Préparé par l´ ONG Association pour la
Promotion des Groupements Agricoles (APGA)
Lomé, Togo
Tél/fax.(228) 222.47.12;
E-mail: apga@togo-imet.com; apga99@yahoo.fr
pour accompagner le formulaire de demande de subvention dont à l'appel à
propositions ouvert de la
FACILITÉ ACP-UE POUR L’EAU
Référence: EuropeAid/122979/C/ACT/ACP du 9e Fonds européen de
développement.
En collaboration avec M.Michel
Seme Botsoé EDORH ANANOU, Consultant EIE, TOGO, et
T.E.MANNING, Consultant
ONG Stichting Bakens Verzet,
PAYS-BAS
Édition 08: 12 Juin, 2006
01 |
ANNEXE 1 - Couvert |
02 |
ANNEXE 1 - Le projet en
détail (contenu) |
03 |
01. L'explication du projet |
06 |
02. La coopération des
populations locales |
07 |
02.01 Clubs de santé |
07 |
02.02 Structures sociales |
08 |
02.03 Structures SEL-LETS |
11 |
02.04 Structures
micro-crédit |
12 |
02.05 Usines Béosite |
13 |
02.06 Structures de
recyclage |
18 |
02.07 Foyers à rendement
élévé et bio-masse |
19 |
02.08 Structures en eau
potable |
20 |
02.08.1 Zone SEL-LETS
Sedomé |
26 |
02.08.2 Zone SEL-LETS Gboto
|
36 |
02.08.3 Zone SEL-LETS
Tokpli |
47 |
02.08.4 Sommaire fourniture
en eau |
49 |
02.08.5 Principes placement
structures |
50 |
02.08.6 Les forages et
leurs aménagements |
50 |
02.08.7 Les points d'eau |
50 |
02.08.8 Éléments de bilan
rélatifs à l'eau |
56 |
02.09 Éclairage PV,
télévision et réfrigération |
59 |
02.10 Réforestation et
récolte eaux pluviales |
61 |
02.11 Le projet et les
structures scolaires |
62 |
02.12 Station radio |
63 |
Liste des annèxes,
remerciements, rélations |
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Annèxe 01 - Le projet en
détail |
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Annèxe 02 - Informations
sur les ateliers organisationaux |
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Annèxe
02 - Informations sur les ateliers organisationaux (anglais) |
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Annèxe
04- Informations techniques sur les pompes solaires recommandées |
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Annèxe
06- Informations techniques sur le procédé Beosite(R) |
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Un environnement sain et propre est
inconcevable sans l'éducation à l'hygiène, la suffisance en eau potable de
bonne qualité, de services sanitaires propres, l'élimination des eaux de
superficie stagnantes (drainage), et une bonne qualité de l'air dans les
maisons.
Il s'agit de services fondamentaux à une qualité de
vie acceptable aussi bien pour les riches que pour les pauvres, auxquels tout
le monde a donc le droit. Lorsqu'ils manquent, faut-il procéder à une
amélioration générale des infrastructures communautaires de base.
Les principes financiers et les technologies
proposées dans ce projet permettent même aux plus pauvres de financer eux-mêmes
toutes les infrastructures nécessaires à un coût extrêmement réduit et de créer
dans les communautés en question les bases pour un développement fort et
durable.
Pourquoi donc à un pourcentage tellement élevé des
habitants du monde manquent-ils de tels services de base? Les causes en sont de
nature économique. D'une part a-t-on souvent une économie qui n'est presque pas
monétisée. D'autre part a lieu un drainage systématique du peu d'argent formel
qui se trouve (provisoirement) des zones pauvres vers de sanctuaires riches au
niveau national ou plus fréquemment au niveau international.
Cette fuite de moyens en argent formel a lieu à
travers l'application d'intérets directs sur les crédits, à travers l'achat de
biens et services importés dans la zone locale (on pense que le contenu en
intérets d'un produit typique occidental puisse arriver a 40% de sa valeur
d'achat), et à travers la spécialisation en forme de monoculture de la
production locale et l'importation d'énergie non durable en forme de charbon,
bois, carburants, pétrole, battéries, éventuellement même l'électricité. Le
fait d'ailleurs que les gens pauvres aient peu d'argent formel ne signifie pas
qu'ils n'aient pas de biens et de services à vendre.
La réduction forte (de préférence l'élimination
totale) de la fuite de monnaie formelle d'une zone de projet constitue donc la
base pour la fourniture durable aux ménages des services qui leur manquent. Le
projet propose un ensemble d'instruments financiers et techniques qui
permettent la formation d'une ambiance financière coopérative sans intérets et
sans inflation dans le cadre de laquelle des activités commerciales vraiment
compétitives puissent fleurir. On cherche à créer une société “équilibrée” en
instituant de monnaies d'échange locales SEL-LETS qui facilitent l'échange de
biens et services produits au niveau local sans besoin d'argent formel. On
soutient la diversification de la production locale à faveur des habitants
mêmes. On adopte de technologies qui permettent la production de la plupart des
produits nécessaires à la fourniture des services de base au niveau local. On
n'importe” dans la zone du projet que de produits strictement nécessaires à
l'augmentation de la productivité locale.
Les habitants des cantons de Sedomé, Gboto, et
Tokpli dans la partie nord-est de la préfecture de Yoto (Région Maritime) au
Togo ne bénéficient que partiellement de quelques instructions irrégulieres sur
l'hygiène de base. L'éducation à l'hygiène pratiquée aux écoles, inclue dans un
cours de ‘Économie familiale' est sporadique. Plus en générale l'éducation
reste encore un luxe inaccessible pour certaines couches de la population, ce
qui ne fait qu'augmenter l'importance des clubs de santé ici formés.
La consommation d'eau monte à 20 litres environs par
personne par jour. On retient que la quantité minimum acceptable soit 40 litres
par jour par personne. L'eau est obtenue principalement auprès de puits
ouverts, et des rivières. Elle est en général de mauvaise qualité. Les maladies
telles la diarrhée, la dysentérie, et le vers de Guinée y ont une incidence
importante.
Dans la préfecture de Yoto tres peu de familles
disposent de latrines. Les gens déposent leur excréta en brousse. Ils urinent
n'importe où en dehors de la case, pourvu que le lieu soit discret. Dans les
villages on souffre les mauvaises odeurs et les mouches et les conditions sont
en générale peu hygiéniques. On souffre la formation de boues et de poussieres
selon la saison.
La perte de productivité due aux maladies est
importante. Le coût des remèdes occupe une partie importante des revenus des
familles. On boit de l'eau malsaine pleine de pathogènes souvent sans
traitement et sans la faire bouillir. L'un des buts du projet est la réduction
des maladies liées à l'eau pour libérer les ressources financières pour
d'autres problèmes tels les programmes de vaccination et surtout la médecine
préventive. Dans la pratique cela signifie que les habitants de la région de
Yoto devront pouvoir recevoir au moins 25 litres d'eau saine par personne par
jour et en plus de ressources supplémentaires destinées à l'utilisation
doméstique. En même temps, on commencera à utiliser de systemes sanitaires
basés sur les toilettes à compostage avec séparation de l'urine et de l'excréta
où on n'a besoin d'eau que pour le lavage personnel et le nettoyage des
structures. Les unités de production d'articles en Beosite (R) fabriqueront de
réservoirs pour le stockage de l'eau, le cloisonnage des puits, les san-plats
(ou toilettes) pour les structures sanitaires, les foyers pour la cuisine
économique et structures pour les écoles.
Un système intégré de récolte des ordures organiques
et non (excréta composté, urines, eaux doméstiques usées, ordures de cuisine,
ordures solides non organiques) sera mis à la disposition de chaque famille et
au cas de nécessité dans les écoles et les cliniques. En principe, on n'aura
pas besoin d'argent formel pour la réalisation de ces structures car elles
seront réalisées dans le cadre des systemes de monnaie locale SEL-LETS établis
eux aussi comme partie intégrante du projet. Une fois que les exigences immédiates
du projet auront été réalisées, les usines de produits en Beosite (R)
commenceront à faire d'autres produits, par exemple les éléments portants pour
le bâtiment et les meubles, avec la possibilité d'exportation hors de la zone
du projet et la vente pour monnaie formelle.
Les Clubs Santé et les cours en éducation à
l'hygiène prévus dans les écoles devront renforcer les bénéfices produits par
l'amélioration des services en eau potable et d'assainissement. Les clubs de
Santé constitueront aussi un forum per la participation active des femmes à la
détermination des exigences réelles de la communauté et leur planning et
implémentation.
Le niveau de scolarité dans la zone du projet est
plutôt faible bien qu'il y ait un réseau avec une école primaire dans la plupart
des villages, une par 1300 habitants environs. Il n'y a pas d'école sécondaire
dans toute la zone du projet. Les écoles primaires sont presque totalement à la
charge des parents des éleves et pas toutes les couches de la population
peuvent y envoyer leurs enfants. Les infrastructures immobilières manquent. Il
y a une forte insuffisance mobilière, de matériel didactique et de personnel
enseignant.
Le projet ne peut pas et ne veut pas se substituer à
l'état pour ce qui concerne l'instruction publique. Ce qu'il peut bien faire
est d'assurer aux éleves la possibilité de poursuivre leurs études au tomber de
la nuit à travers la fourniture de salles de lecture à éclairage photovoltaïque
construites par les entrepreneurs locaux dans le cadre des systemes de monnaies
locale SEL-LETS. On prévoit aussi la fourniture d'éclairage PV aux écoles
lorsqu'on décidera de faire de cours d'instruction sérale pour les adultes.
Toutefois, les usines Beosite pourront construire,
sur demande des commissions réservoir servis par une école, de structures
portantes pour l'amélioration immobilière des écoles. Elles pourront fabriquer
aussi de meubles scolastiques dans le cadre des systemes LETS locaux avec 100%
de valeur ajoutée locale. Cas échéant, les services de personnel enseignant
disponible localement mais actuellement sans emploi, pourront être payés
utilisant les monnaies locales LETS.
Mêmes aux cinq centres de soins dans la zone du
projet (Yoto nord-est) manquent de branchements au réseau électrique. Le projet
les fournira un système d'éclairage et un système de réfrigération pour les
vaccins.
L'augmentation de la productivité locale est
essentielle au succès du projet. Pour augmenter leur productivité les habitants
auront besoin d'acheter de biens de production qui ne seront pas fabriqués
localement. Le projet institue un système complet de micro-crédits coopératifs
sans intérets pour faciliter l'achat des biens nécessaires à la production que
les habitants autrement ne pourraient jamais payer manque d'argent formel. Sur
chaque période décennale du projet, un montant total de Euro 1900 par ménage (8
personnes) sera mis sans intérets à leur disposition.
