ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.
PROJETS DE
DÉVELOPPEMENT LOCAL INTÉGRÉ, ÉCOLOGIQUE, DURABLE, ET AUTOFINANCÉ.
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Édition
01 : 29 Novembre, 2013.
La
structure coopérative locale d’échange SEL –LETS.
L’établissement d’un
système local d’échange au cours du projet est nécessaire pour résoudre les problèmes
associés au manque chronique de monnaie formelle dans la zone du projet. Le
système SEL-LETS crée une unité de échange locale pour permettre le transfert
local de biens et de services locaux. Un tel système éliminera des problèmes
typiques du fonctionnement de projets de développement tels:
"On n’a pas d’argent pour payer l’eau
potable."
"Il n’y a pas de moyens financiers pour faire la récolte des contributions
mensuelles."
"On n’a pas d’argent pour l’achat de systèmes d’assainissement."
Souvent, n’a-t-on
besoin que d’un moyen pour le transfert de biens et de services entre
les habitants de la zone du projet sans qu’ils aient besoin de l’argent formel.
L’utilisation d’un système local sert aussi à arrêter la fuite financière de la
zone du projet, l’une des causes principales de la pauvreté.
Ces
structures pour l’institution d’une monnaie locale dans la zone du projet
seront établies pendant l’atelier organisationnel Moraisien prévu.
On est en train de
développer des systèmes modernes pour l’enregistrement des transactions. L’un
en est une fiche électronique pour la
micro-finance décrit dans un article par P.
Pain sur le journal The Hindu, Los Angeles, 18 Septembre, 2011.
Introduction brève.
“Time is money” (Franklin, B., To My Friend A.B.,
Advice to a Young Tradesman Written by an Old One, in Benjamin Franklin, written by
Himself, to which is added his miscellaneous essays, Miller, Orton and
Mulligan, New York, 1855, essay 251.)
Tous les habitants adultes locaux devront être enregistrés comme membre du
système SEL -LETS local. L'utilisation du système serait, sauf pour les biens
et services fournis pour le projet même, volontaire. Le système de monnaie
locale ne se substitue pas à celui en monnaie formelle. Les habitants pourront,
sauf pour les travaux faits pour le projet, choisir s'ils préfèrent d'effectuer
une transaction dans la monnaie SEL -LETS locale ou avec l'utilisation d'argent
formel. L'être adulte signifiera, sujet toujours à la décision des ateliers
organisationnels et aux conditions de la convention internationale sur les
droits de l'enfant, dans de la plupart des projets individuels, l'âge (12 ans)
où les enfants quittent l'école primaire et devront trouver un emploi
productif. On prévoit la participation de 50.000 membres environ pour le projet
Vivons Tougan.
On prévoit, dans le cadre du projet une extension rapide des possibilités
éducatives de tous les enfants de chaque zone de projet. Les populations
décideront en tel cas s’ils veulent augmenter l’âge de participation au système
de monnaie locale. En principe, la possibilité de participer au système SEL
-LETS n’est pas en conflit avec l’éducation secondaire et tertiaire.
Chaque membre recevra un numéro de code qui permettra l'identification des groupes,
de la commission intermédiaire, et de la commission réservoir dont il fait
partie pour faciliter une participation correcte aux dépenses et revenus
collectifs tels l'éclairage local pour les études ou la vente de bois de
propriété collective locale. Le système permettra d’ailleurs la classification
des membres selon les clubs et groupes volontaires auxquels ils voudront
participer.
Cas échéant, des "catalogues" de biens et services serpont
rédigés périodiquement dans une forme compréhensible et lisible par les
membres. Au cas du Vivons Tougan la nature des biens et services disponibles et
l'identité de ceux qui les fourniront seront connues au niveau local.
Les systèmes SEL -LETS ont toujours la même valeur de référence.
La valeur de référence prévisible est celle de la valeur perçue d'une heure
de travail.. Puisque les systèmes SEL -LETS éventuellement créés dans les zones
limitrophes auront les mêmes bases de référence, les débits et les crédits
pourront être transférés d'un système SEL -LETS à l'autre à fin de faciliter
l'exportation et l'importation de biens et services entre les systèmes. Pas
tous les biens et services seront transférables, car cela pourrait porter à la
fuite de richesse d'un système à l'autre. Les systèmes SEL -LETS fonctionnent
mieux lorsque les ressources financières restent équilibrées dans chacun des
systèmes. Les coordinateurs des systèmes SEL -LETS, ayant reçu les
recommandations des usagers, décideront quels biens et services peuvent être
“exportés” ou “importés”. Par exemple un produit en composites de gypse
fabriqué dans le groupe A pourrait être exporté vers le group B. De l'étoffe
faite dans le groupe B pourrait être exportée vers le groupe A. La verdure et
les fruits qui ne sont pas cultivés d’une part, pourront être importées des
autres groupes pour y augmenter la diversité de l'alimentation.
