mois.
Nomination participants au niveau des villages. Organisation sociale pour que
les femmes nommées puissent participer aux ateliers.
Exécution travaux :
coordonnateur + secrétariat + consultant + spécialiste ateliers + spécialiste
cours d'hygiène.
Les contributions des
populations locales à la formation des Clubs d’Hygiène montent à 298.800 heures
travail. Coopération préférée des autorités de la santé publique, dont 15
représentants qualifiés environ contribueront par la suite avec un service d’apport
qualifié aux activités des clubs.
Les structures que les
ateliers devraient sortir:
-Une structure de
coordination du système; avec le coordonnateur du projet, au niveau des
(description des secteurs de la zone du projet); avec le Ministère de
-Une structure du
matériel; discussion avec des membres potentiels des groupes; définition du
contenu des cours selon les exigences locales ; adaptation du matériel
selon les us et cultures locales (illustrations, langue etc.) utilisant les
styles artistiques de la zone du projet; préparation effective du matériel des
cours; distribution du matériel.
-Une structure de la
méthode ; comment se servir du matériel; le rôle des animatrices du Ministère;
le rôle des responsables des communautés; exercices pratiques; comment
convoquer et guider les leçons individuelles ; la suite du travail des
groupes après la conclusion des cours.
-Une structure de la
communication. ;
-Une structure au niveau
de chaque commission réservoir ;le paiement de la responsable locale ; les
rapports entre la responsable locale et la (future) Commission
Réservoir ; les rapports entre la
responsable locale et l'animatrice du Ministère responsable de sa zone ;
discussion avec les personnes intéressées au niveau de la (future) Commission
Réservoir ; l’enregistrement des participants aux cours ;
l'organisation pratique des leçons et des réunions.
Transport participants. Problème
logistique le plus important. Pour cela prévoit-on l’achat de deux autobus,
à céder successivement à une coopérative de transport public dans le cadre de
la structure de microcrédits sans intérêts prévue.
Rédaction matériaux des
cours de la part des femmes participantes ; préparation matériaux des
cours par les femmes participantes. Nomination des participants au niveau des
villages. Organisation sociale pour que les femmes nommées puissent participer
aux ateliers. On prévoit cas échéant aussi la formation d’une crèche de la part
des femmes participantes mêmes.
Cours aux écoles d’éducation à l’hygiène.
Organisation de atelier durée de trois mois
environs. Contribution de la part des populations : 55.200 heures travail.
Réduction, production, et mise en place du
matériel des cours d’hygiène aux écoles.
La coopération des
autorités santé publique est préférée, dont 15 représentants qualifiés environ
contribueront par la suite avec un service qualifié en support des professeurs.
La coopération des
autorités de l’éducation publique. On prévoit la participation d’une
représentation nombreuse des enseignants. Les participants doivent décider sur
le contenu du cours à chaque niveau d’enseignement et selon l’âge des étudiants.
On peut prévoir comme même des efforts dès le début des cours au fin de couvrir
les problèmes liés à VIH/sida et aux mesures possibles de contrôle de la
croissance démographique. Structures et sociales locales.
Les commissions réservoir.
Les commissions
réservoir constituent le cœur battant des structures prévues.
On tiendra un atelier Moraisien.
Structures sociales
locales (formation de commissions de gestion des structures à trois niveaux,
soit 288 commissions réservoir, 41 commissions intermédiaires, une organisation
centrale.). Participation : 330 personnes (principalement femmes) qui auront
indiqué leur intérêt à prendre responsabilité générale à faire partie des
commissions réservoir pour l'administration locale des structures. Les candidates
sont indiquées par les Clubs de Santé
qui seront déjà en fonctionne, éventuellement en collaboration avec les comités
villageois de développement, s’il y en a.
Définition de la forme
sociale des commissions réservoir et des commissions puits; organisation ,
coordination, communication.
Complété l’atelier les
femmes participantes organisent, avec la pleine participation des membres
(femmes) des clubs d’hygiène, l’élection des membres des commissions réservoir,
qui à leur tour choisissent les commissions forage qui choisissent à leur fois
la direction centrale. Personnel : coordonnateur+ secrétariat+ consultant+
spécialiste ateliers. Les populations y contribuent 616.800 heures travail sur
les premières deux années d’exécution du projet. Suite aux ateliers de
formation, ces activités sont organisées par les populations elles-mêmes.
Transport participants.
Problème logistique important. Pour cela prévoit-on l’achat de deux autobus, à
céder successivement à une coopérative de transport public dans le cadre de la
structure de micro -crédits sans intérêts prévue.
Une fois en place les
structures locales, peut-on procéder à la formation des structures financières
locales prévues, car la plupart des activités pour le projet est couverte des
nouvelles structures.
Structure SEL -LETS (système
local d’échanges)
Atelier SEL -LETS. Participation : 330 personnes qui auront indiqué leur
intérêt à faire l'enregistrement des transactions. 288 personnes (hommes et femmes)
qui auront indiqué leur intérêt à faire d'animation au niveau des commissions
réservoir. Durée de l’atelier: six semaines environ.
Les structures que
l’atelier devrait sortir comprennent:
-la définition de la
forme sociale -une structure pour l’enregistrement des transactions.
-les (bureaux) du
travail -adaptation des ambiances contre éléments et poussières.
-mesures de sécurité et
information.
-l'achat d’ordinateur,
d’imprimante, de photocopieuse, de scanner, de fax, de walkie -talkie et
accessoires branchement. électrique éventuellement à panneaux PV.
-la distribution des
structures physiques : boîtes SEL; plaques affiches.
-la préparation des
chèques (ou autres documents d'échange)
-la publication des
services disponibles-les rapports avec les usagers
-les réunions
d’informations au niveau des commissions réservoir
-la présentation du
coordonnateur local
-l'enregistrement des
membres
-la distribution des
chèques (ou autres documents d'échange)
-le commencement des
transactions -une structure de la communication
-une structure de la
conservation des évidences soient écrites soient digitalisées des transactions.
Personnel :
coordonnateur+ secrétariat+ consultant+ spécialiste ateliers. Les populations y
contribuent 1.023.600 heures travail sur les premières deux années d’exécution
du projet.
L’organisation et la
construction des bureaux d’enregistrement des transactions est à la charge des
commissions forage qui en deviennent les propriétaires. L’achat des ordinateurs
et équipements est à la charge des fonds formels du projet.
Transport participants.
Problème logistique important. Pour cela prévoit-on l’achat de deux autobus, à
céder successivement à une coopérative de transport public dans le cadre de la
structure de micro -crédits sans intérêts prévue.
Suite aux ateliers de
formation, toute le activités d’administration des systèmes financières locales
sont organisées par les populations.
La gestion des
structures financières locales est sujette à la coopération des autorités
fiscales. Un accord doit être établi pour ce qui concerne la taxation des
activités ayant lieu dans le cadre de la structure économique locale mise en
place. On prévoit un moratoire de quelques années (au moins 10 ans) suivi par
l’application de quelques règles simples dont quelques indications sont
fournies dans la documentation détaillée sur le projet. Les transactions
peuvent avoir lieu n’importe où. Au niveau de chaque commission réservoir
a-t-on un assistant délégué pour aider les habitants qui ne peuvent pas lire
et/ou écrire. Facilités du même genre sont créées pour les marchés et les lieux
commerciaux avec un taux élevé de transactions. Un système collatéral à
vouchers sera introduit à couverture des toutes petites transactions
fréquentes.