La cuisine locale constitue un fort probleme car
elle absorbe beaucoup du temps des femmes qui doivent aller chercher du bois
pour puis passer 3 heures environs dans de petits hangars ou à l'air libre pour
préparer les repas. Il ne s'agit pas seulement de l'utilisation inefficiente du
temps, mais aussi des mauvaises conditions physiques dans les habitations cause
de la présence de fumée et humidité. L'utilisation des forets pour source de
bois pour la cuisine porte au risque de déforestation. Le projet prévoit la
fabrication locale de foyers à rendement élevé payables dans les monnaies
locales, sans qu'on ait donc besoin d'argent formel. Chaque ménage achètera la
quantité de foyers qu'elle retiendra nécessaire, un fourneau pour chaque
dimension de marmite. Les foyers fonctionneront avec toute source d'énergie. On
privilegera toutefois la fabrication de mini-briquettes basées sur recettes
permettant le recyclage de certains déchets et ordures locaux et l'utilisation
de biomasse spécialement cultivée. Par exemple un mélange de bio-masse, paille,
brindilles, feuilles, fumier et d'autres matériaux disponibles. La capacitation
traditionnelle de fertilisation des terres ne doit pas subir de limitations,
car l'importation de fertilisants et d'engrais constitue elle aussi une
importante source de fuite de capital vers les pays riches.
Les mini-briquettes seront fabriquées là où possible
au niveau de village ou communauté par d'artisans ou de petites coopératives.
Les opérations de transport doivent être réduites et, de préférence éliminées.
De foyers à énergie solaire seront construits
localement à condition qu'il y en ait demande et la préparation des aliments de
jour ne soit pas en conflit avec les habitudes locales.
Il n'y a pas actuellement une organisation de la
récolte des ordures dans la zone du projet. Les femmes vont les jeter
libérament derrière les maisons ou dans d'autres endroits. La première
conséquence en est la formation de dépôts d'ordures de mauvaise odeur, la
présence de vermine, le risque d'infection des eaux de superficie et du sol. La
deuxième conséquence en est la perte de la valeur ajoutée contenue dans les ordures,
beaucoup desquelles peuvent être récupérées et utilement recyclées.
Le projet établira un réseau intégré de centres pour
le recyclage des ordures organiques et solides, y compris un service de récolte
des ordures solides non organiques effectué dans le cadre des systèmes à
monnaies locales SEL-LETS. Il est possible même que les centres de recyclage
paient les ordures à leur utiles, comme les usagers devront payer la récolte de
matériaux dangèreux ou difficiles à recycler. Chaque système établira ses propres
règles dans le cours des ateliers organisationaux qui en donnera naissance.
Notre but est de tenir le plus possible de la valeur résiduelle recyclable dans
l'économie locale. Les centres de recyclage pourront d'ailleurs gagner une part
de l'argent formel nécessaire à rembourser leurs crédits sans intérets à
travers “l'exportation” de matériaux qui ne peuvent pas être recyclés
localement.
De services standards de récolte d'ordures auprès
des écoles et des cliniques seront fournis. Les restes médicaux spéciaux seront
toutefois objet de discussions à part.
Ce projet est établi avec la
coopération des usagers qui en sont responsables de la création des structures,
de l'exécution des travaux, du fonctionnement et de l'entretien des systèmes.
Ils paient les structures et en deviennent les propriétaires.
Les différentes structures sont créées par les
usagers eux-mêmes au cours d'une série d'ateliers organisationnels suivant la
méthode développée par le Brésilien Clodomir Santos de Morais. Pour
d'informations sur le travail de Morais, voir l'annexe 2.
ANNEXE 2: BIBLIOGRAPHIE
ATELIERS OW (en anglais)
Le projet cherchera à mettre à la disposition, MAIS
UNIQUEMENT SUR DEMANDE, de groupes mêmes tres grands d'usagers, les
consultants, matériaux et équipements nécessaires à la réalisation des services
et structures dont il s'agit. Les groupes s'organisent (souvent avec extrème
difficulté), se donnent de structures administratives, se procurent les permis,
procèdent à la construction des unités de production, passent à la production
et à la vente de leurs produits et services comment ils mieux croient.
L'aspect le plus important de la formation des
structures prévues par le projet est l'ordre de précédence de la réalisation
des ateliers. Par exemple on ne peut pas réaliser les ateliers pour la création
des commissions réservoir (qui sont à la base de l'administration des services
du projet) sans avoir créé une plate-forme qui permettra aux femmes de
s'organiser, de s'exprimer pendant les réunions, et de participer activement
aux structures. On ne peut pas créer de structures pour la production
d'articles nécessaires à l'assainissement si l'on na pas déja constitué les
systemes de monnaies locales qui rendront possible leur production,
distribution, vente, et installation sans besoin d'argent formel.
L'ordre de séquence indiquée à la section 4.2 (page
5) du document principal du projet est:
2.01 Les clubs de santé
2.02 Les structures sociales locales
2.03 Les structures SEL-LETS
2.04 Les systèmes de micro-crédit
2.05 Les usines de Beosite
2.06 Les structures de recyclage
2.07 Les structures pour la production de bio-masse
2.08 Les structures pour la station radio
2.09 Les structures en eau potable
2.10 Les structures d'éclairage etc.
Les ateliers représentent une véritable mobilisation
générale de la population, avec la participation active d'au moins 5.000
personnes sur une population totale de 85.000, soit 12% environs de la
population active.
Les clubs de Santé ont deux tâches.
La première en est l'éducation à l'hygiène qui
permet des améliorations de la situation hygiénique des populations en
attendant la réalisation des structures d'assainissement prévues dans le
projet.
La deuxième en est la constitution d'une plate-forme
socialement acceptable pour habituer les populations, et en particulier les
femmes, à travailler ensemble, ce qui est à la base du succès du projet. Les
clubs constitueront un forum pour les femmes, les aidant à identifier les
besoins de la communauté et à faire le planning des phases successives avec la
pleine participation des femmes.
L'éducation à l'hygiène dans les écoles devrait,
avec la coopération du Ministere de l'Instruction Publique Togolaise et des
commissions des professeurs d'écoles, devenir partie intégrale du curriculum
scolastique à tous les niveaux. Les cours aux écoles devront renforcer le
travail fait par les Clubs de Santé. On prévoit la participation aux cours de
personnel du Ministere de la Santé publique dûment préparé à l'occasion des
ateliers organisationnels. De professeurs pourront participer eux aussi aux
ateliers mêmes, donc à la rédaction du matériel d'instruction. Ils y recevront
instruction sur l'utilisation du matériel d'instruction.
Les écoles recevront, cas échéant, la fourniture en
eau potable et les services sanitaires de la même qualité prévue pour les
ménages.
Le fait que les enfants qui appartiennent aux
couches les plus pauvres de la population n'accèdent même pas aux écoles
primaires rendra le travail des clubs de santé encore plus important, car les
clubs en devront, à travers les femmes, en couvrir l'éducation à l'hygiène
qu'ils auraient pu autrement obtenir auprès des écoles.
Toutes les activités prévues sont
réalisées par les usagers eux-mêmes. Les structures seront établies pendant les
ateliers organisationnels prévus. Les observations suivantes sont indicatrices
de ce qu'on attend d'y voir sortir.
La structure administrative de base devrait être la
commission réservoir.
Les tâches des commissions réservoir comprendraient
parmi autres:
COMMISSIONS RÉSERVOIR - LES
STRUCTURES PRINCIPALES
COMMISSIONS PUITS
- L'analyse systématique de la situation locale (200
personnes - 40 ménages)
- Définition des problèmes locaux
- Liaison avec les Comités Villageois de Développement
- Liaison avec les Clubs de Santé déja établis
- Liaison avec les systèmes SEL-LETS à établir
- Indication des tarifs indicateurs pour les systemes SEL-LETS
- Organisation de réunions mensuelles de tous les usagers
- Indication des priorités pour le placement de puits et des structures pour le
lavage
- Indications pour le placement de réservoirs et pour la pose de tuyaux
- Indication des priorités pour l'installation de systèmes sanitaires
individuels (tirage a lots, évaluations économiques)
- Indication des dimensions des marmites pour les foyers à rendement élevé
- Liaison avec les centres de recyclage
- Liaison avec les structures de récolte (éventuelle) des eaux usées et de
l'urine
- Monitorage systématique du progrès fait dans l'exécution du projet
- Les règles d'utilisation des réservoirs
- L'organisation de l'entretien journalier de la zone autour des réservoirs
- Récolte contributions mensuelles des ménages et rapports avec la banque
- Médiation de litiges locaux rèlatifs au projet (éventuellement en coopération
avec le chef du village/quartier)
Ces structures seront établies
pendant les ateliers organisationnels prévus. Les observations suivantes sont
indicatrices de ce qu'on attend d'y voir sortir.
DESSIN DES STRUCTURES DU
PROJET
DESSIN DES STRUCTURES SEL-LETS
COMMENT FONCTIONNE UNE TRANSACTION SEL-LETS
D'autres informations sur les monnaies locales se
trouvent à l'annexe 08
Cause la nature et la distribution des populations
dans la zone du projet on prévoit trois systèmes locaux SEL-LETS. Un système
devrait être concentré dans la zone de Sédomé dans le nord-est, à population
26071. Le deuxième système se constituera au centre de la zone du projet, dans
le canton de Gboto, basé dans le village plus grand (Assigamé) à population
35152, et le troisième sera centré à Tokpli au sud-est, à population 20.275
Mais les habitants pourront choisir à faveur d'un
seul système dans toute la zone.
Tous les habitants adultes locaux devront être
enregistrés comme membre du système SEL-LETS local. L'utilisation du système
serait, sauf pour les biens et services fournis pour le projet même,
volontaire. Les membres pourront donc d'habitude choisir s'ils préferent
d'effectuer une transaction dans la monnaie SEL-LETS locale ou avec
l'utilisation d'argent formel. L'être adulte signifiera, sujet toujours à la
décision des ateliers organisationnels et aux conditions de la convention
internationale sur les droits de l'enfant, au cas de la région de Yoto, l'âge
(12 ans) où les enfants quittent l'école primaire et devrant trouver un emploi
productif.
L'un des buts du projet est la promotion d'une
amélioration di niveau de scolarisation des enfants. L'âge minimum pour la
partecipation au système productif devrait pouvoir s'augmenter à travers les
années pour arriver, en premier lieu à 14 ans, puis à 16 ans.
Chaque membre recevra un numéro qui permettra
l'identification du groupe, de la commission puits, et de la commission
réservoir dont il fait partie pour faciliter une participation correcte aux
dépenses et revenus collectifs tels l'éclairage local pour les études ou la
vente de bois de propriété collective locale.
De "catalogues" de biens et services
devraient être rédigés périodiquement dans une forme compréhensible et lisible
par les membres. Au cas de la région de Yoto, la nature des biens et services
disponibles et l'identité de ceux qui les fourniront seront connues au niveau
local. Les trois monnaies SEL-LETS devront avoir la même valeur de référence,
décidée pendant les ateliers organisationnels, à fin de faciliter l'exportation
et l'importation de biens et services entre les trois zones.