On fournit aux membres un capital initial pareil à un certain nombre
d’heures (probablement 50) de travail à fin d’éviter toute sensation
d’endettement.
Le système permet l'intégration des biens et propriétés communaux et
collectifs dans le système des transactions SEL - LETS. Par exemple, la vente
en monnaie locale de bois d'un terrain communal (ou collectif) peut être
enregistrée à bénéfice du groupe qui en est le propriétaire et par la suite
distribuée aux membres individuels du groupe.
L’un des problèmes à
résoudre, surtout des les zones à fort taux d’analphabétisme, est la forme des
transactions locales. En Amérique Latine utilise-t-on fréquemment des
«scrips» , soit des valeurs en forme de billet, comparables avec l’argent
comptant formel. Un tel système a l’avantage qu’il est immédiatement
compréhensible à tous les participants. Il a d’autre part plusieurs
désavantages importants, parmi lesquels le manque de contrôle sur la
concentration des billets dans les mains d’un groupe restreint portant à la
création d’une «pénurie » auprès d’autres secteurs de la population,
les possibilités ouvertes aux actions frauduleuses, et l’exigence du rappel fréquent des billets
usés et leur remplacement avec de nouvelles émissions.
Une ressource importante sur le développement
économique local en générale (pas spécifiquement sur les systèmes SEL) est le
manuel (en anglais) de Ward B. et Lewis J., Plugging the
Leaks, New Economics Foundation, Londres, 2002. On a pris en
considération l’exemple du seau avec des trous.
Voir aussi :
Introduction aux systèmes de
monnaie locale SEL-LETS (actuellement ne
disponible qu’en anglais).
L’administration automatisée des systèmes SEL-LETS.
Pacquet d’informations de la
LETS-LINK U.K.
L’organisation pratique.
L'un des buts du projet est la promotion d'une amélioration du niveau de
scolarisation des enfants. L'âge minimum pour la participation au système
productif devrait pouvoir s'augmenter à travers les années pour arriver, en
premier lieu à 14 ans, puis à 16 ans.
Chaque membre recevra un numéro qui permettra l'identification des groupes,
de la commission intermédiaire, et de la commission réservoir dont il fait
partie pour faciliter une participation correcte aux dépenses et revenus
collectifs tels l'éclairage local pour les études ou la vente de bois de
propriété collective locale.
Au niveau de chacune des 288 commissions réservoir
va-t-on créer une série de structures, parmi lesquelles:
- assistance professionnelle pour les
transactions (au moins une poste de travail auprès de chaque commission
réservoir).
-
points pour la dépôt des notes des transactions.
-
des tableaux d’affichage.
-
une voix permanente sur l’ordre du jour des réunions
publiques des commissions réservoir.
-
le transfert des notes des transactions pour
l’enregistrement.
Des centres
d’enregistrement des transactions sont
construits et équipés au niveau de chacune des 41 commissions intermédiaires du
projet. Chaque centre peut soutenir d’entre les 2 et les 6 techniciens
d’enregistrement, avec une capacité de 200 enregistrements par heure, avec une,
deux ou trois équipes de service. La capacité maximum par centre est donc de
4800 transactions par jour, soit un moyen de trois transactions par jour pour
chaque adulte servi de la commission réservoir. Les centres d’enregistrement
tiennent backup, et documentations sur papier et électroniques des transactions
effectuées.
Les centres transactions liaisonnent avec la
direction centrale du système SEL -LETS.
La direction centrale du
système tient backup, et documentations sur papier et électroniques des
transactions effectuées. Elle tient les statistiques de l’opération du système.
Elle liaisonne avec d’autres (éventuels) systèmes de monnaie locale, résoudre
les conflits opérationnels. Elle est également responsable de toute décision
qui n’est pas prise aux niveaux des commissions réservoir et intermédiaire.
Des "catalogues" de biens et services devraient être rédigés
périodiquement dans une forme compréhensible et lisible par les membres. Au cas
de la zone du projet, la nature des biens et services disponibles et l'identité
de ceux qui les fourniront seront connues au niveau local.
Comme déjà remarqué ci-dessus, la valeur de référence prévisible sera celle
de la valeur perçue d'une heure de travail. Les autres systèmes SEL-LETS futurs
opérant en Burkina Faso et dans d’autres pays auront la même base de référence.
