ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.

 

                                                                                    01. Cours e-learning: Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév.Int)

 

Édition 03: 09 Septembre, 2009

 

Tekstvak:         Trimestre 2.

 

 

 

Tekstvak: SECTION B : LES SOLUTIONS AUX PROBLÈMES.

 

 

 

Valeur attribuée : 06 points sur 18

Travail prévu : 186 heures sur 504

 

Les points ne sont attribués qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour la Section B : Les Solutions aux Problèmes.

 


 

Cinquième bloc : Comment les structures dont au troisième bloc font face à des problèmes spécifiques.

 

Valeur attribuée : 02 points sur 18

Travail prévu : 54 heures sur 504

 

Les points ne sont attribués qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour la Section B : Les Solutions aux Problèmes.

 


 

Cinquième bloc : Comment les structures dont au troisième bloc font face à des problèmes spécifiques.

 

Section 6: Corruption. [5 heures]

 

02.00 Heures analyse matériel du Modèle.

02.00 Heures approfondissement.

01.00 Rédaction rapport.

 


 

Corruption interne aux structures créées.

 

 

Mesures contre la corruption dans le cadre des structures créées.

 

Introduction.

 

Les structures des projets de développement intégré ne se substituent pas aux instances formelles administratives et judiciaires de l’état.

 

Les projets de développement intégré s’entendent libres de la corruption. Dans cette section fait-on une description des mesures incorporées dans les projets pour combattre la corruption. La plupart des habitants des zones du projet sont en général d’accord sur ce qu’elle est, la corruption. Toutefois, des situations délicates liées aux privilèges acceptés selon les traditions tribales peuvent bien se présenter au cours de l’exécution du projet. Les structures du projet doivent fournir des instances pour la résolution de telles situations selon le cas individuel. Les structures des projets établies pendant l’exécution des projets fonctionnent indépendamment soit des structures politiques et administratives formelles soit des structures tribales traditionnelles. Elles doivent, toutefois, pouvoir opérer harmonieusement et de manière complémentaire avec les institutions politiques et tribales. Des conflits permanents rendraient plus compliquée l’exécution du projet.

 

Les suivants aspects sont pris en considération:

 

Les contrôles systématiques sur l’exécution des projets.

Les structures pour le contrôle des comptes des projets.

Le support des structures tribales locales et des groupes féminins aux projets.

Le support des structures formelles politiques et administratives locales aux projets.

Le contrôle social à travers les structures du projet et le rôle dominant y réservé aux femmes.

Quelques risques spécifiques de corruption pris en considération.

La détection de la corruption et l’encouragement à faveur, et la protection, des rapporteurs.

Les structures pour l’évaluation des plaintes.

 

Le monitorage continu.

 

Puisque les projets ne couvrent qu’une superficie restreinte et que la population entière y participe, le monitorage et l’évaluation des résultats des diverses activités des projets sont relativement simples. Les résultats de la plupart des activités sont physiques et visibles à tous. L’utilisation des différentes structures des projets est enregistrée et évaluée tous les jours comme élément de leur fonctionnement normal. Les opérations peuvent, par conséquence, être sujettes à vérification en temps réel.

 

Les actvités de contrôle des comptes et la protection des intérêts des bailleurs de fonds.

 

Détails complets sur les structures de contrôle des comptes se trouvent à la section 4.20 Les structures de vérification des comptes du Modèle. La documentation des projets comprend un schéma des structures d’audit  prévues. Ils y ont deux niveaux prévus de vérification des comptes. Le premier en est une structure permanente de contrôle continu des comptes de la ONG responsable de la supervision de l’exécution de chaque projet. Il s’agit d’une commission tout à fait indépendante du coordonnateur du projet en question et de son équipe. Ses membres peuvent être membres du Conseil de la ONG responsable de la supervision de l’exécution du projet, et/ou des experts externes. Le deuxième niveau en est un contrôle périodique d’audit externe du type traditionnel. Les responsables des contrôles des comptes possèdent, à tous les deux les niveaux, des pleins droits d’inspection sur site et de pouvoir prendre vision de la documentation entière du projet, cela sans aucun préavis.

 

L’exécution des projets passe à travers une série de passages logiques pour la création des structures du projet, à commencer des structures sociales prévues, puis celles financières, suivies de celles de production, et pour finir avec celles des services. L’exposition des bailleurs de fonds à un point quelconque de l’exécution reste réduite. La mise en exécution des structures successives ne peut avoir lieu qu’après l’établissement et la mise en opération de celles précédentes.