La valeur de référence pourrait être celle du franc
CFA, par exemple, à condition qu'il reste relativement stable et résistant à
l'inflation. Ou bien sur la valeur moyenne du travail d'une heure. Ou bien sur
la valeur d'un kilo de manioc. Puisque les monnaies SEL-LETS auront les mêmes
bases de référence, les débits et les crédits pourront être transférés d'un
SEL-LETS l'autre. Pas tous les biens et services seront transférables, car cela
pourrait porter à la fuite de richesse d'un système à l'autre. Les systèmes
SEL-LETS fonctionnent mieux lorsque les ressources financières restent
équilibrées dans chacun des systèmes. Les coordinateurs des systèmes SEL-LETS,
ayant reçu les recommandations des usagers, décideront quels biens et services
peuvent être “exportés” ou “importés”. Par exemple un produit en Beosite
fabriqué dans le groupe A pourrait être exporté vers le group B. De l'étoffe
faite dans le groupe B pourrait être exportée vers le groupe B. La verdure et
les fruits qui ne sont pas cultivés dans la zone d'un groupe, pourront être
importées des autres groupes pour augmenter la diversité de l'alimentation.
Mettons qu'un produit Beosite soit vendu d'un membre
de groupe A a un autre de groupe B. La transaction devrait avoir lieu dans la
monnaie locale A.
Dans la pratique les suivants enregistrements se
feraient automatiquement:
a) Le fabricant de l'article en Beosite serait
accrédité dans la monnaie A.
b) Le coordinateur du groupe A donnera advis à sa contre part du groupe B du
débit du membre de groupe B.
c) Le coordinateur du groupe A créera un crédit pour le groupe A du même
montant de monnaie du groupe B.
d) Le coordinateur du groupe B créera un débit en monnaie B du membre du groupe
B.
e) Le coordinateur du groupe B créera un débit pour le group B du même montant
de monnaie du groupe A.
Les produits et services fournis par membres du
groupe B au groupe A seraient registrés dans le sens invers. Les coordinateurs
des groupes A et B éliminent périodiquement leurs respectifs débits et crédits
à travers le couplage un pour un.
Le procédé sert à mettre en équilibre des avoirs et
des débits des différents groupes. Le but du projet toutefois est d'assurer
l'équilibre des exportations et importations entre les monnaies locales. En
effet, une solde débiteuse importante d'un groupe SEL-LETS vers un autre
représenterait une fuite de ressources de l'un vers l'autre. Les coordinateurs
des trois groupes devraient à ce point prendre de mésures pour corriger la
situation. Ils pourraient par exemple provisoirement augmenter la gamme de biens
et services exportables du groupe débiteur vers celui créditeur, ou bien
organiser des marchés spéciaux pour la vente de produits du groupe débiteur
dans la zone du groupe créditeur.
La clef du succes du système reste le concept que
les exportations et les importations de chaque groupe restent en équilibre,
tendant vers le zéro.
Il y aura un coordinateur des activités SEL-LETS
pour chaque commission réservoir. Le premier coordinateur de chaque groupe sera
indiqué par la commission réservoir et participera à l'atelier organisationnel
pour la formation du groupe SEL-LETS de la zone. Le coordinateur SEL-LETS local
devrait être lettré. Il répondrait, à travers la commission réservoir, au
coordinateur générale du système SEL-LETS selon les structures adoptées par
l'atelier organisationnel. Le coordinateur local aidera les membres du groupe
SEL-LETS qui ne peuvent pas écrire/signer leurs chèques (ou d'autres formes de
paiement établies), effectuer la distribution des livrets de chèques (ou des
autres moyens de paiement adoptés) aux usagers, faire la récolte des chèques
(ou équivalent) déposés dans la boîte SEL-LETS (“ LETS POST box”) placée a côté
du réservoir local, et les emporter au coordinateur général ou bien à la
personne responsable de la régistration. Il publiera les rapports périodiques
(par semaine, mensuels) sur une plaque pour les affiches (LETS NOTICE BOARD)
située aupres ou au-dessus de la boîte SEL-LETS. Il informera les membres
illettrés de leurs soldes SEL-LETS. Il convoquera, à travers la commission
réservoir, une réunion tous les quinze jours, ou bien une fois par mois, pour
discuter et faire de la critique active sur l'opération du systeme SEL-LETS ,
avancer de demandes particulières telles l'augmentation provisoire des limites
de débit en faveur des membres malades ou de membres qui doivent faire des
achats particulièrement importants, et discuter l'utilisation de biens et
services de membres avec débits élevés dans le but de les aider à équilibrer
leurs bilans. Il discutera avec les membres de propositions pour l'exportation
et l'importation de biens et services vers le systeme SEL-LETS local et en
informera le coordinateur général du système.
La structure générale de chaque systeme SEL-LETS
sera décidée au cours de l'atelier organisationnel qui le constituera. On
prévoit l'élection d'un coordinateur générale et d'un conseil rétreint
constitué d'un secrétaire, d'un trésorier (les systemes auront même de frais de
gestion exprimés en argent formel), d'un coordinateur des enregistrements, et d'un
coordinateur chargé de l'entretien. Le conseil et les coordinateurs locaux
constitueront la commission SEL-LETS qui se rencontrera périodiquement, par
exemple une fois par mois, pour discuter des problemes courants et des
initiatives nécessaires a équilibrer les comptes avec les autres systemes
SEL-LETS.
Le coordinateur du projet devrait se rencontrer une
fois par mois avec les coordinateurs des trois systemes LETS pour résoudre de
problemes de nature plus générale.
Comme on a déja dit, des fiches périodiques seront
publiées chaque quinze jours ou chaque mois sur la LETS NOTICE BOARD. Les
fiches contiendront, pour chaque membre, la solde précédente, la solde
actuelle, le nombre total de transactions enregistrées en crédit, le nombre
total de transactions enregistrées en débit, et les détails des transactions
effectuées en plus et en moins depuis le dernier rapport. Le status de chaque
membre reste donc dans le domaine public.
Le chèque (ou autre forme de transaction adoptée)
devrait avoir deux sections. Chaque section portera le nom du membre et son
numéro de référence.
On se sert toujours du chèque du vendeur car c'est
lui qui a l'intéret à faire régistrer la transaction. Le nom et le numéro de
référence de l'acheteur doivent être remplis sur le chèque, cas le échéant avec
l'aide du coordinateur local, avec une déscription (avec code de référence) des
biens ou services dont il s'agit. Les deux sections du chèque sont confirmées
par les deux parties. La section à présenter pour la registration est déposée,
à responsabilité du vendeur, dans une boîte SEL-LETS.
Les membres individuels pourront fournir de biens et
services à chaque niveau économique - pour le projet en général, pour des
communautés au niveau de commission de puits, pour des communautés au niveau de
commission de réservoir, et pour de regroupements de choix comme par exemple de
clubs de sport, d'organisations culturelles, ou d'organisations coopératives.
Par exemple les paiements pour services SEL-LETS
fournis par les membres individuels a la communauté seront débités a un compte
SEL-LETS au nom de la communauté. Lorsque le débit communautaire s'élevera a
une unité (point) pour chaque membre du systeme (ou le montant que
l'administration du systeme déterminera) chaque membre sera débité du montant
même. Le compte communautaire sera accrédité avec le montant total débité aux
membres.
Le système permet l'intégration de biens et
propriétés communaux et collectifs dans le système des transactions SEL-LETS.
Par exemple, la vente en monnaie locale de bois d'un terrain communal (ou
collectif) peut être registrée a bénéfice du groupe qui en est le propriétaire
et par la suite distribuée aux membres individuels.
Annèxe 08 - Opération
des systèmes SEL-LETS
L'annèxe 8 contient 80 pages environs en langue
anglaise d'informations générales sur l'opération des systemes de monnaies
locales SEL-LETS.
Les suivants dessins et graphiques
constituent une partie intérale de ce projet. Ils donnent une idée des
résultats que les atéliers Moraisiens pourront livrer:
ILLUSTRATION DU
SYSTEME DE MICRO-CRÉDITS
COMMENT ON DEPENSE LE CREDIT ORIGINAIRE
LE CYCLE DES CRÉDITS SANS INTÉRÊTS
Le système de micro-crédit prévu sera établi au
cours d'un atelier pour la constitution d'une banque locale.
Le système est différent des autres constitués
jusqu'ici, par exemple la Gramen Banque au Bangladesh. C'est le capital des
remboursements du crédit originaire (“seed loan”) et les réserves à long terme
que seront utilisés pour financer le système de micro-crédit. Cet argent,
remboursé mensuellement par les familles, est déja disponible, sans intérets,
pour être recyclé.
Lorsque, a l'échéance du crédit décennal, le capital
originaire est remboursé, les usagers continueront à verser leurs contributions
mensuelles dans le fonds coopératif de développement pour construire le capital
nècessaire au financement d'extensions du système et pour le remplacement de
biens capitaux après 20-30 ans. Cet argent, qui formera un montant important,
devient lui aussi disponible pour micro-crédits sans intérets et peut circuler
dans la zone du projet jusqu'au moment où il ne deviendra nécessaire.
Les remboursements finaux de blocs de micro-crédit
seront coordinés afin que l'argent nécessaire aux investissements en capital à
long terme (pour remplacement de systèmes de biens capitaux ou pour extensions
au mêmes) soit disponible dès qu'on en aura besoin.
De cette manière, l'argent pour les micro-crédits
est généré par les usagers eux-mêmes dans le cadre du projet. Il appartient
donc aux usagers. Il restera sans intérets et continuera à circuler dans
l'économie locale. La Banque Locale établira d'accord avec les usagers pendant
l'atelier organisationnel qui aura lieu pour sa constitution, un tarif
raisonnable à couverture de ses frais de gestion. Ces tarifs seront exprimés
dans les monnaies locales SEL-LETS à fin d'éviter toute fuite financière du
système local.
Les frais de la récolte des versements et de la
distribution des informations seront elles aussi payées dans les monnaies
locales SEL-LETS. La Banque locale deviendra membre régulier des trois systèmes
SEL-LETS. Elle pourra par exemple se servir de ses crédits SEL-LETS gagnés à
travers ses services pour acheter de produits et/ou services locaux pour
ensuite les distribuer hors des systèmes locaux pour de l'argent formel.
Le but du système coopératif dit micro-crédits sans
intérets est de permettre aux individus, aux entreprises et aux coopératives
locales qui ont besoin d'augmenter leur production, mais qui n'ont pas accès à
de l'argent formel à couverture de leurs investissements capitaux, d'obtenir de
micro-crédits sans intérets pour l'amélioration de la productivité de
l'économie locale. Le système de micro-crédits se n'applique donc qu'aux
investissements qui doivent nécessairement être faits pour de l'argent formel hors
des systèmes des monnaies locales SEL-LETS.
La période pour le remboursement des crédits sans
intérets variera de cas à cas. Quelques investissements généreront plus biens
et/ou services susceptibles d‘être vendus hors des systèmes de monnaie locale
SEL-LETS qu'autres. L'argent formel ainsi gagné est appliqué au remboursement
des micro-crédits. La vente d'une part de la production pour de l'argent formel
sera la condition précédente à la concession des micro-crédits. La vitesse des
remboursements se variera entre quelques mois et quelques années. Elle doit
être toujours réellement possible. Le système est coopératif et sans intérets
pour avancer les intérets généraux des communautés.