Mise en place de OW- Système Microcrédits sans
intérêts.
Pour l’atelier a-t-on
besoin de 330 personnes qui auront indiqué leur intérêt à faire les animateurs
de crédit, indiquées par les commissions réservoir.
L’atelier durera 4
semaines environ.
Personnel :
coordonnateur+ secrétariat+ consultant+ spécialiste ateliers. Les populations
contribuent 328.800 heures de travail. Les ordinateurs et équipements sont à la
charge du fonds en monnaie formelle du projet. Le demandeur dispose lui-même de
spécialistes en microcrédits.
Transport participants.
Problème logistique important. Pour cela prévoit-on l’achat de deux autobus, à
céder successivement à une coopérative de transport public dans le cadre de la
structure de microcrédits sans intérêts prévue.
Les structures que l'atelier
devrait sortir comprennent:
Le
Fonds Coopératif de Développement Local
-définition de la forme
sociale, les aspects physiques tels terrain, bureau, sécurité, communications
-Les aspects financiers
(Définition des initiatives à chaque niveau. Combien du fonds doit être
distribuées à chaque niveau ;
-Financements à intérêt
général du projet ( structures de recyclage, initiatives productives plus
importantes, œuvres publiques)
-Financements à intérêt
à moyen niveau (niveau de commission puits) - Financements à intérêt plus local
(niveau de commission réservoir)
L'organisation
des travaux
-Structure centrale
-Structure décentralisée
- Préparation des
animateurs
-Réunions au niveau des
commissions réservoir
-Coordination Financements
pour projets spécifiques.
Rapports avec les
bailleurs de fonds.
Une structure de la
communication.
On ne prévoit aucun
problème spécifique formel avec l’introduction du système des microcrédits dont
la gestion est entièrement dans les mains des structures autogérées du projet.
Coopératives d’achat.
Seront organisées selon les désirs des habitants.
Pour leur gestion (330 personnes pour 37 FTE)
prévoit-on 33.300 heures de travail.
Structures en eau potable.
Une partie importante
des investissements en compte capital formel est effectuée pour les structures
en eau potable, car les matériaux et quelques services ne sont pas disponibles
localement.
Parmi les activités à planifier dans le cadre de
la fourniture en eau potable et de l’assainissement se trouveront la
mise en place de:
41 Forages diamètre. 8" (les éventuels puits
sont faits localement en monnaie SEL -LETS).
41 Points de lavage (en monnaie SEL -LETS).
41 Margelles pour pompes manuelles (en monnaie SEL -LETS).
41 Constructions clôtures.
Installation de 288 pompes solaires.
Construction de 288 supports panneaux.
Installation de panneaux solaires (288*300 W (environ)).
Installation de 308 pompes manuelles “ back-up”, y
compris 38 groupes triples et deux pompes à une seule unité.
Achat des câbles, tuyaux pour pompes/puits.
Fourniture des tuyaux puits aux réservoirs (
Pose des 400000 mètres tuyaux (en monnaie SEL -LETS).
Construction de 288 Réservoirs eau.
Construction de 288 Bases réservoirs.
Supervision de l'installation et formation des artisans pour entretien.
Constitution des magasins de pièces détachées.
Équipement de contrôle de la qualité de l'eau.
On se sert d’une coopération extensive entre les
diverse structures déjà fonctionnelles, y comprises :
Le système pour l'éducation à l'hygiène.
Les commissions réservoir, gestion structures en eau.
Le système local d’échanges SEL -LETS qui rende
possible la participation active des populations locales.
Le Fonds Coopératif de Développement et la gestion des micro -crédits qui
facilitent les activités productives des populations pour le projet.
Les unités de production des articles en composite de gypse pour la production
de la plupart des articles nécessaires au projet.
Les équipes formées pour l’installation et l'entretien des systèmes de
fourniture en eau.
Les équipes formées pour l’installation et
l'entretien des systèmes d'assainissement.
Le système de récolte des eaux pluviales pour la fourniture en eau à
utilisation personnelle;
Les œuvres de drainage, pour l 'élimination des insectes et maladies portées
par l'eau, à faveur de la santé des populations.
Formation coopérative d'installation et entretien.
Structure pour la
gestion et vérification des statistiques, monitorage continu activités.
Aucune provision spécifique n’est faite pour les
services hydrogéologues. Des recherches hydrogéologues ont déjà été effectuées
pour le compte de
La location de forages et points eau sera décidée
par les habitants en collaboration avec
Les contrats pour le creusement des forages seront
à la charge de
Les unités de production
locales d’articles en composites de gypse s’occupent de la production pour
réservoirs, margelles; aires lavage, supports panneaux etc.
On tiendra un atelier
organisationnel selon les principes de Clodomir
Santos de Morais pour la préparation des structures de fourniture en eau
potable.
Participation personnes
qui auraient indiqué leur intérêt à l’exécution des œuvres civiles telles la
construction de margelles et aires de lavage et personnes qui auront indiqué
leur intérêt à l'installation et à l'entretien des structures.
Les structures que
l'atelier devrait sortir comprennent:
Une structure de
coordination;
Une analyse des
exigences;
Recherches
hydrogéologiques (discussion détails disponibles);
Préparation des cartes
géographiques on – sites ;
Puits/forages sites
réservoirs;
Tracés des tuyaux ;
Design canaux des
tuyaux ;
Spécifications pour
bases travail/dépôts; forages/puits; pompes solaires; pompes manuelles;
margelles pompes manuelles, aires de lavage, panneaux solaires, supports des panneaux,
alentours forages/puits, pose des tuyaux, installations des réservoirs,
Instructions pour
commissions puits; instructions pour commissions réservoir
Permis et autorisations
des autorités locales;
Rapport avec le
ministère du développement rurale;
Stockage équipements et
matériaux;
Formation d'équipes;
planification des œuvres à réaliser;
Logistiques;
Équipements et
matériaux ;
Offres d’appel pour
forages; pour pompes, panneaux solaires, équipements l'installation des
structures l'entretien; la formation de la structure d'entretien;
Rapports avec les
fournisseurs;
Importation et gestion
des pièces détachées;
Planification et
entretien; kits d'entretien;
Système monitorage;
Système statistique.
Acteurs : coordonnateur
+ secrétariat + consultant+ spécialiste ateliers + société(s) forages.
Les travaux de la pose des
La participation de la population locale monte à
864.360 heures.
Structures recyclage des déchets.
Établissement réseau de
récolte du compostage.
Structures de production
locale.
Coordonnateur+secrétariat+consultant+spécialiste
ateliers.
Unités locales de
production produisent réservoirs, toilettes.
Initiatives
individuelles et coopératives de recyclage.
On dépend des autorités
locales et nationales (Ministère Santé publique) pour :concessions dépôts ;
certification milieu.
Participation à
l’atelier Moraisien
330 personnes qui auront indiqué leur intérêt à y participer.