 

Le contenu en capital nouveau des structures des projets tend à s’augmenter suivant le progrès fait avec l’exécution du projet. Les premières structures, celles sociales et financières, sont à faible contenu en monnaie formelle. Le troisième groupe de structures, celles productives, ont un contenu intermédiaire de capital en monnaie formelle. Les dernières structures, celles des services, et en particulier celles pour la fourniture en eau potable, comportent l’investissement le plus élevé en termes de monnaie formelle. Au  moment où l’on n’est prêt à procéder à l’installation des structures de service, la plupart des travaux d’exécution y relatifs peut être effectuée dans le cadre du système de monnaie locale déjà établi, et l’on est déjà en train de faire la récolte systématique des réserves en monnaie formelle à couverture des frais externes d’entretien et de remplacement à longue terme des biens achetés en compte capital.  Pour encore de détails voir à la section 07.14 Protection des intérêts des bailleurs de fonds du Modèle.

 

Support aux projets de la part des structures tribales traditionnelles.

Les projets, y comprise la section sur la corruption,  ont l’approbation de tous les chefs traditionnels et des groupes féminins de chaque zone de projet. Leur approbation, avec leurs  signatures, sont placées à la section 01.11 Déclaration de la participation de la population locale de la documentation de chaque projet. 

 

Support aux projets de la part des structures formelles politiques et administratives.

Les projets, y comprise la section sur la corruption, ont l’approbation des organes politiques et administratifs de la zone de chaque projet. Leurs approbations, avec leurs signatures, sont placées à la section 01.13 Déclarations du support du secteur politique de la documentation de chaque projet.  Elles comprennent celle de la Commune locale, qui est également souvent membre de la ONG Responsable de la Supervision de l’Exécution du projet, et peut être l’un des bailleurs de fonds.
La déclaration en support de chaque projet du membre de Parlement qui représente la zone du projet, et les signatures des responsables de la santé, de l’éducation, et des services environnementaux de la zone du projet sont toujours attendues et bienvenues.

 

Le contrôle social à travers les structures du projet.

 

Des structures sociales à trois niveaux sont établies pendant l’une des premières phases d’exécution des projets. Elles constituent les fondements des différentes structures financières et de service créées au cours des phases successives. Elles assurent un contrôle social étroit sur les activités de chaque projet sur tous ses niveaux..

 

Le premier niveau est celui des commissions réservoir, qui représentent 40 familles environ.

Le deuxième niveau est celui des commissions forage,  qui représentent 250 familles environ.

Le troisième niveau est celui de la commission centrale, qui représente 10.000 familles.

 

Voir :

 

La justification anthropologique des structures sociales.

Schéma de la zone du projet.

Illustration des lignes de gestion des structures.

 

Le développement social humain, surtout pendant les derniers 11.000 ans, se trouve à la base du choix des niveaux administratifs pour la gestion des structures du projet.

 

Les femmes jouent un rôle dominant à tous les niveaux:

 

Les 40 familles servies d’une commission réservoir élisent les 3-7 membres de leur commission réservoir. Avant de procéder à la première élection, créé-t-on  des clubs d’hygiène dans chaque zone de commission réservoir. Les clubs de santé servent comme plate-forme permettant aux femmes de se bien organiser et voter en bloc aux élections des membres de la commission réservoir. Le résultat en devrait être que la plupart, même tous, les membres des commission réservoir soit femme.

 

Chaque commission réservoir nomme un membre à la commission forage que la sert.  Puisque la plupart, même tous, les membres de la commission réservoir sera femme, attend-on qu’elles nomment une femme à la commission forage. Le résultat en devrait être que la plupart, même tous, les membres des commission forage soit femme.

 

Chaque commission forage nomme un membre à la commission centrale du projet.  Puisque la plupart, même tous, les membres des commissions forage sera femme, attend-on qu’elles nomment une femme à la commission centrale. Le résultat en devrait être que la plupart, même tous, les membres des commission centrale soit femme.

 

Quelques facteurs spécifiques de risque de corruption à prendre en considération. 

 

Le tableau suivant se sert, avec la permission gentille du propriétaire du Copyright, du matériel dont à l’annexe 09.53 Les besoins et l’avidité: les risques de la corruption, les perceptions et le prévention dans le secteur de l’aide humanitaire HPG Policy Brief 32, ODI Overseas Development Institute, London, Septembre 2008.

 

Quelques-uns des secteurs à risque élevé ci-dessous cités ne sont pas toujours applicables aux projets coopératifs de développement intégré où tous les membres de la populations participent à toutes les structures et à toutes les activités. Toutes les structures et tous les services des projets sont par définition non -sélectifs. La plupart des activités des projets ont lieu dans des situations sujettes à l’observation de tous et à un contrôle social étroit.

 

 

Groupe d’activité

Secteurs à risque élevés

Exemples de risques de corruption

 

 

 

Phase d’assistance initiale

 

 

 

Évaluation

Informations incorrectes données au fin de diriger de l’assistance à certaines familles, groupes ou zones, ou pour exagérer les exigences.

 

Enregistrement

Noms ajoutés aux listes des bénéficiaires en échange des paiements ou des faveurs sexuelles; on exige de l’argent ; enregistrements multiples.