Comme c'est le cas avec le système de la Banque
Grameen au Bangladesh, les candidats qui avancent une demande pour un
micro-crédit devront présenter 3-4 amis qui acceptent co-responsabilité joint
et unique à couverture du micro-crédit selon les échéances désignées.
Puisque les micro-crédits sont auto-financés par les
communautés à travers leurs virements dans le fonds coopératif de
développement, les priorités pour la concession des financements dépendront aux
décisions des communautés. Ceci est particulièrement important en présence de
situations de conflit d'intéret du moment qu'on ne dispose de fonds suffisants
pour honorer toutes les applications de financement actuel.
Les réunions pendant lesquelles les membres
discutent de propositions pour financement avancées deviendront une
caractéristique de la vie sociale des communautés. Puisqu'on attend que
beaucoup des bénéficiaires des micro-crédits soient des femmes et coopératives
de femmes, il est important que les femmes soient bien représentées pendant les
réunions. L'une des justifications les plus importantes pour la formation des
Clubs Santé est de créer des mouvements de femmes qu'elles puissent discuter de
leurs exigences, développer leurs priorités et de faire de propositions a
l'occasion des réunions sur les micro-crédits.
Les regles de l'organisation des réunions sur les
Micro Crédits seront déterminés pendant les ateliers organisationaux prévus.
Toutefois, a titre indicatif, les regles
détermineront que:
1) Les financements sont faits pour permettre au
membre en question d'augmenter ses revenus et produire plus biens et services.
2) Les biens et services dont il s'agit doivent être
dans les intérets généraux de la communauté et encourager de transactions dans
les systèmes locaux SEL-LETS.
3) Quelques-uns des biens ou services dont il s'agit
doivent être revendables hors du système SEL-LETS local, afin de gagner de
l'argent formel pour permettre le remboursement 0des micro-crédits.
4) Les Micro-Crédits doivent promouvoir la
circulation rapide d'argent formel dans le système local. Par exemple, l'argent
formel pour construire un hôpital ne serait pas inclu dans le projet, car
l'hôpital ne crée pas de possibilités de recyclage financier. D'autre part, les
équipements pour faire le contrôle de la qualité des eaux se qualifient bien à
un micro crédit car l'argent formel pour son achat peut être récupéré en
demandant paiement (en argent formel) pour les analyses exécutées pour le
compte de personnes résidentes hors de la zone du projet.
5) Une priorité spéciale sera accordée aux
micro-crédits à faveur de la récolte et transport de compostage, urines, eaux
usées, et pour l'établissement des centres destinés @a la récolte, au stockage
et à l'“exportation” des ordures non-organiques de la zone du projet.
Les ateliers organisationaux détermineront les lieux
où les usines seront établies.
On devrait tenir compte de la distance au dépôt de
gypse ou anhydrite, et la distance aux habitations des intéressés.
Les dépôts et les usines seront marqués sur la carte
dont à l'annèxe 3.
Les frais de recherches des dépôts de
gypse/anhydrite sont couverts avec une voix à part au bilan.
POUR DES INFORMATIONS SUPPLÉMENTAIRES SUR LA
TECHNOLOGIE BEOSITE VOIR L'ANNEXE 6
Pour avoir une description générale voir:
Pour d'autres informations et un exemple d'une
application avancée du matériel voir:
PREPARATION OF BEOSITE
PRODUCTS (en anglais)
La récolte de l'urine, des eaux
usées, de l'excréta et des ordures solides non organiques procèdent comme mis à
point pendant les ateliers organisationnels.
Toutes ces opérations ont lieu dans le cadre des
monnaies locales SEL-LETS. On aurait procédé à l'achat des équipements qui ne
sont pas disponibles localement à travers de micro-crédits sans intérets
obtenus auprès du fonds spécial prévu au bilan. Par principe les équipements
adoptés ne devraient pas demander l'utilisation d'énergie importée
(électricité, diesel, essence etc.) et les distances de transport devraient
être les plus courtes possibles.
Voir aussi les illustrations suivantes:
DESSIN DES STRUCTURES DU
PROJET
DESSIN D'UNE TOILETTE À COMPOSTAGE SEC
DESSIN DES STRUCTURES DE RECYCLAGE DES ORDURES
Le paquet d'installations sanitaires et de récolte
et recyclage des ordures se compose des éléments suivants:
- 1) Réservoirs de compostage d'excréta fabriqués
localement en Beosite, pour les toilettes fabriquées elles aussi en Beosite
dans les usines locales
- 2) Réservoirs pour l'urine fabriqués également en Beosite
- 3) Réservoirs pour les eaux usées fabriqués localement en Beosite
- 4) Récipients de compostage fabriqués localement pour le compostage des
autres ordures organiques
- 5) Un système de récolte et cas échéant de stockage du compostage dont aux
points 1) et 4), de l'urine dont au point 2) et des eaux usées (dont au point
3) pour le compte d'usagers qui n'ont pas de terrains ou de jardins permettant
leur recyclage au niveau de ménage
- 6) Un système pour la récolte et recyclage d'ordures solides non organiques à
travers la constitution de centres de recyclage.
Les principes de base du systeme global sont les
suivants:
- (a) Le recyclage doit toujours être réalisé au
niveau le plus bas possible, à commencer de l'usager lui-même
- (b) Le recyclage au deuxieme niveau doit être
effectué au point aussi tard que possible du cycle de compostage afin de
réduire le volume des matériaux en question
- (c) Le système entier fonctionnera dans le cadre
des systèmes à monnaie locale SEL-LETS
- (d) Les investissements en compte capital
nécessaires pour équipements de recyclage, de transport et de stockage dont au
point 5) et 6) seront couverts par micro-crédits sans intérets concédés du
fonds spécial établi au bilan. Au cas où le fonds n'est pas suffisant, de
telles applications recevront de priorité pour la qualification pour de
micro-crédits normaux.
- (e) Le travail "sale" effectué dans les
systèmes SEL-LETS sera mieux payé que celui “propre” car la rémunération dépend
directement de la disponibilité des membres à faire le travail. Puisque les
travaux moins agréables bénéficieront d'un revenu exprimé en points SEL-LETS
supérieur à celui moyen, on ne devrait pas avoir de difficulté à recruter de
membres intéressés.
- (f) Les ordures doivent être recyclées, en tant
que possible, dans la zone du projet pour assurer l'autonomie des communautés
et éviter de fuites financières en argent formel du systeme local. En
particulier, les matériaux tels les métaux, le papier, les plastiques peuvent
souvent être traités au niveau local pour incorporation dans les produits faits
par les unités de production locales, en créant d'occasions d'emploi et de
valeur ajoutée locale soit au cours du traitement qu'au cours de la production.
- (g) L'exportation hors de la zone du projet de
matériaux recyclés qui ne peuvent pas être utilisés par les unités de
production locales, emportera de revenus en argent formel qui seront utilisés
pour le remboursement des micro-crédits sans intérets dont les responsables des
centres seront les bénéficiaires.
- (h) De possibilités de création d'emplois
lucratifs sont créées dans le système local.
- (i) Certaines ordures solides non-organiques
seront traitées localement et recyclées comme matériel premier pour des
industries artisanales locales.
- (j) Quelques-uns de micro-crédits pour les
entrepreneurs intéressés à la récolte dont au point 5) ci-dessus pourront
demander une période plus étendue que normale pour leur remboursement, car la
plupart du compostage sera recyclée dans les systemes SEL-LETS. Il est même
prévisible qu'on doit faire payer, dans de conditions extrèmes, la récolte
partiellement en monnaie formelle, ou bien que les équipements des
entrepreneurs doivent être utilisés provisoirement hors du systeme SEL-LETS
local pour qu'on puisse gagner l'argent formel nécessaire au remboursement des
micro-crédits.
- (k) Le recyclage de ordures industrielles
spéciales et médiques sera réglé séparément.
Adressant en plus détail les 6 éléments de base du
système:
DESSIN D'UNE
TOILETTE À COMPOSTAGE SEC
Deux réservoirs en Beosite(R) seront nécessaires à
la récolte et au compostage de l'excréta.
Le premier réservoir de compostage, correctement
aéré, est utilisé jusqu'au moment où il n'est rempli. Il est puis fermé et son
contenu laissé composter pendant indicativement un an, tandis que le deuxième
réservoir est mis en opération. Le compostage dans le premier réservoir se
réduit à distance de 12 mois, à une brouette de matériel par adulte par an, qui
peut être recyclé directement dans le jardin pour le conditionnement de la
terre. Le matériel est de qualité excellente. Il est propre, sans odeur, comme
de la terre de tres bonne qualité, et n'offre aucun risque de contamination aux
personnes.
Les usagers qui ne peuvent pas ou ne veulent pas
disposer eux-mêmes du matériel composté pourront demander aux opérateurs de le
faire dans le cadre des systèmes locaux SEL-LETS.
On ne se sert que d'une toilette ou san-plat pour
les deux réservoirs. La toilette (ou san-plat) est tout simplement placée sur
le réservoir qui est vide, au moment du changement de réservoir. Le deuxième
réservoir peut être acquis dans une deuxième phase du projet, car il ne devrait
pas être nécessaire pour au moins un an, et peut-être beaucoup de plus. Ceci
permet la distribution de l'onère d'achat (en monnaie locale SEL-LETS) du
système sur une période plus prolongée.
De petites quantités d'eau qui entrent dans les
réservoirs de compostage causent les pratiques de lavage anal et de lavage de
la toilette installation même ne sont pas détrimentales au système.
Les réservoirs pour l'excréta incorperent un filtre
à la sortie du tuyau d'aération pour éviter l'entrée d'insectes (et,
éventuellement, d'animaux) dans le système.
Les réservoirs à urine doivent être
vidés systématiquement. L'urine est un produit de valeur importante comme
fertilisant, et son utilisation directe peut porter au redoublement de la
production d'un jardin. Avec un peu de chaux ou sciure ou équivalent ajouté de
temps en temps à l'urine et le tout dilué une part à 10 parts d'eau (ou des
eaux usées!!) l'urine peut être utilisée directement pour l'arrosage des
jardins des ménages.
Les toilettes ou san-plats incorpereront une
division permettant la séparation de l'urine et de l'excréta. Un urinoir sera
fourni à utilisation des hommes et des garçons. De petites quantités d'eau qui
entrent dans les réservoirs à urine cause les pratiques de lavage personnel et
de lavage des urinoirs ne sont pas du tout détrimentales au système.
Dans de certaines instances, les urines, et en
particulier celles des femmes enceintes et celles qui allaitent leurs enfants,
ont une valeur (exprimée en argent formel) extrêmement élevée pour les
industries pharmacéutiques. Malheureusement, au cas de ce projet, on n'a aucune
possibilité immédiate d'exploiter ce potentiel intéressant.