L’atelier devrait durer
4 semaines et sortir :
-Définition de la forme
sociale
-Statuts ; Règlement;
-Structures
professionnelles et administratives.
-Financement et
paiements et relations avec le système Micro -crédit ;
-Rapport avec les
monnaies locales non formelles ;
-Analyse des besoins.,
Une structure pour les
centres de recyclage ;
-Définition du terrain
et des structures nécessaires ;
-Formalités, permis ;
-Dessin des centres ;
-Mis en œuvre des
centres ;
-Acquisition des
équipements nécessaires.
Une structure pour la
récolte ou disposition sanitaire ;
des urines, de l'excréta
composté,
des eaux usées. des
autres ordures organiques ;
des solides non
organiques ;
restes industrielles
spéciales ;
déchets biomédicaux des
cliniques et des hôpitaux
Qui fera quoi?
Définition des zones
individuelles
Définition des
spécialisations.
Une structure
commerciale :
Définition des tarifs
applicables selon les différents matériaux ;
Distribution urine et excréta
compostés ;
Recyclage direct de
certains matériaux ;
Contacts pour
l'exportation des matériaux non utilisables localement ;
Une structure de
monitorage : conditions sanitaires ; conditions écologiques ; conditions de
sécurité. Une structure de la communication
Contribution populations
1.657.600 heures travail.
Structures de santé.
Construction 41 centres médecins.
Installations PV cliniques.
82 assistants médiques.
Organisation achat gestion et distribution
médicaments.
Construction 41 ambulances à bicyclette.
Achat 2 ambulances pour cas urgents.
Construction 288 habitations infirmières.
Emploi 288 infirmières. (Cas échéant, organisation
cours de formation)
Participation locale : 730.560 heures de
travail.
Le cas échéant, l’accord Ministère de
Structures d’éducation.
Construction 288 écoles, y comprises structures
assainissement équipées d’éclairage PV.
Enseignants pour 288 écoles.(La plupart émigrés
rentrés )
Construction 288 salles d’études équipées
d’éclairage PV.
288 groupes de femmes de gestion des toilettes et
nettoyage des locaux écoles et salles d’études.
Construction 41 écoles secondaires équipées
d’éclairage PV.
Enseignants pour 41 écoles secondaires.(La plupart
émigrés rentrés )
41 groupes de femmes de gestion des toilettes et
nettoyage des locaux écoles secondaires.
Construction 1 école artisanale équipée
d’éclairage PV.
Enseignants pour l’école artisanale.(La plupart
émigrés rentrés )
1 groupe de femmes de gestion des toilettes et
nettoyage des locaux de l’école artisanale.
Participation locale : 1.897.250 heures.
Personnel : coordonnateur + secrétariat +
consultant.
Le cas échéant, l’accord Ministère Éducation pour
les installations.
Structures agricoles et sécurité alimentaire.
Construction 288 pépinières au niveau local.
Gestion 288 pépinières niveau local (576 FTE)
Construction 41 pépinières au niveau
intermédiaire.
Gestion 41 pépinières niveau intermédiaire (123 FTE)
Construction 288 centres stockage aliments niveau
local.
Gestion 288 centres stockage local 144 FTE)
Construction 41 centres stockage aliments niveau
local.
Gestion 41 centres stockage niveau intermédiaire
(20 FTE)
Gestion 41 banques semences (104 FTE)
Gestion banque de semences centrale (5 FTE)
Construction 288 centres meuniers niveau.local
Opération 288 centres meuniers (144 FTE)
Participation locale : 2.174.721 heures.
Structures pour biomasse pour foyers améliorés (autoomie ;energétiques).
Production foyers améliorés (FTE
30).
41 centres de production de mini –briquettes.(FTE 205)
Production agricole pour mini -briquettes (586
contrats) (208 FTE).
Rapports activités. Monitorage continu activités
et statistiques. Contrôle physique des installations.
OW- Système biomasse.
Personnel :
coordonnateur + secrétariat + consultant + spécialiste ateliers.
Contribution des
populations 1.036.224 heures travail
Concessions placement
usines. Participation atelier de durée 4 semaines 205 personnes qui auraient manifesté
l’intérêt de donner une indication à la production des mini -briquettes ; 508
personnes qui auront marqué leur intérêt à participer à la production de
biomasse pour les mini -briquettes.
Les structures que
l’atelier devrait sortir comprennent:
Une structure de
coordination ;
Définition de la forme
sociale ;
Statuts ;
Règlement ;
Structures
professionnelles et administratives ;
Financement et paiements
;
Rapport avec les
monnaies locales non formelles ;
Une analyse des
exigences ;
analyse détaillée des
systèmes actuels ;
demande dans la zone du
projet ;
éventuelle demande à
l'extérieur de la zone du projet.
analyse des ressources
en biomasse disponibles,
définition des recettes
(mélanges) socialement acceptables.
Création des structures
physiques de production des briquettes.
Logistique : Apport et
stockage matériaux ; Distribution mini -briquettes. Organisation de production
de biomasse Aspects financiers Disponibilité de micro -crédits pour
cultivateurs (agriculture et élevage) ;
Disponibilité
microcrédits fabricants des briquettes ;
Prix de distribution des
briquettes selon les différents mélanges.
Afforestation.
Le plantage et l’entretien initial de :
1.200.000 arbres (espèces natives) ( 500 FTE)
600.000
arbres à fruits et à noix (576 FTE)
400.000
plantes de bambou et /ou chanvre (864 FTE)
1.500.000 arbres Moringa (576 FTE)
3.500.000 arbustes Jatropha (587 FTE). N.B. Les plantes de Jatropha sont destinées exclusivement à bénéfice des
populations locales et à faveur de l’adaptation
aux changements climatiques. La production annuelle de
Le choix des territoires
de plantage est à la charge des commissions réservoir et
La participation de la
population locale monte à 3.710.400 heures de travail.
Transport et communications.
Le projet ne couvre pas l’amélioration du système
routier de
On construira
On installera 288 unités
de radiotéléphone ou équivalent fonctionnelles au niveau des commissions
réservoir. On préfère des systèmes à radiotéléphone car ils ne cause aucune
fuite financière de la zone du projet. On compte d’ailleurs pouvoir obtenir les
appareils de deuxième main en don des services militaires. Les points de
communication pourront fournir travail pour aveugles et personnes
physiquement handicapées avec une
gestion entièrement dans le cadre du système local d’échanges SEL-LETS. Les habitants
désirant de se servir de téléphones mobiles commerciales seront, comme est
évident, libres de le faire. Leurs communications resteront toutefois dans le
secteur du système de monnaie CFA et à propre charge. La participation des populations locale sera
de l’ordre de 345.600 heures.
On établira une station radio locale à Tougan,
avec un rayon de diffusion de 80-
La
gestion de la station sera complètement autonome.
Sans
vouloir influencer l'indépendance de l'atelier qui aura lieu, les programmes
pourraient se baser sur les éléments suivants:
a)
Diffusion d'informations sur les activités du projet (bulletins journaux)
-
Invitations au réunions des structures (commissions réservoir, systèmes SEL -LETS etc.)