 

Attribution (Targeting)

Chefs/collaborateurs/commissions fournissent des informations fausses sur les familles  se qualifiant pour l’attribution des assistances.  

 

Distribution

Les distributeurs apportent des modifications aux rations ou à leur composition, ou  délibérément distribuent des commodités  à des bénéficiaires "imaginaires" ou à des personnes n’y avant pas le droit..

Secteur

 

 

 

Aide alimentaire

Manipulation ou corruption à l’occasion des phases d’évaluation, d’enregistrement, et d’attribution ; diversion et vente au cours du transport ou du stockage; diminution des rations.

 

Articles à valeur élevée tels les médicaments

La manipulation ou la corruption à l’occasion des phases d’évaluation, d’enregistrement, et d’attribution; leur vente au cours du transport ou du stockage; la livraison de produits de mauvaise qualité; la manipulation des statistiques.

 

Construction

L’utilisation voulue de matériaux de mauvaise qualité ; la manipulation des titres de propriété.

Réalisation du projet

 

 

 

Acquisition

La collusion, corruption, ou soumission multiple de la même facture ; les conflits d’intérêt; la falsification des transactions ; la manipulation des statistiques.

 

Ressources humaines

Collaborateurs "imaginaires" ; le  népotisme.

 

Finances

Falsification ou augmentation injustifiée de factures, reçus ou transactions ; la manipulation des taux d’échange ; l’abus des comptes bancaires; les détournements ; la manipulation des statistiques.

 

Gestion du parque automobiles

L’utilisation privée pas autorisée de voitures et/ou le siphonage de carburants ; la collusion avec les fournisseurs de carburants ou de services; les enregistrements faux.

 

Logistique

La falsification des documents des magasins ; la diversion au cours du transport.

Méthodes d’engagement

 

 

 

Accords de partenariat

Des partenaires peuvent se rendre coupables dans les secteurs de corruption ci-dessus nommés.

 

Agrandissement des bureaux locaux pour livraison directe

L’acquisition des ressources humaines; la corruption pour obtenir des permis ou l’accès aux services publics.

 

Travail à travers des commissions

 

La diversion d’assistance vers réseaux des membres des commissions, y compris leurs amis et leurs familles; l’acceptation des paiements pour l’inclusion sur listes.

 

Travail à travers des structures traditionnelles locales / organes du gouvernement local

La diversion d’assistance vers des réseaux propres et vers des secteurs de support politique; l’acceptation des paiements pour l’inclusion sur listes; l’influence inconvenante des élites locales.

 

 

La détection de la corruption et l’encouragement et la protection des rapporteurs.

 

Dans le cadre de quelques systèmes sociaux traditionnels, des membres de la communauté peuvent avoir des difficultés à rapporter des cas d’abus ou de privilège de la part de leurs supérieurs. Quelques situations d’abus de  privilège peuvent être même socialement tolérés. Dans de telles circonstances, les rapporteurs peuvent expérimenter des problèmes sérieux à dénoncer les cas d’abus, ou même d’en avoir peur. De conséquence doivent-ils être convaincus que leurs plaintes seront prises sur sérieux. Il ne suffit pas de déclarer une politique de zéro tolérance dans le cadre d’un projet pour ce qui concerne la corruption. Les habitants doivent être à la hauteur de ce que le projet considère «la corruption ». Les élites de la communauté devront souscrire soit la politique anti-corruption du projet en question que la définition donnée du projet à la corruption. Puisque le projet est de nature coopérative, les privilèges de l’un signifient une diminution des priorités et/ou des bénéfices d’autres membres de la communauté.

 

Vu le contenu du tableau ci-dessus, vus les éléments à faveur d’un contrôle social puissant dans les zones des projets, demandera-t-on aux habitants de faire attention en particulier aux risques d’abus de privilège en général, de l’exclusion pas justifiée des services ou bien l’admission injuste aux services, aux cas où l’on demande aux  membres d’une communauté, ou les obligent, d’effectuer des paiements illicites, aux cas d’extorsion, aux cas de demande de faveurs de nature sexuelle en échange des services, aux cas de partition obligée de bénéfices et aux travaux et fournitures de mauvaise qualité.

 

Les structures pour la gestion des plaintes.

 

À main les structures de chaque projet sont créées et entrent en fonction, la responsabilité de leur gestion et entretien passe à la coopérative permanente de gestion des structures du projet.  Tous les habitants de la zone du projet sont membres de la Coopérative. Ils élisent les membres des Commissions Réservoir,  qui nomment les membres des commissions forage, qui nomment les membres de la commission centrale, qui nomme une petite équipe de direction.