Le recyclage des urines peut être couplé à celui des
eaux usées. Il n'est pas du tout nécessaire en effet d'ajouter de l'eau propre
aux urines. Les eaux usées (filtrées seulement pour en éliminer d'éventuels
contenus en graisses) peuvent être tranquillement ajoutées à l'urine et
recyclées au niveau de ménage. Les ménages n'ayant pas de jardin, et dont
l'habitation est dotée d'un toit plat, peuvent installer de jardins verticaux faits
en Beosite sur le toit afin qu'ils puissent effectuer le recyclage de leurs
urines et eaux usées tout en augmentant leur productivité avec la cultivation
d'une partie de leurs exigences alimentaires.
Les usagers qui ne peuvent pas ou ne veulent pas disposer
eux-mêmes de leur urine pourront demander aux opérateurs de le faire dans les
cadres des systèmes locaux SEL-LETS.
Il s'agit de réservoirs
(normalement en Beosite (R)) placés à côté des habitations pour faire la
récolte des eaux usées de cuisine, d'hygiène personnelle, et des activités
ménageres en général. Comme on a déja dit, dix parts d'eau à une part d'urine
permettent le recyclage de l'urine (et des eaux usées) au niveau de ménage.
Naturellement les eaux usées peuvent être
directement et séparément utilisées pour l'arrosage des jardins ménagers. Les
eaux contenant de graisses (graisses animales ou bien huiles de cuisine)
devront passer par un simple filtre. Les solides ainsi filtrés sont stockés
dans les récipients de compostage organique dont au pont 4. L'élimination des
graisses est importante à long terme car elles peuvent peu à peu agir pour
freiner le procès d'aération des terres du jardin.
Les récipients utilisés pour les eaux usées doivent
être hermétiquement fermés contre l'entrée d'animaux et d'insectes. Ils doivent
être vidés très régulierement, si possible au moins une fois par jour. Au cas
de la formation d'odeurs faut-on procéder à leur lavage.
Les usagers qui ne peuvent pas ou ne veulent pas
disposer eux-mêmes de leurs eaux usées pourront demander aux opérateurs de le
faire dans le cadre des systèmes locaux SEL-LETS.
Les autres ordures organiques
ménageres se composent en générale de celles de cuisine et des restes
alimentaires. Elles peuvent donner lieu à d'odeurs désagréables, et, jetées
sans discrimination à l'ouvert comme actuellement a lieu systématiquement dans
la zone du projet, constituent une menace continue à la santé des habitants,
augmentant en même temps le risque porté par animaux et insectes porteurs de
maladies.
Ils y ont plusieurs manières d'en effectuer le recyclage
de façon constructive. Ce problème se présente d'ailleurs dans tous les pays du
monde.
La meilleure manière en est de tenir des animaux
telles les poules, les chèvres, ou, rèligion permettant, les porcs capables à
recycler les restes en oeufs, viande, et lait. Par exemple, une poule consomme
tous les restes de cuisine d'un ménage entier. Puisque nos communautés au
niveau de la commission réservoir comptent 40 familles environs, il est
possible de créer une récolte de la part d'un membre/ménage dans chaque
localité, qui tiendra les animaux nécessaires au recyclage, en créant une
activité productive tout en éliminant un problème sérieux. La récolte des
restes une ou même deux fois par jour pourrait ajouter une deuxième source de
revenu (exprimé toujours dans la monnaie locale SEL-LETS) pour celle/celui qui
se chargera de la faire.
Les restes de cuisine peuvent aussi être recyclés au
niveau de ménage par moyens d'un compostage aérobic dans un récipient approprié
à fournir dans le cadre des systèmes de monnaies locales SEL-LETS. Les restes
sont mélangés avec de la terre, et une fois qu'ils se seront réduits à terre,
ils peuvent être ajoutés aux jardins ou bien récoltés par les opérateurs
SEL-LETS. Naturellement, ces restes peuvent aussi être retirés par les
opérateurs SEL-LETS avant leur compostage. Les opérateurs pourront procéder à
en faire le compostage eux-mêmes ou de les recycler à d'autres qui y pourront
être intéressés.
Les restes de cuisine ne doivent pas être ajoutés
aux réservoirs de recyclage d'excréta, car elles peuvent être déja contaminées
par de mouches ou d'autres insectes pouvant se reproduire à l'intérieur du
réservoir excréta, d'où elles ne pourront plus sortir que par le trou de la
toilette dès que le couvercle en est enlevé.
Donc, la réutilisation intelligente des restes de
cuisine créera directement une valeur ajoutée importante pour l'économie
locale.
Les membres individuels décideront
sur le niveau de service dont ils auront besoin, et les situations au niveau
collectif de commission réservoir varieront d'une localité à l'autre. Les
services prévus sont intensifs du point de vue de main d'œuvre nécessaire, et
devraient donc porter à la création d'un bon nombre d'emplois bien rémunérés
dans les monnaies locales.
Les systèmes de récolte, stockage et recyclage
seront établis pendant des ateliers organisationnels qui auront lieu justement
pour les lancer. Ceux qui s'engageront à s'occuper de ces fonctions
bénéficieront de priorité pour ce qui concerne les micro-finances nécessaires à
l'établissement de leurs activités, en premier lieu auprès du fond spécial
prévu à ce but, ensuite, éventuellement des fonds communs.
Le système de recyclage des solides
non-organiques sera établi pendant des ateliers organisationnels prévus.
Des centres de recyclage seront établis zone par
zone. Il est probable que les usagers emportent leurs ordures non-organiques au
centre local. Naturellement, ils pourront aussi demander aux opérateurs locaux
d'en faire la récolte aupres de leurs habitations, contre paiement exprimé dans
la monnaie locale SEL-LETS.
Les centres de recyclage feront la séparation des
ordures en faisant le stockage jusqu'au point où ils pourront s'en libérer
commercialement soit au niveau local soit hors de la zone du projet. Il est
possible que différents centres se spécialisent dans une sorte donnée de
matériel à travers un accord de coopération commerciale entre les centres dont
le but serait de faire une récolte accumulatrice plus rapide de quantités
commercialement plus significatives des refus, en accélérant la vitesse du
rythme de recyclage. Les matériaux “exportés” devrant être payés en argent
formel, permettant aux opérateurs de rembourser leurs micro-crédits.
D'autres centres pourront faire la récolte de
certains matériaux pour recyclage de la part d'activités artisanales locales,
en tenant toute la valeur ajoutée dans la zone du projet.
Ceux qui s'engageront à s'occuper de ces fonctions
bénéficieront de priorité pour ce qui concerne les micro-finances nécessaires à
l'établissement de leurs activités, en premier lieu auprès du fonds spécial
prévu à ce but, ensuite auprès des fonds communs.
Quelques références utiles sur les systemes de
compostage incorporés dans ce projet:
Winblad Uno et al, "Ecological
Sanitation", SIDA (Swedish International Development Cooperation Agency),
Sotckholm, 1998. ISBN 91 586 76 12 0.
Del Porto D and Steinfeld C, "The composting toilet system book",
CEPP (Center for Ecological Pollution Prevention), Massachusetts, 1999 ISBN
0-9666783-0-3
Foo Jacky, "Integrated bio-systems: a global perspective", InFoRM
(National Atelier on Integrated Food Production and Resource Management,
Brisbane, 2000.
Sawyer Ron (editor), "Closing the Loop - Ecological sanitation for food
security", SIDA (Swedish International Development Corporation Agency),
Mexico 2000 IBSN 91-586-8935-4
DESSIN D'UN
FOURNEAU À HAUT RENDEMENT EN BEOSITE
La cuisine constitue l'activité la plus
énergie-intensive au Togo. Les combustibles utilisés sont basés sur la
bio-masse, à savoir les fagots de bois. La bio-masse est en effet de
‘production' locale. Les forets et la brousse sont en principe capables de
fournir les populations locales, mais leur équilibre est délicat et le risque
de déforestation qui pèse sur la fourniture de combustibles pour les plus grands
villages est grand.
La production locale de foyers à rendement élevé
dans le cadre des systèmes de monnaies locales SEL-LETS éliminera au moins
partiellement l'exigence d'utilisation du bois et la nécessité de le payer en
argent formel. L'énergie demandée pour faire la cuisine devrait subir une forte
réduction à cause du rendement élévé des foyers, pour lesquels on fabriquera de
mini-briquettes à partir de matériaux recyclés et de bio-masse cultivée à ce
but.
Les bénéfices d'un tel projet comprennent:
- éviter la déstruction des forets et bois et en
particulier la conservation de la Réserve de Togodo
- aider la lutte contre l'érosion
- réduction des émissions CO2
- réduction de la formation de smog dans les centres plus grands
- amélioration de la qualité de l'air respirée dans et autour des habitations
- diminution de l'éventuelle charge financière en argent formel pour l'achat de
combustibles
- utilisation des épargnes réalisées pour le financement d'au moins une partie
du projet entier
Les foyers en Beosite proposés devront porter à une
réduction de la bio-masse nécessaire pour la cuisine jusqu'a 60%. Les foyers
fonctionneront d'ailleurs avec toute sorte de combustible. Plus important, la
production à 100% de valeur ajoutée locale de la bio-masse nécessaire est
durable à condition qu'elle n'ait aucun effet négatif sur la production
d'engrais local pour l'agriculture. Elle créera de postes de travail pour la
fabrication et distribution des mini-briquettes.
Les fourneaux en Beosite (R) ont été préférés aux
appareils solaires, qui pourront d'ailleurs être eux aussi produits localement.
La raison en est que les appareils solaires ne conforment souvent pas aux
habitudes alimentaires des ménages.
Les fourneaux en Beosite permettront aux femmes de
continuer à se servir des marmites aux dimensions auxquelles elles sont
habituées. Ils sont donc bien adaptées à la préparation des aliments de base
locaux. Ils seront équipés d'une forme de contrôle de la chaleur, et
permettront la circulation intérieure de la fumée pour mieux en exploiter la
chaleur.
Les fourneaux seront fabriqués pour les deux ou
trois dimensions de marmites les plus souvent utilisées dans la région. Chaque
famille achetera autant de marmites qu'elle pourrait avoir besoin, tenant
présent que les produits seront mis en vente dans le cadre des systemes de
monnaie locale SEL-LETS.
Pour ce qui concerne la production de
mini-briquettes pour les foyers on prévoit la culture locale durable et
écologique de la bio-masse supplémentaire nécessaire. Il n'y a en effet aucun
bénéfice à utiliser la bio-masse locale sans s'être assuré d'une suffisance de
fertilisant pour l'agriculture locale, car l'importation de fertilisant dans la
zone du projet, comme d'ailleurs celle de bio-masse, constitue l'une des sources
de fuite financière de la zone et donc de la pauvreté.
Le projet se base sur une réduction importante de la
bio-masse nécessaire pour la cuisine et sur le recyclage de quelques “ordures”
systématiquement disponibles telles les huiles et grasses usées.
Les recettes pour les mini-briquettes varieront
d'une part de la région à une autre selon les matériaux y systématiquement
écartés et récupérables au recyclage. La vitesse de brûlure sera contrôlée par
l'addition d'eau et/ou d'huiles végétales (éventuellement usées) et/ou de
grasses animales et/ou de sel et/ou d'excréta d'animaux.