- Informations sur les décisions prises pendant les réunions
- Informations sur le progrès avec l'installation des différentes structures
- Informations sur les crédits sans intérêts concédés
b)
Informations de la part de groupes intéressés
- Sur
de nouvelles initiatives qu'on veut prendre
- Sur le développement d'initiatives en cours de réalisation
c)
Informations sur les activités culturelles et sportives dans la zone du projet
d)
Service de secours
e)
Promotion du projet vers l'extérieur de la zone du projet, de la région et du
(pays).
Financement
L'institution
de la station sera couverte d'une voix à part au bilan. Comment est-ce que la
station pourrait rembourser son investissement initial ?
- La main
d'œuvre sera faite dans le cadre des systèmes de monnaie locale
- Les frais exprimés en argent formel (panneaux photovoltaïques, frais de
gestion des équipements) devront être remboursés sur les 3 ou 4 ans.
Comment
?
a) Par
une récolte d'une petite contribution auprès des ménages
b) Par un paiement pour services rendus aux habitants des zones aux alentours
immédiats
c) Par une publicité de producteurs dans la zone du projet vis à vis de marchés
extérieurs
On
tiendra un atelier organisationnel selon les principes de Clodomir de Santos de
Morais pour la préparation de la structure pour l'installation et la gestion de
la station radio du projet.
Contribution populations à la gestion de la
station : 24.000 heures.
Structures productives.
Atelier : Unités de production articles en
composites de gypse (deux). En
principe s’agit-t-il d’unités de
production 100% écologiques, à contenu élevé de main d’œuvre locale, à zéro
énergie, avec 100% de valeur ajoutée locale.
Localisation gisements et contrôles de qualité.
Formation coopératives productives et exploitation dépôt gypse Exploitation
gisement gypse
Construction et équipement usines articles en
composites de gypse( 2 usines). Formes et moules /design pour les produits des
2 usines.
Instruction préparation
moules et formes.
Formation responsables
de la gestion coopérative.
Construction physique
des unités de production.
Personnel :
coordonnateur+ secrétariat+ consultant+ spécialiste ateliers + spécialiste
composites de gypse. Contribution populations 124.000 heures travail.
Concessions et
exploitation gisements.
Vérification milieu.
Les quantités de
matériaux en anhydrite et gypse nécessaires à l’exécution du projet sont très petites,
de l’ordre de quelques centaines de tonnes par an.
On ne prévoit aucun
problème pour ce qui concerne les gisements et leur exploitation. Les
concessions et les droits d’exploitation sont mis au nom des habitants du
village ou des commissions réservoirs ou le gisement se trouve. Ils choisissent
ce qu’ils veulent faire de la zone de la minière et comment. En particulier, on
ne prévoit pas de nécessité à ce que des habitants doivent abandonner leurs
habitations à cause des activités d’extraction.
Liées à l’exploitation
des gisements sont les éventuelles limitations à la dispersion dans
l’environnement de la poudre fine autour des minières et des unités de
production, aussi que la nécessité de porter des moyens de sécurité (masques
et lunettes) à l’intérieur des unités de production.
Soit l’exploitation des
minières que la production des articles en composites de gypse sont des
activités de nature coopératives, les toutes premières considérations sont la
défense de la population locale et du milieu. On prendra toute action
nécessaire à ce qu’ils sont protégés.
L’atelier Moraisien durera quatre semaines environs.
Y participeront 120
personnes (hommes et femmes)qui auront indiqué leur intérêt pendant des
réunions au niveau des commissions réservoir à y participer.
Les structures que les
ateliers devraient sortir comprennent:
Définition de la forme
sociale;
Une structure de
fourniture des matériaux;
Recherches géologiques,
identification des gisements de anhydrite, obtenir les permis nécessaires ;
Préparatifs pour son
exploitation ;
Logistiques et transport
;
Rapports avec les
usines.
Une définition des
articles à fabriquer (réservoirs, toilettes, foyers améliorés, foyers solaires
etc.)
-contacts avec les
autres unités de production
-contacts avec les
ménages
-définition des
exigences : articles et caractéristiques techniques
-définition des
exigences: dessin, capacité de production
-définition du procédé
nécessaire
-préparation des moules
-essais
-décision sur les
priorités à accorder aux différents articles
Une structure physique
pour les usines;
Définition du terrain et
des structures nécessaires.
Dessin des usine.
Mise en œuvre des
usines.
Acquisition des
équipements nécessaires.
Une structure pour la
production.
L'organisation de la
production.
L'organisation
commerciale.
Une structure pour
l'installation des produits.
Rapport usines
–installateurs.
La formation des
installateurs.
La mise en œuvre des
installations.
La suite après vente.
Une structure de la communication.
Le projet met en place
dans toute la zone du projet, et pour tous les habitants, un environnement
économique coopératif sans intérêts, sans inflation, et sans but de lucre dans
le cadre duquel les initiatives particulières et la compétition économique puissent
fleurir. Il mobilise directement 20% environs de la population adulte et
influence de façon puissante le développement économique du restant 80% de la
population. Toutes les structures sociales et économiques et les services mis
en place sont créées, gérées et maintenues par les populations, qui en sont en
même temps les propriétaires, de façon durable et sans qu’il y ait besoin
d’aucune subvention publique suite à leur formation.
Ces structures locales
économiques et de gestion autogérées sont mises en place au cours d’une série
de “capacitation workshops” suivant la méthodologie du sociologue Brésilien
Clodomir Santos de Morais. La séquence de réalisation de ces ateliers est
critique.
Les principes de
développement intégré et durable appliqués ici pour la première fois prévoient
une séquence prédéterminée d’activités qui offre une garantie optimale aux
bailleurs de fonds pour ce qui concerne l’utilisation de leurs fonds. Jusqu´au
moment où les structures sociales et administratives de chaque service ne
soient en fonction, ne fait-on pas l’installation des structures physiques
achetées avec les fonds en monnaie formelle mis à la disposition du projet.
On commence avec la
formation des structures sociales, soient des clubs d’hygiène (plate-forme pour
la participation des femmes), des commissions réservoir ou de développement
local, des commissions forage (structure au niveau intermédiaire), et une
structure de direction autogérée au niveau du projet. On poursuit avec la
formation des structures financières, soient le système local d’ échanges
SEL -LETS, soit la structure pour les microcrédits
autofinancés sans intérêts. Enfin organise-t-on la formation des structures
productives pour la fabrication, dans le cadre des structures financières
créées, de beaucoup des produits dont on a besoin pour les services de base
comme celui de l’alimentation en eau potable et celui de l’assainissement.
On établit d’abord 288
Clubs de Santé basés sur des groupes de 40 familles 266. Ils constituent une
plate-forme qui permet aux femmes de s’organiser et de participer en bloc aux
réunions à faveur du développement local et de participer en plein droit aux
structures mises en place.
Cette
phase est la plus critique. Sans la participation
qualifiée des femmes aux structures et aux décisions, le projet ne pourrait pas
réaliser ses buts. Cas échéant, faut-on répéter l’atelier au fin d’assurer la
formation effective des 288 Clubs de Santé.