 

La résolution des conflits qui sortent de la gestion permanente des structures des projet constitue l’une des tâches de la  Commission Centrale de la Coopérative de Gestion.  La commission centrale de chaque projet doit elle-même décider comment elle veut gérer cette tâche. On prévoit que d’habitude la Commission Centrale établisse une Commission de Révision des Plaintes dont les membres pourront venir de la Commission Centrale, ou bien être tout à fait indépendants du projet (de conséquence externes à la zone du projet) ou bien une combinaison des deux. La Commission de Révision des Plaintes réponde exclusivement à la Commission Centrale. Elle est tout à fait indépendant de l’équipe de direction du projet, dont les membres ne se qualifient pas à la participation à la Commission de Révision des Plaintes.

 

La résolution des conflits qui sortent au cours des phases d’exécution des projets mais avant le passage des structures du projet à la coopérative permanente de gestion des structures constitue l’une des tâches du Conseil de la coopérative d’exécution du projet.  L’ONG pour l’exécution du projet constitue le parlement du projet. Elle contrôle le fonctionnement du coordonnateur du projet et son équipe, qui ensemble forment «le gouvernement » du projet. Le conseil de l’ONG  responsable de la supervision de l’exécution de chaque projet doit lui-même décider comment il veut gérer sa tâche de la gestion des plaintes. Il peut décider d’agir lui-même comme Commission de Révision des Plaintes. Il peut décider de déléguer la tâche à la commission permanente de contrôle des comptes. Ou bien peut-il nommer une Commission de Révision des Plaintes dont les membres sont tout à fait indépendants du projet, par conséquence externes en rapport à la zone du projet. La Commission de Révision des Plaintes réponde exclusivement au Conseil de la coopérative permanente de gestion des structures. Elle reste tout à fait indépendant du coordonnateur de l’exécution du projet et son équipe, dont les membres ne se qualifient pas à la participation à la Commission de Révision des Plaintes.

 

1. Opinion.

 

Vous êtes en train d’expliquer aux populations de votre zone comment on cherche à combattre la corruption aux cours de l’exécution du projet et, ensuite, au cours de la  gestion successive des structures. Sur une page expliquez leur pourquoi on a besoin de deux structures pour la résolution des plaintes.

 

2. Opinion.

 

Au fin de pouvoir exercer un contrôle effectif sur la corruption et les irrégularités commises dans le cadre de la création et le gestion des structures des projets de développement intégré, le pouvoir exécutif («le gouvernement » ) et le pouvoir législatif  («le parlement ») sont tenus strictement indépendants l’un de l’autre. Sur une page décrivez exactement comment l’on réalise telle séparation des pouvoirs, soit au cours de l’exécution des projet, soit au cours de la gestion permanente des structures.

 

3. Opinion.

 

On indique, toujours sujet aux décisions prises des habitants à l’égard, une préférence à faveur de commissions de révisions des plaintes qui soient externes à la zone du projet en question. Au cas des premiers projets dans une région ou pays, une telle décision peut coûter chère, car les membres des commissions pourront demander paiement en monnaie formelle. En présence de plusieurs projets dans une région ou pays, les membres de commissions pourront venir d’une ou plusieurs des autres zones de projet. En tel cas, les membres pourront être payés dans le cadre des échanges entre les systèmes des monnaies locales . Sur une page expliquez la philosophie à la base des principes ici présentés.

 

4. Opinion.

 

Les structures des projets de développement intégré ne se substituent pas aux instances formelles administratives et judiciaires de l’état. Sur deux pages  faites une analyse des limites de la juridiction des Commissions de Révision des Plaintes prévues en rapport à celle aux institutions formelles. Écrivez une introduction dans laquelle vous établissez clairement les issus juridiques en question. Par la suite, faites une analyse brève des lois et/ou règlements de votre pays qui permettent aux individus et groupes de s’exclure en premier recours à la juridiction formelle. Des exemples peuvent être les règlements intérieurs des clubs et associations et les accords sur l’arbitrage. Par la suite, cherchez à distinguer entre les plaintes liées au système de monnaie local établie et celle liées aux transactions en monnaie formelle. Terminez votre travail avec une conclusion.   

 



 Section 6: Corruption.

 Cinquième bloc : Comment les structures dont au troisième bloc font face à des problèmes spécifiques.


Table matières pour le Diplôme du Développement Intégré  (Dip.Dév.Int)

 Liste des mots clefs.

 Liste des références.

  Schéma du cours.

 Aspects techniques.


  Cours disponibles.

Homepage Bakens Verzet


«L’argent n’est pas la clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »

Gesell Silvio, «The Natural Economic Order »

Version anglaise révisée, Peter Owen, Londres 1948, page 228

 

“Poverty is created scarcity” (La pauvreté est la privation construite)

Wahu Kaara, point 8 of the Global Call to Action Against Poverty, 58th annual NGO Conference, United Nations, New York 7 Septembre 2005.


 

Creative Commons License

 

Cette œuvre est mise dans le domaine public aux termes d’une licence

Creative Commons Attribution-Non-commercial-Share Alike 3.0.