Les matériaux de base seront partiellement recyclés
en utilisant la paille, les feuilles, du bois, du papier. De récoltes à
croissance raide (d'origine locale) seront cultivées pour assurer la suffisance
de mini-briquettes selon les exigences locales.
Les cultivateurs se serviront des monnaies locales
SEL-LETS pour vendre leurs récoltes directement aux fabricants de
mini-briquettes, ou aux d'entrepreneurs équipés pour traiter la bio-masse et la
rendre adaptable à l'incorporation des briquettes.
Sur demande, donc la où leur
utilisation n'est pas en conflit avec les habitudes alimentaires locales, on
fabriquera localement de foyers solaires dans le cadre des systemes SEL-LETS,
partiellement en Beosite.
Les structures pour la fourniture
en eau potable sont celles à investissements capitaux (en argent formel) les
plus élevés. Elles seront déterminées au cours d'un atelier organisationnel qui
aura lieu suite à la formation de la plupart des autres structures prévues.
Celles qui suivent sont des indications qui seront sujettes à de modifications
mêmes importantes. Elle donne pourtant une idée des dimensions du projet.
Voir les dessins:
DESSIN DES STRUCTURES DU
PROJET
COMMISSIONS RÉSERVOIR - LES STRUCTURES PRINCIPALES
COMMISSIONS PUITS
DESSIN DES STRUCTURES DE FOURNITURE EN EAU POTABLE
DESSIN DE L'INSTALLATION D'UN RÉSERVOIR À EAU POTABLE
Habitants : population : Inconnue,
estimée 1000
Le village n'est pas branché au réseau électrique.
Eau potable demandée @ 25 litres/personne/jour : 25.000 litres/jour
Ils y ont en plus:
(Estimée) 1 École primaire. Pas refournie en eau
But: perforation d'un forage à 8" à Aunkemé ä
débit 30m3
Équiper le forage de 5 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tout les
quartiers et au cour de l'école
Lieu placements forage : Aunkemé centre
Chaque pompe dédiée à un réservoir pour 250 usagers (+/- 35 ménages).
École : réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placées à côté du forage
Distance moyenne entre forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Cinq pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1500 Wc ( de 20 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
5 réservoirs a 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Habitants : population 4648
Le village n'est pas branché au réseau électrique.
Eau potable demandée @ 25 litres/personne/jour : 116.200 litres/jour
Ils y ont en plus:
(Estimé) 4 Écoles primaires. Pas refournies en eau
But: perforation de trois forages à 8" a Abosse
Hoe pour obtenir un dèbit total de 130m3
Équiper chaque forage de 7 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tout
les quartiers et aux cours des écoles
Lieu placements forage : Abosse ouest, Abosse centre, Abosse est
Chaque pompe dédiée à un réservoir pour 300 usagers (+/- 40 ménages).
Écoles : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placées à côté de chaque forage
Distance moyenne entre forage et réservoirs 0.5km
Chaque forage équipé de:
Sept pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 2100 Wc ( de 28 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
7 réservoirs a 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Habitants : population 6379
Le village n'est pas branché au réseau électrique.
Eau potable demandée @ 25 litres/personne/jour : 159.475 litres/jour
Ils y ont en plus:
(Estimé) 5 Écoles primaires. Pas refournies en eau
But: perforation de cinq forages à 8" à Sipke
Afidenyo avec un débit total de 180m3
Équiper chaque forage de 6 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tout
les quartiers et aux cours des écoles
Lieu placements forages : Sipke centre, Sipke Nord-est, Sipke Sud-est, Sipke
Nord Ouest, Sipke Sud Ouest
Chaque pompe dédiée à un réservoir pour 255 usagers (+/- 35 ménages).
Écoles : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placées à côté de chaque forage
Distance moyenne entre forage et réservoirs 0.5km
Chaque forage équipé de:
Six pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1800 Wc ( de 24 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
6 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Habitants : population 1892
Le village n'est pas branché au réseau électrique.
Eau potable demandée @ 25 litres/personne/jour : 47300 litres/jour
Ils y ont en plus:
(Estimé) 1 Écoles primaire. Pas refournie en eau
But: perforation de un forage à 8" ä Zouvi a
débit 50m3/jour
Équiper le forage de 8 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tout les
quartiers et au cour de l'école
Lieu placement forage : Zouvi centre
Chacune de 7 pompes dédiée à un réservoir pour 270 usagers (+/- 40 ménages).
L'école : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placées à côté du forage
Distance moyenne entre forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Huit pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 2400 Wc ( de 32 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
8 réservoirs a 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Habitants : population 2238
Le village n'est pas branché au réseau électrique.
Eau potable demandée @ 25 litres/personne/jour : 55950 litres/jour
Ils y ont en plus:
(Estimé) 2 Écoles primaires. Pas refournies en eau
But: perforation de deux forages a 8" à
Dzrekpon à débit total 60m3
Équiper chaque forage de 5 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tout
les quartiers et au cour des écoles
Lieu placements forages : Dzrekpon Est, Dzrekpon Ouest
Chacune de 8 pompes dédiée à un réservoir pour 280 usagers (+/- 35 ménages).
Écoles : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placées à côté des forages
Distance moyenne entre forage et réservoirs 0.5km
Chaque forage équipé de:
Cinqu pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1500 Wc ( de 20 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
5 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 systeme de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Habitants : population 2724
Le village n'est pas branché au réseau électrique.
Eau potable demandée @ 25 litres/personne/jour : 68100 litres/jour
Ils y ont en plus:
(Estimé) 2 Écoles primaires. Pas refournies en eau
But: perforation de deux forages à 8" à
Atchahoe débit total 75m3
Équiper chaque forage de 6 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tout
les quartiers et au cour des écoles
Lieu placements forages : Atchahoe Nord, Atchahoe Sud
Chacune de 10 pompes dédiée à un réservoir pour 270 usagers (+/- 35 ménages).
Écoles : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placées à côté des forage
Distance moyenne entre forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Six pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1800 Wc ( de 24 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
6 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Habitants : population 1637
Le village n'est pas branché au réseau électrique.
Eau potable demandée @ 25 litres/personne/jour : 40925 litres/jour
Ils y ont en plus:
(Estimé) 1 École primaire. Pas refournie en eau
But: perforation de un forage à 8" à Kodehoe à
débit 43m3/jour
Équiper chaque forage de 7 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tout
les quartiers et au cour de l'école
Lieu placement forage : Kodehoe centre
Chacune de 6 pompes dédiée à un réservoir pour 270 usagers (+/- 35 ménages).
École : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placées à côté du forage
Distance moyenne entre forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Sept pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 2100 Wc ( de 28 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
7 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Habitants : population 3376
Le village n'est pas branché au réseau électrique.
Eau potable demandée @ 25 litres/personne/jour : 118160 litres/jour
Ils y ont en plus:
(Estimé) 2 Écoles primaires. Pas refournies en eau
But: perforation de deux forages à 8" à
Tometikoondji à débit total 125m3/jour
Équiper chaque forage de 6 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tout
les quartiers et au cour des écoles
Lieux placement forages : Tometikondji Nord-ouest, Tometikondji sud-est
Chacune de 10 pompes dédiée à un réservoir pour 340 usagers (+/- 45 ménages).
Écoles : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placées à côté du forage
Distance moyenne entre forage et réservoirs 0.5km
Chaque forage équipé de:
Six pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1800 Wc ( de 24 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
6 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Habitants : population 1658
Le village n'est pas branché au réseau électrique.
Eau potable demandée @ 25 litres/personne/jour : 41450 litres/jour
Ils y ont en plus:
(Estimé) 1 École primaire. Pas refournie en eau
But: perforation de un forage à 8" à Agodome à
débit 43m3
Équiper le forage de 7 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tout les
quartiers et au cour de l'école
Lieu placement forage : Agodome centre
Chacune de 6 pompes dédiée à un réservoir pour 275 usagers (+/- 35 ménages).
École : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placées à côté du forage
Distance moyenne entre forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Sept pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 2100 Wc ( de 28 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
7 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Habitants : population 1519
Le village n'est pas branché au réseau électrique.
Eau potable demandée @ 25 litres/personne/jour : 37975 litres/jour
Ils y ont en plus:
(Estimé) 1 École primaire. Pas refournie en eau
1 Centre de soins USP. Pas refournie en eau
But: perforation de un forage à 8" à Hogno
kondji à débit 45m3
Équiper le forage de 8 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous les
quartiers et au cour de l'école
Lieu placement forage : Hogno kondji centre
Chacune de 5 pompes dédiée à un réservoir pour 300 usagers (+/- 40 ménages).
École : un réservoir en cour
Centre Soins USP - deux systèmes indépendents
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Sept pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 2400 Wc ( de 32 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
8 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Habitants : population (estimée
1000)
Le village n'est pas branché au réseau électrique.
Eau potable demandée @ 25 litres/personne/jour : 25000 litres/jour
Ils y ont en plus:
(Estimée) 1 École primaire. Pas refournie en eau
But: perforation de un forage à 8" à Lakata à
débit 30m3
Équiper le forage de 4 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous les
quartiers et au cour de l'école
Lieu placement forage : Lakata centre
Chacune de 3 pompes dédiée à un réservoir pour 300 usagers (+/- 40 ménages).
École : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Quatre pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1200 Wc (de 16 panneaux de 75 Wc) et leurs
supports et systèmes de tracking
4 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 systeme de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Habitants : population 1842
Le village n'est pas branché au réseau électrique.
Eau potable demandée @ 25 litres/personne/jour : 46050 litres/jour
Ils y ont en plus:
(Estimée) 1 École primaire. Pas refournie en eau
Un centre USP
But: perforation de un forage à 8" à Esse Ana à
débit 50m3
Équiper le forage de 8 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous les
quartiers et au cour de l'école et au clinique.
Lieu placement forage : Esse Ana centre
Chacune de 5 pompes dédiée à un réservoir pour 370 usagers (+/- 50 ménages).
École : un réservoir en cour
Deux systèmes indépendents pour le centre Soins
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Huit pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 2400 Wc (de 32 panneaux de 75 Wc) et leurs
supports et systèmes de tracking
8 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Habitants : population (estimée
1000)
Le village n'est pas branché au réseau électrique.
Eau potable demandée @ 25 litres/personne/jour : 25000 litres/jour
Ils y ont en plus:
(Estimée) 1 École primaire. Pas refournie en eau
But: perforation de un forage à 8" à Esse
Godjinme à débit 30m3
Équiper le forage de 4 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous les
quartiers et au cour de l'école
Lieu placement forage : Esse Godijinme centre
Chacune de 3 pompes dédiée à un réservoir pour 300 usagers (+/- 40 ménages).
École : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Quatre pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1200 Wc (de 16 panneaux de 75 Wc) et leurs
supports et systèmes de tracking
4 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
But: perforation de un
forage à 8" à Godjinme à débit 30m3
Équiper le forage de 4 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous les
quartiers et au cour de l'école
Lieu placement forage : Godijinme centre
Chacune de 3 pompes dédiée à un réservoir pour 350 usagers (+/- 40 ménages).
École : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre
forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Quatre pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1200 Wc (de 16 panneaux de 75 Wc) et leurs
supports et systèmes de tracking
4 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
But: perforation de un
forage à 8" à Domézekopé à débit 50m3
Équiper le forage de 8 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous les
quartiers et au cour de l'école
Lieu placement forage : Domézekopé centre
Chacune de 6 pompes dédiée à un réservoir pour 300 usagers (+/- 35 ménages).
Écoles : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre
forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Quatre pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 2100 Wc (de 28 panneaux de 75 Wc) et leurs
supports et systèmes de tracking
7 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
But: perforation de un
forage à 8" à Temanou Kope à débit 30m3
Équiper le forage de 4 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous les
quartiers et au cour de l'école
Lieu placement forage : Temanou Kope centre
Chacune de 3 pompes dédiée à un réservoir pour 300 usagers (+/- 40 ménages).
École : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre
forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Quatre pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1200 Wc (de 16 panneaux de 75 Wc) et leurs
supports et systèmes de tracking
4 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
But: perforation de un
forage a 8" a Esse Goe a debit 30m3
Équiper le forage de 4 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous les
quartiers et au cour de l'école
Lieu placement forage : Esse Goe centre
Chacune de 3 pompes dédiée à un réservoir pour 300 usagers (+/- 40 ménages).
École : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre
forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Quattre pompes solaires
Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1200 Wc (de 16 panneaux de 75 Wc) et leurs
supports et systèmes de tracking
4 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
But: perforation de deux
forages à 8" à Gboto Vodoupe à débit totale 75m3
Équiper chaque forage de 5 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous
les quartiers et au cour des écoles
Lieux placement forages : Gboto nord-est; Gboto Sud
Chacune de 8 pompes dédiée @a un réservoir pour 350 usagers (+/- 45 ménages).
Écoles : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre
forage et réservoirs 0.5km
Chaque forage équipé de:
Cinq pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1500 Wc (de 20 panneaux de 75 Wc) et leurs
supports et systèmes de tracking
5 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
But: perforation de deux
forages à 8" à Klohome à débit totale 95m3
Équiper chaque forage de 6 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous
les quartiers et au cour des écoles
Lieux placement forages : Klohome Est; Klohome Ouest
Chacune de 10 pompes dédiée à un réservoir pour 350 usagers (+/- 55 ménages).
Écoles : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté de chaque forage
Distance moyenne entre
forage et réservoirs 0.5km
Chaque forage équipé de:
Six pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1800 Wc ( de 24 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
6 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
But: perforation de deux
forages à 8" à Atchame à débit totale 95m3
Équiper chaque forage de 6 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous
les quartiers et au cour des écoles
Lieux placement forages : Atchame Nord; Atchame Sud
Chacune de 10 pompes dédiée à un réservoir pour 350 usagers (+/- 45 ménages).
Écoles : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre
forage et réservoirs 0.5km
Chaque forage équipé de:
Six pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1800 Wc ( de 24 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
6 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
But: perforation de un
forage à 8" à N'dewonekondji à débit 50m3
Équiper le forage de 7 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous les
quartiers et au cour de l'école
Lieu placement forage : N'dewondekondje centre
Chacune de 6 pompes dédiée à un réservoir pour 320 usagers (+/- 45 ménages).
École : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre
forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Huit pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 2100 Wc ( de 28 panneaux de 75 Wc ) et leurs supports
et systèmes de tracking
7 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 systàme de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
But: perforation de trois
forages à 8" à Assigame à débit 180m3
Équiper chaque forage de 7 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous
les quartiers et au cour des écoles
Lieux placement forages : Assigame Nord Est, Assigame sud Est, Assigame Ouest
Chacune de 16 pompes dédiée à un réservoir pour 400 usagers (+/- 55 ménages).
Écoles : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre
forage et réservoirs 0.5km
Chaque forage équipé de:
Sept pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 2100 Wc ( de 28 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
7 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
But: perforation de trois
forages à 8" à Kossidame à débit 160m3
Équiper chaque forage de 7 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tousles
quartiers et au cour des écoles
Lieux placement forages : Assigame Nord Est, Assigame sud Est, Assigame Ouest
Chacune de 17 pompes dédiée à un réservoir pour 340 usagers (+/- 45 ménages).
Écoles : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre
forage et réservoirs 0.5km
Chaque forage équipé de:
Sept pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 2100 Wc ( de 28 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
7 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
But: perforation de trois
forages à 8" à Gboto Zevi à débit 160m3
Équiper chaque forage de 7 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous
les quartiers et au cour des écoles
Lieux placement forages : Zevi marche (centre), Zevi Sud, Zevi Nord
Chacune de 16 pompes dédiée à un réservoir pour 280 usagers (+/- 40 ménages).
Écoles : un réservoir en cour
Marche : un reservoir
Centre soins : Deux systemes independents
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté de chaque forage
Distance moyenne entre
forage et réservoirs 0.5km
Chaque forage équipé de:
Sept pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 2100 Wc ( de 28 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
7 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
But: perforation de un
forages à 8" à Kpodjin à débit 50m3
Équiper le forage de 6 pompes Solar Spring pour emporter l'eau dans tous les
quartiers et au cour des écoles
Lieu placement forage : Kpodjin centre
Chacune de 5 pompes dédiée à un réservoir pour 350 usagers (+/- 45 ménages).
École : un réservoir en cour
Une unité triple de pompes manuelles placée à côté du forage
Distance moyenne entre
forage et réservoirs 0.5km
Le forage équipé de:
Six pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1800 Wc ( de 24 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
6 réservoirs à 15 m3 avec leurs supports
1 système de pompage manuel à trois unités de pompage indépendantes
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV avec une salle de gardien (24 heures par
jour)
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage équipé de:
Une pompe solaire Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 300 Wc ( de 4 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systemes de tracking
1 réservoirs a 15 m3 avec support
1 pompe manuelle
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage équipé de:
Deux pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 600 Wc ( de 8 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
2 réservoirs à 15 m3 avec support
1 pompe manuelle
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage équipé de:
Une pompe solaire Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 300 Wc ( de 4 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
1 réservoir à 15 m3 avec support
1 pompe manuelle
Une margelle pour la pompe manuelle
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage équipé de:
Deux pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 900 Wc ( de 12 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
3 réservoirs à 15 m3 avec support
1 pompe manuelle
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage équipé de:
Deux pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 600 Wc ( de 8 panneaux de 75 Wc ) et leurs supports
et systèmes de tracking
2 réservoirs à 15 m3 avec support
1 pompe manuelle
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage équipé de:
Deux pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 600 Wc ( de 9 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
2 réservoirs à 15 m3 avec support
1 pompe manuelle
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage équipé de:
Sept pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 2100 Wc ( de 28 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
7 réservoirs à 15 m3 avec support
1 unite à trois pompes manuelles
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage équipé de:
Quattre pompes solaires
Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1200 Wc ( de 16 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
4 réservoirs à 15 m3 avec support
1 unité à trois pompes manuelles
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage équipé de:
Huit pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 2400 Wc ( de 32 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
8 réservoirs à 15 m3 avec support
1 unite à trois pompes manuelles
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage équipe de:
Six pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1800 Wc ( de 24 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
6 réservoirs à 15 m3 avec support
1 unité à trois pompes manuelles
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage equipe de:
Trois pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 900 Wc ( de 12 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
3 réservoirs à 15 m3 avec support
1 pompe manuelle
Une margelle pour la pompe manuelle
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Chaque forage équipé de:
Six pompes solaires Solar
Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1800 Wc ( de 24 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
6 réservoirs à 15 m3 avec support
1 unité à trois pompes manuelles
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage equipe de:
5 pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1500 Wc ( de 20 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
6 réservoirs à 15 m3 avec support
1 pompe manuelle
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage equipe de:
Deux pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 600 Wc ( de 8 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
2 réservoirs à 15 m3 avec support
1 pompe manuelle
Une margelle pour la pompe manuelle
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Un groupe de trois pompes
manuelles placée à côté du forage
Le forage equipe de:
Trois pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 900 Wc ( de 12 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
3 réservoirs à 15 m3 avec support
Un groupe à 3 pompes manuelles
Une margelle pour la pompe manuelle
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage equipe de:
Quattre pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1200 Wc ( de 16 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
4 réservoirs à 15 m3 avec support
Un groupe à 3 pompes manuelles
Une margelle pour la pompe manuelle
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage equipe de:
Deux pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 600 Wc ( de 8 panneaux de 75 Wc ) et leurs supports
et systèmes de tracking
2 réservoirs à 15 m3 avec support
Une pompes manuelle
Une margelle pour la pompe manuelle
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage equipe de:
Six pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1800 Wc ( de 24 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
6 réservoirs à 15 m3 avec support
Trois pompes manuelles
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Le forage equipe de:
Quattre pompes solaires Solar Spring
Panneaux photovoltaïques pour 1200 Wc ( de 16 panneaux de 75 Wc ) et leurs
supports et systèmes de tracking
4 réservoirs à 15 m3 avec support
Trois pompes manuelles
Une margelle pour les pompes manuelles
Une aire de lavage (15 m2 (1,5 m x 10 m )
Une clôture autour des panneaux PV
Marchepieds secs pour usagers
Fosses d'écoulement des eaux perdues
Zone |
Habitants |
m3/jour |
Forages |
|
|
||
Pompes
manuelles |
Watts |
|
|
|
|
||
1.01 |
01000 |
0030 |
01 |
003 |
005 |
001500 |
|
1.02 |
04648 |
0130 |
03 |
009 |
021 |
006300 |
|
1.03 |
06379 |
0180 |
05 |
015 |
030 |
009000 |
|
1.04 |
01892 |
0050 |
01 |
003 |
008 |
002400 |
|
1.05 |
02238 |
0060 |
02 |
006 |
010 |
003000 |
|
1.06 |
02724 |
0075 |
02 |
006 |
012 |
003600 |
|
1.07 |
01637 |
0043 |
01 |
003 |
007 |
002100 |
|
1.08 |
03376 |
0125 |
02 |
006 |
012 |
003600 |
|
1.09 |
01658 |
0043 |
01 |
003 |
007 |
002100 |
|
1.10 |
01519 |
0045 |
01 |
003 |
008 |
002400 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
1.00 |
27071 |
0781 |
19 |
057 |
120 |
036000 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
2.01 |
01000 |
0030 |
01 |
003 |
004 |
001200 |
|
2.02 |
01842 |
0050 |
02 |
003 |
008 |
002400 |
|
2.03 |
01000 |
0030 |
01 |
003 |
004 |
001200 |
|
2.04 |
01148 |
0030 |
01 |
003 |
004 |
001200 |
|
2.05 |
01846 |
0050 |
01 |
003 |
007 |
002100 |
|
2.06 |
01000 |
0030 |
01 |
003 |
004 |
001200 |
|
2.07 |
01000 |
0030 |
01 |
003 |
004 |
001200 |
|
2.08 |
02788 |
0075 |
02 |
006 |
010 |
003000 |
|
2.09 |
03528 |
0095 |
02 |
006 |
012 |
003600 |
|
2.10 |
03576 |
0095 |
02 |
006 |
012 |
003600 |
|
2.11 |
01934 |
0050 |
01 |
003 |
007 |
002100 |
|
2.12 |
06345 |
0180 |
03 |
009 |
021 |
006300 |
|
2.13 |
05839 |
0160 |
03 |
009 |
021 |
006300 |
|
2.14 |
04528 |
0160 |
03 |
009 |
021 |
006300 |
|
2.15 |
01778 |
0050 |
01 |
003 |
006 |
001800 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
2.00 |
38152 |
1115 |
25 |
072 |
145 |
043500 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
3.01 |
00200 |
0005 |
01 |
001 |
001 |
000300 |
|
3.02 |
00400 |
0010 |
01 |
001 |
002 |
000600 |
|
3.03 |
00200 |
0005 |
01 |
001 |
001 |
000300 |
|
3.04 |
00600 |
0008 |
01 |
001 |
003 |
000900 |
|
3.05 |
00400 |
0010 |
01 |
001 |
002 |
000600 |
|
3.06 |
00400 |
0010 |
01 |
001 |
002 |
000600 |
|
3.07 |
01605 |
0050 |
01 |
003 |
007 |
002100 |
|
3.08 |
01400 |
0040 |
01 |
003 |
004 |
001200 |
|
3.09 |
02245 |
0060 |
01 |
003 |
008 |
002400 |
|
3.10 |
01473 |
0035 |
01 |
003 |
005 |
001500 |
|
3.11 |
00300 |
0008 |
01 |
001 |
003 |
000900 |
|
3.12 |
04635 |
0130 |
03 |
009 |
018 |
005400 |
|
3.13 |
01200 |
0030 |
01 |
001 |
005 |
001500 |
|
3.14 |
00400 |
0010 |
01 |
001 |
002 |
000600 |
|
3.15 |
00839 |
0025 |
01 |
003 |
003 |
000900 |
|
3.16 |
00800 |
0020 |
01 |
003 |
004 |
001200 |
|
3.17 |
00400 |
0010 |
01 |
001 |
002 |
000600 |
|
3.18 |
01578 |
0045 |
01 |
003 |
006 |
001800 |
|
3.19 |
01300 |
0035 |
01 |
003 |
004 |
001200 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
3.00 |
20375 |
0546 |
21 |
043 |
082 |
024600 |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Total |
85598 |
2442 |
65 |
172 |
347 |
104100 |
|
Totales pour la fourniture
en eau :
Habitants : 85598
Forages : 65
Litres/jour 2.442.000 (2442 m3) environs
Pompes solaires : 347
Puissance photovoltaique installée : 104.1 KW
Réservoirs à 15 m3 347
Pompes manuelles : 172, dont 54 groupes triples, et 10 pompes simples
Tuyauterie vers réservoirs pompes : 175000m.