Une fois que les Clubs
de Hygiène sont en opération, établit-on 288 commissions réservoir autrement
nommées commissions locales de développement. Elles sont basées sur les mêmes
groupes de 40 familles (266 personnes). Les commissions réservoir comptent de 3
à 7 personnes, dont toutes, ou bien la plupart, sont femmes. Elles constituent le
cœur du projet. Les commissions réservoir nomment à leur tour 41 commissions
intermédiaires. Celles-ci nomment à leur fois une commission centrale à 41
membres, qui choisit et contrôle une petite direction centrale.
Établies les commissions
de réservoir, celles intermédiaires et la direction centrale, peut-on procéder
à la formation du système local d’échanges qui donnera aux populations les
moyens pour effectuer le transfert de tous les biens et les services produits
et consumés à l’intérieur de la zone du projet. À ce point s’agit-il
d’identifier et d’utiliser des technologies qui permettent la production dans
la zone du projet de la plupart des biens et des services nécessaires au
développement local avec 100% de valeur ajoutée locale. Tels biens et services
peuvent être produits, installés, entretenus, et payés dans le cadre du système
local d’échanges en place, sans avoir besoin de monnaie formelle en CFA. Un
exemple en est la possibilité de la production, l’installation, la gestion, et
l‘entretien du système complet d’assainissement à compostage sec (éco
-sanitaire) prévu sans avoir besoin d’un centime de CFA. Les frais de gestion
du système local d’échanges sont couverts dans le cadre du système même.
Une fois que le système
local SEL-LETS soit en place, peut-on faire une
distinction entre ce que peut être réalise dans le cadre du système monétaires
même et ce qu’on doit “importer” dans la zone du projet. Pour ce qui concerne
les services urgents de base tels la fourniture en eau potable, fait-on recours
aux fonds fournis des bailleurs de fonds pour le financement des biens et
services qui doivent être «importés » et payés en monnaie formelle (Euro). À
couverture des autres initiatives établit-on des structures de microcrédit sans
intérêts et sans frais en CFA. Ces structures recyclent sans intérêts les
contributions mensuelles (montant à Euro 0.60 par personne pendant les premiers
4 ans, de suite Euro 0,75 et puis € 0,90 par personne) versées par les
habitants dans leur propre Fonds Coopérative de Développement Local. On génère
des crédits sans intérêts nécessaires à l’achat des biens destinés à
l’augmentation de la productivité locale et qui ne peuvent pas être produits
localement. Les frais de gestion des structures de micro -crédit sont couverts
par le système local d’échanges SEL-LETS. Le Fonds
Coopératif de Développement Local fonctionnera utilisant des fonds fournis par
les populations. Le Fonds est le leur. Elles en sont les propriétaires. Elles
seront responsables de sa gestion, au début avec l’apport de
Une fois en place le
système de microcrédit et le système local d’échanges peut-on procéder à la
formation des unités de production, et notamment des usines pour la production
d’articles à base de composites d’anhydrite, tels par exemple des produits
nécessaires aux structures de fourniture en eau potable tels les réservoirs,
l’aménagement des forages, des récipients. Dès que leur capacité de production
ne leur permettra, commenceront-elles la fabrication des systèmes sanitaires et
d’autres articles parmi lesquels des foyers à cuisine à rendement élevé, des
éléments de construction etc.
Au cas où des gisements
d’anhydrite soient disponibles dans
4 b) Rapport du projet avec des activités
antérieures.
Il n’y a pas d’action antérieure au cas de ce
projet.
Les organisations suivantes ont travaillé dans
SNV (Stichting Nederlandse Vrijwilligers) du Pays Bas. [Description brève des
activités]
EAA (CREPA) Eau et Asainissement pour l’Afrique,
Burkina Faso. [Description brève des activités]
Le PNGT2 (Deuxième
Programme National de Gestion des Terroirs) du Burkina Faso. [Description brève
des activités]
Il n’y a aucun conflit d’intérêt entre les actions
du projet Vivons Tougan et celles apportées des
initiatives ci-dessus nommées.
4 c) Procédures de contrôle interne et
d’évaluation.
Les concepts de
développement intégré appliqués pour la première fois dans ce projet sont
différents de ceux traditionnellement adoptés. Ce sont les populations mêmes
qui sont responsables de la plupart de l’exécution des activités. Elles sont
préparées pour leurs tâches au cours des ateliers Moraisiens.
Le travail a lieu dans le cadre des structures sociales et financières locales
établies par le projet. Le coordonnateur, seul responsable de la mise en œuvre
des activités, et ses consultants donnent leur support et conseils aux
populations. Les travaux et les services des habitants exécuteurs sont
effectivement payés par les populations dans le cadre du système local
d’échanges SEL-LETS établi. Chaque transaction est
dûment enregistrée. Un taux de
conversion de Euro 3 par journée de travail de huit heures à été appliqué pour
déterminer le montant exprimé en monnaie formelle (Euro) du cofinancement fourni des populations au projet.
Une part des tâches des
structures opérationnelles mises en place aux trois niveaux du projet (niveau
réservoir, niveau intermédiaire et centre administratif) est de faire des
rapports sur leurs réunions et activités. Ces rapports sont mis à la
disposition du coordonnateur, et, naturellement de la coopérative «Projet Vivons Tougan
(Exécution)» responsable du projet.
Les rôles du demandeur
et du coordonnateur sont très spécifiques. La coopérative «Projet Vivons Tougan
(Exécution)» est responsable du contrôle
systématique permanent sur place de l’opération du coordonnateur et son équipe.
Elle joue le rôle de contrôleur, ou du parlement. Le coordonnateur joue le rôle
d’exécuteur, ou du gouvernement. Suivant ces concepts, l’exécuteur doit
toujours rester tout à fait indépendant de la coopérative «Projet Vivons Tougan
(Exécution)» pour éviter tout risque de
conflit d’intérêts.
La coopérative «Projet Vivons Tougan
(Exécution)» dispose pour la réalisation de
ses activités de contrôle « parlementaire » continu de nombreuses sources
d’information.
La plupart des services
sociaux, financiers, et productifs mis en place par le projet est physiquement
quantifiable. Puisqu’il s’agit de services mis à la disposition de tous les
habitants sans exclusion, les vérifications sont faciles à réaliser. Les
structures sont concentrées sur un territoire bien délimité. En particulier,
les structures en eau potable et pour l’assainissement sont physiquement
présentes suivant un patron systématique et connu. Le territoire de
Pour les Clubs
d’hygiène, lit-on d’abord les rapports de l’atelier. La coopérative «Projet Vivons Tougan
(Exécution)» assiste aux travaux de
l’atelier. Par la suite dispose-t-elle des rapports sur les activités des
Clubs. Elle fait acte de présence physique aux travaux de quelques clubs
choisis au hasard. Elle dispose de copies des matériaux préparés pour les
cours. Elle peut effectuer des enquêtes auprès les femmes. Idem pour les cours
d’hygiène aux écoles.