 

NGO "ANOTHER WAY" (STICHTING BAKENS VERZET), NETHERLANDS, SUSTAINABLE INTEGRATED SELF-FINANCING DEVELOPMENT PROJECTS AND ADVANCED DEVELOPMENT TECHNOLOGIES

ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM Amsterdam, Pays Bas.

 

                                                                                    01. Cours e-learning: Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév.Int)

 

Édition 03: 09 Septembre, 2009

 

Tekstvak:         Trimestre 2.

 

 

 

Tekstvak: SECTION B : LES SOLUTIONS AUX PROBLÈMES.

 

 

 

Valeur attribuée : 06 points sur 18

Travail prévu : 186 heures sur 504

 

Les points ne sont attribués qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour la Section B : Les Solutions aux Problèmes.

 


 

Cinquième bloc : Comment les structures dont au troisième bloc font face à des problèmes spécifiques.

 

Valeur attribuée : 02 points sur 18

Travail prévu : 54 heures sur 504

 

Les points ne sont attribués qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour la Section B : Les Solutions aux Problèmes.

 


 

Cinquième bloc : Comment les structures dont au troisième bloc font face à des problèmes spécifiques.

 

Section 6: Corruption. [5 heures]

 

02.00 Heures analyse matériel du Modèle.

02.00 Heures approfondissement.

01.00 Rédaction rapport.

 


 

Corruption interne aux structures créées.

 

 

Mesures contre la corruption dans le cadre des structures créées.

 

Introduction.

 

Les structures des projets de développement intégré ne se substituent pas aux instances formelles administratives et judiciaires de l’état.

 

Les projets de développement intégré s’entendent libres de la corruption. Dans cette section fait-on une description des mesures incorporées dans les projets pour combattre la corruption. La plupart des habitants des zones du projet sont en général d’accord sur ce qu’elle est, la corruption. Toutefois, des situations délicates liées aux privilèges acceptés selon les traditions tribales peuvent bien se présenter au cours de l’exécution du projet. Les structures du projet doivent fournir des instances pour la résolution de telles situations selon le cas individuel. Les structures des projets établies pendant l’exécution des projets fonctionnent indépendamment soit des structures politiques et administratives formelles soit des structures tribales traditionnelles. Elles doivent, toutefois, pouvoir opérer harmonieusement et de manière complémentaire avec les institutions politiques et tribales. Des conflits permanents rendraient plus compliquée l’exécution du projet.

 

Les suivants aspects sont pris en considération:

 

Les contrôles systématiques sur l’exécution des projets.

Les structures pour le contrôle des comptes des projets.

Le support des structures tribales locales et des groupes féminins aux projets.

Le support des structures formelles politiques et administratives locales aux projets.

Le contrôle social à travers les structures du projet et le rôle dominant y réservé aux femmes.

Quelques risques spécifiques de corruption pris en considération.

La détection de la corruption et l’encouragement à faveur, et la protection, des rapporteurs.

Les structures pour l’évaluation des plaintes.

 

Le monitorage continu.

 

Puisque les projets ne couvrent qu’une superficie restreinte et que la population entière y participe, le monitorage et l’évaluation des résultats des diverses activités des projets sont relativement simples. Les résultats de la plupart des activités sont physiques et visibles à tous. L’utilisation des différentes structures des projets est enregistrée et évaluée tous les jours comme élément de leur fonctionnement normal. Les opérations peuvent, par conséquence, être sujettes à vérification en temps réel.

 

Les actvités de contrôle des comptes et la protection des intérêts des bailleurs de fonds.

 

Détails complets sur les structures de contrôle des comptes se trouvent à la section 4.20 Les structures de vérification des comptes du Modèle. La documentation des projets comprend un schéma des structures d’audit  prévues. Ils y ont deux niveaux prévus de vérification des comptes. Le premier en est une structure permanente de contrôle continu des comptes de la ONG responsable de la supervision de l’exécution de chaque projet. Il s’agit d’une commission tout à fait indépendante du coordonnateur du projet en question et de son équipe. Ses membres peuvent être membres du Conseil de la ONG responsable de la supervision de l’exécution du projet, et/ou des experts externes. Le deuxième niveau en est un contrôle périodique d’audit externe du type traditionnel. Les responsables des contrôles des comptes possèdent, à tous les deux les niveaux, des pleins droits d’inspection sur site et de pouvoir prendre vision de la documentation entière du projet, cela sans aucun préavis.

 

L’exécution des projets passe à travers une série de passages logiques pour la création des structures du projet, à commencer des structures sociales prévues, puis celles financières, suivies de celles de production, et pour finir avec celles des services. L’exposition des bailleurs de fonds à un point quelconque de l’exécution reste réduite. La mise en exécution des structures successives ne peut avoir lieu qu’après l’établissement et la mise en opération de celles précédentes.