Les débits et les crédits pourront être transférés d'un système SEL -LETS à
l'autre à fin de faciliter l'exportation et l'importation de biens et services
entre les systèmes. Pas tous les biens et services seront transférables, car
cela pourrait porter à la fuite de richesse d'un système à l'autre. Les
systèmes SEL -LETS fonctionnent mieux lorsque les ressources financières
restent équilibrées dans chacun des systèmes. Les coordinateurs des systèmes
SEL -LETS, ayant reçu les recommandations des usagers, décideront quels biens
et services peuvent être “exportés” ou “importés”. Par exemple un produit en
composites de gypse fabriqué dans le groupe A pourrait être exporté vers le
group B. De l'étoffe faite dans le groupe B pourrait être exportée vers le
groupe A. La verdure et les fruits qui ne sont pas cultivés d’une part,
pourront être importées des autres groupes pour y augmenter la diversité de
l'alimentation. En ce cas éventuel et futur, la clef du succès du système reste
le concept que les exportations et les importations de chaque groupe restent en
équilibre, tendant vers le zéro.
Il y aura un coordonnateur des activités SEL -LETS pour
chaque commission réservoir. Le premier coordonnateur de chaque groupe sera
indiqué par la commission réservoir et participera à l'atelier organisationnel
pour la formation du groupe SEL -LETS de la zone. Le coordonnateur SEL -LETS
local devrait être lettré. Il répondrait, à travers la commission réservoir, au
coordonnateur générale du système SEL -LETS selon les structures adoptées par
l'atelier organisationnel. Le coordonnateur local aidera les membres du groupe
SEL -LETS qui ne peuvent pas écrire/signer leurs chèques (ou d'autres formes de
paiement établies), effectuer la distribution des livrets de chèques (ou des
autres moyens de paiement adoptés) aux usagers, faire la récolte des chèques
(ou équivalent) déposés dans la boîte SEL -LETS (“ LETS POST box”) placée a
côté du réservoir local, et les emporter au centre d’enregistrement au niveau
de la commission forage local. Il publiera les rapports périodiques (par
semaine, mensuels) sur une plaque pour les affiches (LETS NOTICE BOARD) située
auprès ou au-dessus de la boîte SEL -LETS. Il informera les membres illettrés
de leurs soldes SEL -LETS. Il convoquera, à travers la commission réservoir,
une réunion tous les quinze jours, ou bien une fois par mois, pour discuter et
faire de la critique active sur l'opération du système SEL -LETS , avancer des
demandes particulières telles l'augmentation provisoire des limites de débit en
faveur des membres malades ou de membres qui doivent faire des achats particulièrement
importants, et discuter l'utilisation des biens et services des membres avec
débits élevés dans le but de les aider à équilibrer leurs bilans. Il discutera
avec les membres des propositions pour l'exportation et l'importation de biens
et services vers le système SEL -LETS local et en informera le bureau de
coordination du système.
La structure générale sera décidée au cours de l'atelier
organisationnel qui le constituera. On prévoit l'élection au niveau de
commission réservoir de responsables de l’enregistrement des transactions, qui
travailleront au niveau de commission intermédiaire.
L’atelier pourra choisir d’incorporer les structures
SEL-LETS dans celles du projet gérées par la coopértive «Projet Vivons Tougan (Gestion Permanente) », ou une structure indépendante parallèle.
Au cas où les habitants choisissent à faveur d’une
structure parallèle à celle du projet, les représentants au niveau de
commission réservoir choisiront un 1 représentant au niveau intermédiaire. Les
41 représentants intermédiaires choisiront au niveau de comité central
(parlement), qui aura donc 41 membres qui choisiront un bureau de
direction composé d’un directeur générale et d'un conseil restreint constitué
d'un secrétaire, d'un trésorier (les systèmes auront même quelque frais de
gestion exprimés en argent formel), d'un coordonnateur des enregistrements, et
d'un coordonnateur chargé de l'entretien des équipements. Le bureau de
direction se rencontrera périodiquement avec le «parlement » , par
exemple une fois par mois, pour discuter des problèmes courants et des
initiatives nécessaires à équilibrer les comptes avec les autres systèmes SEL
-LETS. Le bureau de direction fera rapport
une fois par mois soit aux bureaux d’enregistrement des transactions au niveau
des forages, soit aux responsables locaux, avec les instructions du cas.
Le bureau de direction devrait se rencontrer de façon
régulière avec les coordonnateurs des systèmes LETS soit au niveau
intermédiaire et au niveau de réservoir pour résoudre les problèmes de nature
plus générale et les conflits administratifs.
Opération du
système.
Des fiches périodiques seront publiées tous les quinze
jours ou tous les mois sur des panneaux d’informations (LETS NOTICE BOARD) auprès
des réservoirs à eau. À choix des populations, les fiches pourront même
contenir, pour chaque membre, la solde précédente, la solde actuelle, le nombre
total de transactions enregistrées en crédit, le nombre total de transactions
enregistrées en débit, et les détails des transactions effectuées en plus et en
moins depuis le dernier rapport. En principe, la situation de chaque membre
peut rester dans le domaine public, si l’on exprimera une option à faveur d’une telle solution.