Pour les Commissions
Réservoir, cœur battant du projet,
En particulier, pour ce
qui concerne l’alimentation en eau potable saine, inspecte-elle l’exécution
physique des travaux selon le programme établi, à partir des forages et leur
équipement, les installations photovoltaïques, la présence des gardiens ; les
travaux d’installation des tuyaux de refoulement. Elle s’informe sur le progrès
réalisé de la construction des unités pour la production des réservoirs, leurs
supports et les supports des panneaux, et des dessins et de la préparation des
moules pour leur fabrication. Par la suite vérifie-t-elle leur mise en
production et leur installation. Elle vérifie la distance des emplacements des
réservoirs aux habitations servies. Par la suite, vérifie-t-elle activement la
fourniture réelle d’eau potable aux ménages, et les activités de contrôle sur
sa qualité.
En ce qui concerne les
structures pour l’assainissement, inspecte-elle l’exécution physique des
travaux de construction des unités de production prévues, et de l’exploitation
des gisements de gypse. Par la suite, s’informe-t-elle sur le progrès réalisé
avec le dessin et préparation des moules pour
le structures et la fabrication des systèmes et leur installation. Elle
disposera de statistiques sur l’installation et le fonctionnement des systèmes.
Elle s’informera de leur fonctionnement auprès des ménages choisies au hasard.
Elle peut organiser des enquêtes parmi les populations.
Pour ce qui concerne le
fonctionnement des structures financières locales,
Les services de
recyclage sont à contrôler par moyens d’observations physiques sur la propreté
de l’environnement; des enquêtes auprès des utilisateurs ; des visites aux
centres de recyclage etc.
Pour l’introduction des
foyers à rendement élevé, la production des mini -briquettes pour les foyers,
et l’élimination de la fumée a l’intérieur et autour des ménages s’agit-il de
faire une vérification de la présence physique des foyers dans les maisons; enquêter
les utilisateurs; rendre visite aux structures de production des mini
-briquettes; contrôler les comptes des usines ; contrôler physiquement la
présence de biomasse dans les champs.
Les activités
d’afforestation et agro-alimentaires sont facilement à contrôler par moyen de
visites périodiques pas annoncées effectuées auprès des banques de semences,
des pépinières, et des plantations.
Les services à faveur de
l’éducation et de santé seront évidents et à la vision directe de tous les
habitants.
4. d) Niveau d’implication et d’activité d’autres
organisations (différents groupes de parties prenantes et de partenaires ou
autres) dans le projet.
La structure de la participation est :
Exécution : populations locales avec le support du
coordonnateur du projet assisté d’une petite équipe de spécialistes pendant une
période spécifique des activités.
Vérification structurelle permanente de
l’exécution : la coopérative «Projet Vivons Tougan (Exécution)» qui agit
en vête de ``parlement``.
Conseil indépendant de révision continue des
comptes qui contrôle les activités de la coopérative «Projet Vivons Tougan
(Exécution)»
Audit final indépendant.
4.e)Justification du rôle de chaque partenaire.
Pas applicable.
Le projet mobilise la population entière et donne occupations
permanentes au 20% environ de la population cible.
À titre d’exemple voici presque 10.000 occupations
permanentes créées:
Structures sociales 272
Structures financières 386
Structures eau et assainissement 476
Structures recyclage 405
Structures santé 460
Structures éducation
2411
Structures agriculture et sécurité alimentaire 973
Structures meunières 144
Structures afforestation et mini-briquettes 3380
Structures de transport et communications 421
Structures de production 533
Les suivants apports de la part de professionnels
sont prévus :
Audit final indépendant.
Contrôle les activités du conseil de révision des comptes.
Conseil indépendant de
révision des comptes. Formation à réaliser. Formation indicative : un
ancien directeur du cour des comptes (par exemple) (président) ; le réviseur
des comptes de
Le conseil peut avoir pouvoirs d’investigation, et
prendre vision en tout moment des documents du projet.
La coopérative «Projet Vivons Tougan
(Exécution)» responsable de la rédaction et
présentation du projet ; seul responsable devant les bailleurs de fonds et
devant le conseil indépendant de révision des comptes et de l’auditeur final.
Elle est seule responsable des contrôles et vérifications systématiques sur la
réalisation du projet. Elle s’agit d’un rôle de contrôle permanent
«parlementaire » exercé sur place. Pour ce travail dispose-t-elle d’un
directeur exécutif, d’un économiste – gestionnaire, d’un sociologue, et d’un
secrétariat. [Adapter selon les exigences]
Coordonnateur ; seul responsable soit «le gouvernement » de l’exécution pratique du
projet. Il répond à la coopérative «Projet Vivons Tougan (Exécution)»
Consultant général : responsable devant le coordonnateur
de la réalisation des principes nouveaux de développement intégré introduits
avec ce projet
Spécialiste: Ateliers de capacitation selon les
principes du sociologue Brésilien Santos de Morais. (Au cas de disponibilité
selon le programme du projet)
Spécialiste: Cours de éducation à l’hygiène
Spécialiste: Procédés exploitation gisements gypse
; travail en composites gypse ; formes et moules pour produits en gypse ;
dessin et construction unités de production articles en gypse
La
durée de l’action sera de 24 mois.
Plan des activités en général, par an, et par trimestre. (2.46 MB).
(a) la situation des groupes cibles et des
bénéficiaires finaux.
Tous les habitants (76.740) de
Les résultats minimums
directs attendus qui sont automatiquement couverts de ce projet comprennent :
Structures
sociales.
La création de structures sociales commissions réservoir,
commissions intermédiaires, commission centrale démocratiques de préférence avec une participation active des
femmes .
01. 288 clubs de santé communautaires créés et fonctionnels dans la zone du projet; cours permanents d’éducation
à l’hygiène auprès de 329 écoles.
02. 288 commissions réservoir à 5-7 membres établies et fonctionnelles, chacune à service de +/- 40
familles (266 personnes).
03. 41 288 commissions intermédiaires à 5-9 membres établies et fonctionnelles chacune à service de 270 familles
(1865 personnes).
04. Une commission centrale à 41 membres créée et fonctionnelle à service de la zone entière du projet
(11155 ménages; 76.740 personnes).
Structures financières pour
combattre la crise financière et les épargnes y
relatives.
05. Une structure coopérative locale d’échange locale SEL-LETS créée et fonctionnelle à
service des 288 zones de développement local, des 41 zones de
développement intermédiaire, et de la zone entière du projet.
06. Une structure coopérative de microcrédit sans intérêts créée et fonctionnelle à service des 288 zones de développement local, des 45 zones de développement
intermédiaire, et de la zone entière du projet.
07. Divers coopératives d’achat créées et en fonctionnelle à service des 288 zones de développement local, des 45 zones de développement
intermédiaire, et de la zone entière du projet. (Groupes volontaires d’achat,
médicaments, éducation, systèmes PV domestiques etc.).
Structures de sécurité sociale.
09. Un système de sécurité sociale
est créé et en
fonctionnel à service des 288 zones de
développement local, des 41 zones de développement intermédiaire, et de la zone
entière du projet.
Eau et l'assainissement et épargnes y relatives.
10. Un système individuel d’assainissement installé dans chacune des 11.155
habitations et dans les lieux publics et les écoles.