 

Le contenu en capital nouveau des structures des projets tend à s’augmenter suivant le progrès fait avec l’exécution du projet. Les premières structures, celles sociales et financières, sont à faible contenu en monnaie formelle. Le troisième groupe de structures, celles productives, ont un contenu intermédiaire de capital en monnaie formelle. Les dernières structures, celles des services, et en particulier celles pour la fourniture en eau potable, comportent l’investissement le plus élevé en termes de monnaie formelle. Au  moment où l’on n’est prêt à procéder à l’installation des structures de service, la plupart des travaux d’exécution y relatifs peut être effectuée dans le cadre du système de monnaie locale déjà établi, et l’on est déjà en train de faire la récolte systématique des réserves en monnaie formelle à couverture des frais externes d’entretien et de remplacement à longue terme des biens achetés en compte capital.  Pour encore de détails voir à la section 07.14 Protection des intérêts des bailleurs de fonds du Modèle.

 

Support aux projets de la part des structures tribales traditionnelles.

Les projets, y comprise la section sur la corruption,  ont l’approbation de tous les chefs traditionnels et des groupes féminins de chaque zone de projet. Leur approbation, avec leurs  signatures, sont placées à la section 01.11 Déclaration de la participation de la population locale de la documentation de chaque projet. 

 

Support aux projets de la part des structures formelles politiques et administratives.

Les projets, y comprise la section sur la corruption, ont l’approbation des organes politiques et administratifs de la zone de chaque projet. Leurs approbations, avec leurs signatures, sont placées à la section 01.13 Déclarations du support du secteur politique de la documentation de chaque projet.  Elles comprennent celle de la Commune locale, qui est également souvent membre de la ONG Responsable de la Supervision de l’Exécution du projet, et peut être l’un des bailleurs de fonds.
La déclaration en support de chaque projet du membre de Parlement qui représente la zone du projet, et les signatures des responsables de la santé, de l’éducation, et des services environnementaux de la zone du projet sont toujours attendues et bienvenues.

 

Le contrôle social à travers les structures du projet.

 

Des structures sociales à trois niveaux sont établies pendant l’une des premières phases d’exécution des projets. Elles constituent les fondements des différentes structures financières et de service créées au cours des phases successives. Elles assurent un contrôle social étroit sur les activités de chaque projet sur tous ses niveaux..

 

Le premier niveau est celui des commissions réservoir, qui représentent 40 familles environ.

Le deuxième niveau est celui des commissions forage,  qui représentent 250 familles environ.

Le troisième niveau est celui de la commission centrale, qui représente 10.000 familles.

 

Voir :

 

La justification anthropologique des structures sociales.

Schéma de la zone du projet.

Illustration des lignes de gestion des structures.

 

Le développement social humain, surtout pendant les derniers 11.000 ans, se trouve à la base du choix des niveaux administratifs pour la gestion des structures du projet.

 

Les femmes jouent un rôle dominant à tous les niveaux:

 

Les 40 familles servies d’une commission réservoir élisent les 3-7 membres de leur commission réservoir. Avant de procéder à la première élection, créé-t-on  des clubs d’hygiène dans chaque zone de commission réservoir. Les clubs de santé servent comme plate-forme permettant aux femmes de se bien organiser et voter en bloc aux élections des membres de la commission réservoir. Le résultat en devrait être que la plupart, même tous, les membres des commission réservoir soit femme.

 

Chaque commission réservoir nomme un membre à la commission forage que la sert.  Puisque la plupart, même tous, les membres de la commission réservoir sera femme, attend-on qu’elles nomment une femme à la commission forage. Le résultat en devrait être que la plupart, même tous, les membres des commission forage soit femme.

 

Chaque commission forage nomme un membre à la commission centrale du projet.  Puisque la plupart, même tous, les membres des commissions forage sera femme, attend-on qu’elles nomment une femme à la commission centrale. Le résultat en devrait être que la plupart, même tous, les membres des commission centrale soit femme.

 

Quelques facteurs spécifiques de risque de corruption à prendre en considération. 

 

Le tableau suivant se sert, avec la permission gentille du propriétaire du Copyright, du matériel dont à l’annexe 09.53 Les besoins et l’avidité: les risques de la corruption, les perceptions et le prévention dans le secteur de l’aide humanitaire HPG Policy Brief 32, ODI Overseas Development Institute, London, Septembre 2008.

 

Quelques-uns des secteurs à risque élevé ci-dessous cités ne sont pas toujours applicables aux projets coopératifs de développement intégré où tous les membres de la populations participent à toutes les structures et à toutes les activités. Toutes les structures et tous les services des projets sont par définition non -sélectifs. La plupart des activités des projets ont lieu dans des situations sujettes à l’observation de tous et à un contrôle social étroit.

 

 

Groupe d’activité

Secteurs à risque élevés

Exemples de risques de corruption

 

 

 

Phase d’assistance initiale

 

 

 

Évaluation

Informations incorrectes données au fin de diriger de l’assistance à certaines familles, groupes ou zones, ou pour exagérer les exigences.