Le chèque (ou autre forme de transaction adoptée) devrait
avoir trois sections. Chaque section portera y imprimés le nom du membre et son
numéro de référence. Des fiches de
crédit/débit multiples seront mises à la disposition des opérateurs qui font
beaucoup de transactions pour des petits montants. Quelques exemples : les
revendeurs aux marchés, les services de transport public, l’utilisation de
toilettes publiques.
On se sert toujours du chèque du vendeur car c'est lui qui a l'intérêt à faire enregistrer la transaction.
Le nom et le numéro de référence de l'acheteur doivent être remplis sur le
chèque, cas échéant avec l'aide du coordonnateur local choisi de la commission
réservoir local, avec une description (avec code de référence) des biens ou
services dont il s'agit. Les sections du chèque sont cosignées par les deux
parties. La section à présenter pour la enregistrement est déposée, à
responsabilité du vendeur, dans une boîte SEL -LETS. Une deuxième section est
tenue par le vendeur et la troisième par l’acheteur. Pour les toutes petites
transactions fréquentes peut-on se servir d’un système à bons (vouchers).
Les membres individuels pourront fournir de biens et
services à chaque niveau économique - pour le projet en général, pour des
communautés au niveau de commission intermédiaire, pour des communautés au
niveau de commission de réservoir, et pour des regroupements de choix comme par
exemple des clubs de sport, des organisations culturelles, ou des organisations
coopératives.
À titre d’exemple les paiements pour des services SEL
-LETS fournis par les membres individuels à la communauté seront débités sur un
compte SEL -LETS au nom de la communauté entière. Lorsque le débit
communautaire s'élèvera à une unité (point) pour chaque membre du système (ou le
montant que l'administration du système déterminera) chaque membre sera débité
de son quota du montant même. Le compte communautaire sera accrédité avec le
montant total débité aux membres.
Le système permet l'intégration des biens et propriétés
communs et collectifs dans le système des transactions SEL -LETS. Par exemple,
la vente en monnaie locale de bois d'un terrain communal (ou collectif) peut
être enregistrée a bénéfice du groupe qui en est le propriétaire et par la
suite distribuée à ces membres individuels.
Création du système.
On
tiendra un atelier organisationnel dans chaque zone du projet selon les
principes de Clodomir de Santos de Morais pour la préparation des structures
pour l'application des systèmes à monnaie locale SEL -LETS.
Participation
indicative:
Les
animateurs Moraisiens.
Le coordonnateur du projet.
Le consultant au coordonnateur.
1 Représentant du Ministère des Finances.
1 Représentant du Ministère du Développement Rural.
2 Représentants ONG (nom).
5 Observateurs (possibles coordonnateurs de projets futurs).
105-120 personnes qui auront indiqué leur intérêt à faire l'enregistrement des
transactions.
288 personnes (hommes et femmes) qui auront indiqué leur intérêt à faire
d'animation au niveau des commissions réservoir.
Durée
de l’atelier: six semaines environ.
Les
structures que les ateliers devraient sortir:
a)
Définition de la forme sociale :
-
Statuts.
- Règlement.
- Structures professionnelles et administratives.
- Financement.
- Rapport avec les autres monnaies locales non formelles.
b) Une
structure pour l’enregistrement des transactions :
-Locaux
travail.
-Adaptation des ambiances contre éléments et poussières.
-Mesures de sécurité et information.
-L'achat d’ordinateur, d’imprimante, de photocopieuse, de scanner, de fax, et accessoires branchement électrique
éventuellement à panneaux PV.
-La distribution des structures physiques : boîtes SEL; plaques affiches.
-La préparation des chèques (ou autres documents d'échange).
-La publication des services disponibles.
c) Les
rapports avec les usagers :
-Les
réunions d’informations au niveau des commissions réservoir.
-La présentation du coordonnateur local .
-L'enregistrement des membres .
-La distribution des chèques (ou autres documents d'échange).
-Le commencement des transactions.
d) Une
structure de la communication :
Verticale,
au niveau du projet (coordonnateur projet, des responsables de l’enregistrement
et des transactions, animateurs au niveau de commission réservoir, usager
final)
Horizontale, entre les responsables à chaque niveau.
Horizontale, avec les responsables des autres éventuels systèmes locaux.
Organisation Commerciale, radio, site web etc.
On prévoit que plus de 100 personnes deviennent
nécessaires pour l’enregistrement, 288 personnes (même, cas échéant, 576) pour
l’assistance pratique sur lieu pour l’exécution des transactions. Y ajoutez les
gardiens nécessaires aux centres d’enregistrement, des courriers, et personnes pour d’autres tâches encore. Les
«frais» de gestion du système de monnaie locale semblent énormes.
Le système fournira 271 occupations FTE permanentes.
La création des structures prévues.