11. 104 forages à plusieurs pompes forés et équipés d’une
installation à trois unités de pompage manuel et d’une aire de lavage. Bénéfice
des aires à lavage 4 heures/femme par
semaine = +/- € 693.756 par an.
13. 288 réservoirs à eau chacun installé dans un radius de
14. 11.115 systèmes domestiques de récolte de l’eau pluviale un système
produit localement et installé pour chacun des habitations individuelles dans
la zone du projet.
15. Un système efficient de drainage des eaux pluviales installé et en
fonction des 288 centres habités.
16. +/- 1000 réservoirs à 15m3 pour
la récolte de l’eau pluviale installés sur les terrains agricoles pour la
micro-irrigation.
Recyclage des urines, de l'excréta et des
ordures solides (assainissement) et les épargnes y relatives.
17. (288) systèmes pour la récolte et recyclage des déchets établis et en
fonction au niveau des commissions de développement local.
18. (41) systèmes pour la récolte et recyclage des déchets établis et en
fonction au niveau des commissions intermédiaires de développement.
19. Un système pour la récolte et recyclage des ordures établi et en fonction
au niveau du projet.
20. Épargne des coûts des engrais.
21. 288 Infermières locales fournies d’habitation, en fonction (et
éventuellement payées) au niveau du développement local.
22. 41 Centres médication pour médecins construits au niveau intermédiaire,
et en fonction selon la disponibilité de personnel qualifié.
23. Plan rédigé pour la construction et mise en œuvre d’un hôpital de base
au niveau du projet. Construction, entretien, et quelques services dans le
cadre du système de monnaie locale établi.
24. Réduction des frais de traitement médical traitement
pour maladies portées de l’eau, 50% de la population (25.000 partie de 50.000) au
moins une fois par an par le coût moyen
pour les médicaments et pour le médecin €
20 = 38.370 x € 20 = €
767.400.
27. Augmentation
de la productivité due à la réduction de l’incidence de la malaria :
29. 41 ambulances à vélo construites localement avec personnel, une pour chaque commission
intermédiaire de développement.
30. 3 voitures à ambulance qui fonctionnent sur le
bio-fuels produits localement au niveau du projet.
31. 288 Écoles élémentaires construites au niveau de commission de
développement local et fournies d’enseignants.
32. 41 Écoles secondaires construites ai niveau de commission intermédiaire
et fournies d’enseignants.
33. Une école métiers construite au niveau du projet et fournie
d’enseignants.
34. Un cours universitaire préparatoire au niveau du projet et fournie
d’enseignants
35. 288 écoles élémentaires, 41) écoles secondaires, 1 école métiers et(1
facilité de cours préliminaire équipées de structures d’éclairage
photovoltaïque.
36. 288 salles d’études construites au niveau des commissions réservoir.
37. 288 salles d’études équipées d’éclairage photovoltaïque.
38. 288 cours permanents du soir à faveur des adultes (surtout des femmes)
fournis d’enseignants et en fonction.
Foyers de cuisine améliorés et les épargnes y relatives.
39. Au moins 11.155 foyers de cuisine améliorés produits localement,
distribués, et en fonction.
40. Élimination de la corvée de bois : 60% des familles
(soit 60% de 11.155 familles ou 6.693 familles)
x 4 heures par semaine (soit 40%
d’une journée à dix heures de travail) x revenu € 3 par jour, soit € 1,20 par semaine par famille. € 1,20 par semaine x 6.693 femmes = € 8031 par semaine, soit € 472.000 par an.
42% des familles (soit 40% de 11.155 soit 4.462). Pour le bois en ville
[centre plus grand], une famille de 7 personnes consomme environ 500 CFA ( +/- € 0,75) de bois par jour. Réduction
65% à travers l’utilisation des foyers améliorés + Cfa 325 (soit € 0,50) par
famille par jour. 4462 familles x € 0,50 x
365 = € 814.000.
43.
Reforestation “automatique”
Agriculture et la sécurité alimentaire et les épargnes y
relatives.
43. 288 pépinières établies au niveau des commissions
réservoir et en fonction.
44. 41 pépinières établies au niveau des commissions
intermédiaire et en fonction.
45. Réduction des frais du traitement de personnes
souffrant la faim, ou du à l’hygiène inadéquate, ou causés par la fumée à
l’intérieur et à l’extérieur des habitations : 25% de la population au
moins une fois par an x un coût moyens
pour médicaments et médecins € 20 = 19185 x
€ 20 = € 383.700.
47. 288 Facilités pour le
stockage des aliments construites au niveau de chaque commission réservoir avec
personnel et en fonctionnelles.
48. 41 Facilités pour le stockage
des aliments construites au niveau intermédiaire avec personnel et en fonction.
72. 1 Coordonnateur central gestion stockage aliments.
49. La valeur des bénéfices alimentaires de la plantation de 600.000 arbres
à fruit ou à noix, 400.000 plantes de
bambou (pour pousses de bambou et utilisation générale), 1.440.000 arbres de Moringa
(feuilles « à épinards » comestibles), afforestation à espèces
traditionnelles 1.200.000 arbres.
50. 41 Banques de semences créées et en fonction a niveau des commission
intermédiaires.
51. Une banque de semences créée au niveau du projet et en fonction.
Meuneries et épargnes y relatives.
52. 288 meuneries manuelles établies et en fonction à niveau local de
développement.
53. Épargne de temps des femmes et jeunes filles pour la préparation
des aliments sur une base typique de
€ 1.832.000.
Activités agro-forestières et biomasse pour la production de
mini-briquettes pour les fourneaux améliorés.
54. 576 contrats pour la fourniture de biomasse pour la production
des mini briquettes pour les foyers et en cours d’exécution.
55. Un projet démonstration pour le reforestation et parc
naturels utilisant des espèces natives établi et en cours
d’exécution. 1.200.000 arbres (400
arbres par hectare sur
57. 288 initiatives au niveau de développement
local pour les plantations de bambou sur le
prairies ou terres de récolte planifiées et en cours de mise en
œuvre. Superficie moyenne de hectares par initiative à 2000 plantes par
hectare, soit (1400) hectares et 400.000 plantes au niveau du projet entier.
58.
288 activités
agro-forestières à petite échelle – plantations à démonstration et à
utilisation exclusivement locale, y comprises les plantation de Moring sur les terres marginales. Superficie moyenne
59.
288 activités pour la plantation, récolte et distribution
d’huile de Jatropha. Superficie moyenne
par activité
Éclairage
photovoltaïque à faveur des études ; éclairage et réfrigération dans les
cliniques et les épargne y relatives.
60. 288
Systèmes éclairage à 200 Wc un système installé dans
chacune des 288 écoles élémentaires au niveau local de développement.
61.
288 Systèmes éclairage à 200 Wc un système installé
dans chacune des 288 salles d’études au niveau local de développement.
62.
41 Systèmes éclairage à 400 Wc un système installé dans chacune des 41 écoles
secondaires au niveau intermédiaire de développement.
63.
41 Systèmes éclairage à 400 Wc un système installé dans chacune des 41 cliniques au
niveau intermédiaire de développement.
64.
41 Systèmes de réfrigération à 400 Wc pour vaccines et médicaments un système installé au
niveau intermédiaire de développement.