 

Enregistrement

Noms ajoutés aux listes des bénéficiaires en échange des paiements ou des faveurs sexuelles; on exige de l’argent ; enregistrements multiples.

 

Attribution (Targeting)

Chefs/collaborateurs/commissions fournissent des informations fausses sur les familles  se qualifiant pour l’attribution des assistances.  

 

Distribution

Les distributeurs apportent des modifications aux rations ou à leur composition, ou  délibérément distribuent des commodités  à des bénéficiaires "imaginaires" ou à des personnes n’y avant pas le droit..

Secteur

 

 

 

Aide alimentaire

Manipulation ou corruption à l’occasion des phases d’évaluation, d’enregistrement, et d’attribution ; diversion et vente au cours du transport ou du stockage; diminution des rations.

 

Articles à valeur élevée tels les médicaments

La manipulation ou la corruption à l’occasion des phases d’évaluation, d’enregistrement, et d’attribution; leur vente au cours du transport ou du stockage; la livraison de produits de mauvaise qualité; la manipulation des statistiques.

 

Construction

L’utilisation voulue de matériaux de mauvaise qualité ; la manipulation des titres de propriété.

Réalisation du projet

 

 

 

Acquisition

La collusion, corruption, ou soumission multiple de la même facture ; les conflits d’intérêt; la falsification des transactions ; la manipulation des statistiques.

 

Ressources humaines

Collaborateurs "imaginaires" ; le  népotisme.

 

Finances

Falsification ou augmentation injustifiée de factures, reçus ou transactions ; la manipulation des taux d’échange ; l’abus des comptes bancaires; les détournements ; la manipulation des statistiques.

 

Gestion du parque automobiles

L’utilisation privée pas autorisée de voitures et/ou le siphonage de carburants ; la collusion avec les fournisseurs de carburants ou de services; les enregistrements faux.

 

Logistique

La falsification des documents des magasins ; la diversion au cours du transport.

Méthodes d’engagement

 

 

 

Accords de partenariat

Des partenaires peuvent se rendre coupables dans les secteurs de corruption ci-dessus nommés.

 

Agrandissement des bureaux locaux pour livraison directe

L’acquisition des ressources humaines; la corruption pour obtenir des permis ou l’accès aux services publics.

 

Travail à travers des commissions

 

La diversion d’assistance vers réseaux des membres des commissions, y compris leurs amis et leurs familles; l’acceptation des paiements pour l’inclusion sur listes.

 

Travail à travers des structures traditionnelles locales / organes du gouvernement local

La diversion d’assistance vers des réseaux propres et vers des secteurs de support politique; l’acceptation des paiements pour l’inclusion sur listes; l’influence inconvenante des élites locales.

 

 

La détection de la corruption et l’encouragement et la protection des rapporteurs.

 

Dans le cadre de quelques systèmes sociaux traditionnels, des membres de la communauté peuvent avoir des difficultés à rapporter des cas d’abus ou de privilège de la part de leurs supérieurs. Quelques situations d’abus de  privilège peuvent être même socialement tolérés. Dans de telles circonstances, les rapporteurs peuvent expérimenter des problèmes sérieux à dénoncer les cas d’abus, ou même d’en avoir peur. De conséquence doivent-ils être convaincus que leurs plaintes seront prises sur sérieux. Il ne suffit pas de déclarer une politique de zéro tolérance dans le cadre d’un projet pour ce qui concerne la corruption. Les habitants doivent être à la hauteur de ce que le projet considère «la corruption ». Les élites de la communauté devront souscrire soit la politique anti-corruption du projet en question que la définition donnée du projet à la corruption. Puisque le projet est de nature coopérative, les privilèges de l’un signifient une diminution des priorités et/ou des bénéfices d’autres membres de la communauté.

 

Vu le contenu du tableau ci-dessus, vus les éléments à faveur d’un contrôle social puissant dans les zones des projets, demandera-t-on aux habitants de faire attention en particulier aux risques d’abus de privilège en général, de l’exclusion pas justifiée des services ou bien l’admission injuste aux services, aux cas où l’on demande aux  membres d’une communauté, ou les obligent, d’effectuer des paiements illicites, aux cas d’extorsion, aux cas de demande de faveurs de nature sexuelle en échange des services, aux cas de partition obligée de bénéfices et aux travaux et fournitures de mauvaise qualité.

 

Les structures pour la gestion des plaintes.

 

À main les structures de chaque projet sont créées et entrent en fonction, la responsabilité de leur gestion et entretien passe à la coopérative permanente de gestion des structures du projet.  Tous les habitants de la zone du projet sont membres de la Coopérative. Ils élisent les membres des Commissions Réservoir,  qui nomment les membres des commissions forage, qui nomment les membres de la commission centrale, qui nomme une petite équipe de direction.