Transport et communications.
65.
66. 288 unités de
radiotéléphone ou équivalent établies et fonctionnelles au niveau de commission
réservoir.
67.
Une station radio locale établie, avec personnel,
et fonctionnelle.
Unités
de production.
68.
4 unités coopératives de production d'articles en
composites de gypse construites et opératives.
69.
41 unités coopératives pour la production des mini briquettes pour les
foyers construites et opératives au niveau de développement
intermédiaire.
70
Une coopérative pour l’installation et l’entretien des
services de fourniture en eau potable établie et opérative.
71
Unité production
(b) les
responsabilités et capacités techniques et de gestion des différents groupes de
parties prenantes ou partenaires .
Pas applicable.
(c)
La situation AVEC L’ACTION par rapport à la situation SANS L’ACTION.
Niveau actuel des services (situation sans l’action).
Le taux d'accès de la population pour les structures d'assainissement en
milieu rural en Burkina Faso est très bas. La situation dans la zone du projet est
encore moindre. Dans la pratique, il manque de structures sanitaires. Les
habitants disposent de leurs urines et excréta à l’air libre.
L'évacuation des eaux
usées domestiques constitue un problème d'assainissement; le taux de disponibilité est presque nul dans
la zone de projet. Cela veut dire que les eaux des douches, les eaux usées
ménagères avec les urines sont répandues dans la nature. Notons que dans les
villages les plus grands, les puisards mal construits élèvent des moustiques et
autres vecteurs des maladies.
Cette déficience des
mesures adéquates d'assainissement conduit à un mode de transmission à partir
des excréta des maladies diarrhéiques dont le choléra et les parasitoses
intestinales.
Le projet prévoit la
construction locale avec l'installation généralisée de systèmes sanitaires à
compostage à sec complets en composites de gypse, dans le cadre du système
monétaire local à établir. Les structures prévues sont soit individuelles, soit
collectives pour les écoles, les centres de santé, les marchés et les autres
lieux publics.
La situation de
l’hydraulique dans la zone du projet est dramatique.
Le problème d'eau se
pose avec acuité tant en milieu urbain (Tougan) que rural. Dans certains
villages de véritables structures de fourniture en eau n’existent point.
Dans la zone du projet
il y a seulement (nombre) châteaux
d'eau (nombre) (La capacité de ces
réservoirs reste variable et insuffisante.)
La fourniture d'eau dans les écoles et les centres de santé serait à
envisager pour la pratique d'une bonne hygiène.
L'hydraulique
villageoise : dans les villages de la préfecture les habitants parcourent de
longues distances à la recherche d'eau et encore d'une qualité douteuse, ce qui
les rend malades. Les conséquences qu'encourent les consommateurs sont
nombreuses.
La consommation totale moyenne d’eau est autour de
30 litres/personne/jour.
Tous les problèmes
traditionnellement liés à une qualité inacceptable d’alimentation en eau dans
les pays pauvres y sont présents, à dire de nombreux cas de décès liés à l’eau,
saisonnalité de la fourniture, distance et mauvaise implantation, distance
moyenne de plusieurs kilomètres du centre des lotissements jusqu’aux points
d’eau, le temps moyen passé par jour et par ménage pour aller chercher de l’eau.
L'eau achetée aux
revendeurs coûte en moyenne (montant) (Euro) le seau de
Personne dans la zone du
projet n’a accès actuellement aux « services de base » pour l’eau
potable ou l’assainissement hygiénique au sens des buts pur le Millennium.
Les informations au
niveau local de la situation Eau et Assainissement proviennent des observations
directes sur site.
La croissance de la
population dans la zone du projet est 1,6% par an.
Sans le projet
est-il improbable que la situation de
l’approvisionnement en eau et d’assainissement des communautés cibles puisse
s’évoluer à l’avenir.
D’autres initiatives
alternatives, ne sont pas actuellement prévues.
La situation « avec l’action »
La situation actuelle de l’approvisionnement en eau et de l’assainissement
dans les communautés cibles sera améliorée par moyens de l’alimentation en eau
potable saine, d’une structure complète d’assainissement écologique, de la
formation de Clubs d’Hygiène et de cours d’éducation à l’ hygiène aux écoles,
et des structures pour la récolte d’eau pluviale à fin que les familles aient
une très bonne qualité d’eau pour leur utilisation personnelle, et une quantité
suffisante d’eau pour leur utilisation domestique générale. Les services sont
mis à la disposition de la population entière. Les femmes et les filles ne
doivent plus faire la corvée. La gestion autonome des structures reste en main
des populations elles-mêmes. Les structures sont mises en exécution dans le
cadre d’un système stable, coopératif, sans intérêts et sans inflation de
structures financières locales créées par le projet.
Le niveau de consommation d’eau potable saine par habitant
est prévu en
Grâce au projet, tous les 76.740 habitants de
Au
cours de la première année de la mise en œuvre du projet créera-t-on les structures
sociales et financières locales nécessaires à la réalisation des structures
productives et d’installation des services. Les structures en eau potable au
niveau des forages seront disponibles à distance de 15 mois environs. Les
structures physiques au niveau des réservoirs seront disponibles à distance de
18 mois environs. L’installation des structures de la récolte d’eau pluviale
commencera à distance de 21 mois environs. L’installation des structures
d’assainissement au niveau des ménages commencera à distance de 18 mois environs.
Au cas
de la réussite du projet, prévoit-on l’adoption des concepts au niveau
national. La couverture national en Burkina Faso signifie l’introduction de 270
de ces projets, à un coût total national de € 1.500.000.000). Tous ces projets
pourraient être réalisés avant l’an 2018. À couverture du 100% de la population
nationale.
L’éventuelle
ultérieure extension des services mis en place du projet reste une décision des
populations elles-mêmes, responsables de leur gestion. En principe,
l’alimentation en eau auprès des réservoirs peut être augmentée du 30% à coût
additionnel très faible n’ajoutant que 100 Wc de panneaux solaires aux systèmes solaires
existants installés pendant l’action. Dans la plupart des cas, pourrait-on
aussi installer un système réservoir additionnel (pompe solaire, panneaux,
tuyau de refoulement, réservoir) dans un
forage existant. La construction
d’habitations nouvelles sera accompagnée automatiquement par l’installation de structures d’assainissement
et de récolte d’eau pluviale. Les concepts suivis sont flexibiles. Ils peuvent être adaptés, à très faible
coût à toute situation nouvelle qui se puisse présenter.
(d) Décrivez le plan de suivi détaillé que le
projet entend établir pour surveiller les indicateurs.
Voir
le tableau des indicateurs (surtout WASH –Eau, assainissement et éducation à
l’hygiène).
Voir
le cadre logique du projet.
Voir la protection des intérêts des bailleurs de fonds.
Voir la structure de contrôle des comptes.
Voir schéma des structures d’audit.
Les suivants apports de la part de professionnels
sont prévus :
Audit indépendant.
Conseil indépendant de révision continue des
comptes, à sept membres. Le conseil peut avoir pouvoirs d’investigation, et
prendre vision en tout moment des documents du projet.
Informations utiles aux bailleurs de fonds.
La table complète des
matières.
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