 

La résolution des conflits qui sortent de la gestion permanente des structures des projet constitue l’une des tâches de la  Commission Centrale de la Coopérative de Gestion.  La commission centrale de chaque projet doit elle-même décider comment elle veut gérer cette tâche. On prévoit que d’habitude la Commission Centrale établisse une Commission de Révision des Plaintes dont les membres pourront venir de la Commission Centrale, ou bien être tout à fait indépendants du projet (de conséquence externes à la zone du projet) ou bien une combinaison des deux. La Commission de Révision des Plaintes réponde exclusivement à la Commission Centrale. Elle est tout à fait indépendant de l’équipe de direction du projet, dont les membres ne se qualifient pas à la participation à la Commission de Révision des Plaintes.

 

La résolution des conflits qui sortent au cours des phases d’exécution des projets mais avant le passage des structures du projet à la coopérative permanente de gestion des structures constitue l’une des tâches du Conseil de la coopérative d’exécution du projet.  L’ONG pour l’exécution du projet constitue le parlement du projet. Elle contrôle le fonctionnement du coordonnateur du projet et son équipe, qui ensemble forment «le gouvernement » du projet. Le conseil de l’ONG  responsable de la supervision de l’exécution de chaque projet doit lui-même décider comment il veut gérer sa tâche de la gestion des plaintes. Il peut décider d’agir lui-même comme Commission de Révision des Plaintes. Il peut décider de déléguer la tâche à la commission permanente de contrôle des comptes. Ou bien peut-il nommer une Commission de Révision des Plaintes dont les membres sont tout à fait indépendants du projet, par conséquence externes en rapport à la zone du projet. La Commission de Révision des Plaintes réponde exclusivement au Conseil de la coopérative permanente de gestion des structures. Elle reste tout à fait indépendant du coordonnateur de l’exécution du projet et son équipe, dont les membres ne se qualifient pas à la participation à la Commission de Révision des Plaintes.

 

1. Opinion.

 

Vous êtes en train d’expliquer aux populations de votre zone comment on cherche à combattre la corruption aux cours de l’exécution du projet et, ensuite, au cours de la  gestion successive des structures. Sur une page expliquez leur pourquoi on a besoin de deux structures pour la résolution des plaintes.

 

2. Opinion.

 

Au fin de pouvoir exercer un contrôle effectif sur la corruption et les irrégularités commises dans le cadre de la création et le gestion des structures des projets de développement intégré, le pouvoir exécutif («le gouvernement » ) et le pouvoir législatif  («le parlement ») sont tenus strictement indépendants l’un de l’autre. Sur une page décrivez exactement comment l’on réalise telle séparation des pouvoirs, soit au cours de l’exécution des projet, soit au cours de la gestion permanente des structures.

 

3. Opinion.

 

On indique, toujours sujet aux décisions prises des habitants à l’égard, une préférence à faveur de commissions de révisions des plaintes qui soient externes à la zone du projet en question. Au cas des premiers projets dans une région ou pays, une telle décision peut coûter chère, car les membres des commissions pourront demander paiement en monnaie formelle. En présence de plusieurs projets dans une région ou pays, les membres de commissions pourront venir d’une ou plusieurs des autres zones de projet. En tel cas, les membres pourront être payés dans le cadre des échanges entre les systèmes des monnaies locales . Sur une page expliquez la philosophie à la base des principes ici présentés.

 

4. Opinion.

 

Les structures des projets de développement intégré ne se substituent pas aux instances formelles administratives et judiciaires de l’état. Sur deux pages  faites une analyse des limites de la juridiction des Commissions de Révision des Plaintes prévues en rapport à celle aux institutions formelles. Écrivez une introduction dans laquelle vous établissez clairement les issus juridiques en question. Par la suite, faites une analyse brève des lois et/ou règlements de votre pays qui permettent aux individus et groupes de s’exclure en premier recours à la juridiction formelle. Des exemples peuvent être les règlements intérieurs des clubs et associations et les accords sur l’arbitrage. Par la suite, cherchez à distinguer entre les plaintes liées au système de monnaie local établie et celle liées aux transactions en monnaie formelle. Terminez votre travail avec une conclusion.   

 



 Section 6: Corruption.

 Cinquième bloc : Comment les structures dont au troisième bloc font face à des problèmes spécifiques.


Table matières pour le Diplôme du Développement Intégré  (Dip.Dév.Int)

 Liste des mots clefs.

 Liste des références.

  Schéma du cours.

 Aspects techniques.


  Cours disponibles.

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«L’argent n’est pas la clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »

Gesell Silvio, «The Natural Economic Order »

Version anglaise révisée, Peter Owen, Londres 1948, page 228

 

“Poverty is created scarcity” (La pauvreté est la privation construite)

Wahu Kaara, point 8 of the Global Call to Action Against Poverty, 58th annual NGO Conference, United Nations, New York 7 Septembre 2005.


 

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