Puisque les nappes d'eau
dans la région se trouvent à une profondeur de 50-60 metres, on se servira de
forages perforés par de groupes/coopératives de travail, travaillant là où
possible dans le cadre des systèmes locaux SEL-LETS. Les aménagements seront fabriqués
par les usines de Beosite. Au cas où l'on puisse construire de puits au lieu de
faire de forages on prévoit l'installation de cloisonnage dessiné contre la
cession du sol. Les forages seront fermés hermétiquement contre les animaux et
les poussières afin d'assurer la bonne qualité de l'eau. Le dessin rendra
impossible à l'eau de superficie de filtrer ou rentrer dans le forage.
Il n'est pas nécessaire que
les forages soient placés tout près des habitations des usagers. Il est
pourtant extrèmement important qu'on puisse en assurer la sécurité contre le
vol des installations solaires situées auprès des puits et des forages. Bien
qu'on prévoie la présence 24 heures sur 24 d'un gardien, l'atelier
organisationnel pourrait bien donner de précédence aux sites toujours exposés
au contrôle publique social.
Les panneaux solaires
utilisés incorporeront une gravure “Nouveaux horizons” au vitre et un “chip” à
l'intérieur permettant la localisation des panneaux éventuellement volés.
On installera en général
plusieurs pompes dans le même forage. Les pompes recommandées développent une
pression tres forte, capable de porter l'eau sur plusieurs kilometres jusqu'à
un réservoir situé tout près des habitations.
Les pompes manuelles et
leurs margelles seront installées de maniere à ce que les pieds des usagers
restent toujours à sec. L'accès aux puits et aux pompes manuelles doit rester
toujours à sec, à travers l'utilisation de gravier.
On peut monter de pompes
manuelles de réserve à côté des forages à condition que la profondeur de l'eau
ne soit supérieure a 45 m.
Pour voir une installation
typique voir:
DESSIN
DES STRUCTURES DE FOURNITURE EN EAU POTABLE
DESSIN DE L'INSTALLATION D'UN RÉSERVOIR À EAU POTABLE
La pureté de l'eau dans les
réservoirs placés dans les écoles et les cliniques sera garantie moyennant
l'installation d'unités de purification possiblement à rayons ultra-violettes.
Les réservoirs pourraient
être équipés de vannes à boisseau sphérique.
On posera du gravier sur la
superficie du sol autour des réservoirs pour que les pieds des usagers restent
toujours à sec. Les pertes d'eau seront absorbées par les trous de drainage
remplis de pierres et de gravier.
Les réservoirs seront
fabriqués localement dans les usines Beosite. Ils seront completement
hygiéniques pour assurer la pureté de l'eau jusqu'au moment de son entrée dans
les récipients des usagers. Les cours d'éducation à l'hygiène devront couvrir
les aspects d'hygiène nécessaires à ce que l'eau reste pure dans l'ambiance
ménagere.
Le bilan des structures pour
la fourniture en eau potable sera établi par l'atelier organisationnel prévu.
Le bilan contient les voix suivantes rèlevantes à la fourniture en eau
exprimées en Euro. Dans leur ensemble elles représentent les 50% environs des
investissements en argent formel prévus du projet:
Activité |
Montant
en Euro |
Atelier organisationnel : |
40.000 |
Établissement structures de base: |
20.000 |
Voitures et matériaux: |
290.000 |
Carburant/entretien voitures |
50.000 |
Reserve pour forages (puits en
monnaie SEL-LETS) |
257.100 |
Points lavage (SEL-LETS) |
10.000 |
Margelles pompes manuelles
(SEL-LETS) |
10.000 |
Pompes solaires (347) |
449.500 |
Support panneaux (347) |
58.250 |
Panneaux solaires
347*300W=104.1KW |
649.500 |
Pompes manuelles (172)
partiellement Beosite |
82.000 |
Câbles/tuyaux pour pompes/puits |
100.000 |
Tuyaux puits vers réservoirs Km
175 |
100.000 |
Réservoirs (347) |
114.000 |
Travail pose tuyau (plupart en
moonnaie SEL-LETS) |
10.000 |
Bases réservoirs (347) |
36.000 |
Préparation opérateurs entretien |
25.000 |
Magasin pieces détachées |
30.000 |
Permis et formalités |
1.000 |
Rédaction des spécifications
détaillées |
6.000 |
Transport |
95.000 |
|
|
Total |
2.433.350 |
Les fonds éventuellement non
utilisés (surtout à cause du fonctionnement des usines Beosite et des systemes
SEL-LETS) viendront ajoutés aux réserves du projet et faits circuler dans la
forme de micro-crédits sans intérets pour l'augmentation de la productivité
locale. Par exemple, les quelques équipements et matériaux pourront être déjà
disponibles localement.
L'atelier pourrait prendre
en considération quelques-uns des suivants aspects:
2.08.8.1. Établissement de
la base d'opérations et magasin $ 20.000
Permis $ 1.000
Rédaction spécifications déatillées $600
Total Euro 27.000
2.08.8.2 Équipe de
supervision
Formation de l'équipe, peut-être 6 personnes dont:
-Chef équipe
-2 x chauffeurs/mécaniciens
-3 x ouvriers à temps partiel
2.08.8.3. Groupes forages
Formation de quatre équipes chacune à 7 membres:
-Chef groupe
-Spécialist cloisonnage
-5 ouvriers
2.08.8.4. Véhicules,
équipements et matériaux
2.08.8.4.1 Équipements à
amortir sur 3 ans:
2.08.8.4.1.01 Camion 7
tonnes
2.08.8.4.1.02 Voitures double cabine 4 x 4
2.08.8.4.1.03 Équipement de perforation
2.08.8.4.1.04 Forme margelles
2.08.8.4.1.05 Outillages
Prévision 4.1 Euro 200.000
2.08.8.4.2 Matériaux
2.08.8.4.2.1 Beosite/anhydrite
2.08.8.4.2.2 Acier (???)
2.08.8.4.2.3 Sable et gravier
2.08.8.4.2.4 Bois et autre
Prévision 4.2 réserves Euro
90.000
2.08.8.5. Construction
2.08.8.5.1 Travaux
-Forages à diam.int.8''
-58 puits/forages en 15 mois
-Cloisonnage (Beosite ??) diamètre intérieur 8''
-Margelle forage élévation 0.5m
2.08.8.5.2. Personnel et
carburant
2.08.8.5.2.01 Chef équipe
2.08.8.5.2.02 2 x chefs groupe
2.08.8.5.2.03 2 x experts cloisonnage
2.08.8.5.2.04 10 x ouvriers
2.08.8.5.2.05 2 x chauffeurs/mécaniciens
2.08.8.5.2.06 Diesel pour camion 100 km/jour x 375 jours 37500 km @.0.41itres
15000 litres@ 0.8 12.000
2.08.8.5.2.07 Essence pour voiture double-cabine 150 km/jour x 15 mois 56250 km
@ 8438 litres@ 1 8.000
2.08.8.5.2.08 Carburant pour peforatrice 12.000
2.08.8.5.2.09 Imprévus 18.000
Prévision groupe 5 : Euro
50.000
2.08.8.6. Margelles pour
pompes manuelles
2.08.8.6.1 Les margelles
peuvent être placées à côté des puits, car la technologie de pompes manuelles
recommandées permet l'utilisation d'un seul tuyau flexible courbé. (Voir les
informations supplémentaires dont à l'annèxe 5)
2.08.8.6.2 Matériaux
nécessaires :
-2.25m3 Beosite (R) en blocs préfabriqués localement
-Piece de tuyau en polyéthylene pour drainage des eaux perdues
-Pierres et gravier pour le trou de drainage.
-Accès à la margelle à marchepieds en gravier afin que les pieds des usagers
restent à sec
2.08.8.6.3 Coût margelles
Soit les margelles que la main d'œuvre rentrent dans le cadre des systèmes à
monnaies locales SEL-LETS. À payer, additives pour Beosite, réserve Euro 10.000
2.08.8.7. Construction des
aires de lavage
2.08.8.7.1 Les aires de
lavage seront placées auprès des puits/forages. L'atelier organisationnel
décidera si les aires doivent être fournies d'eau par moyen des pompes
manuelles ou par moyens de pompes solaires. Les aires devront respecter de
critères hygièniques telles:
2.08.8.7.1.1 Drainage des
eaux perdues à un trou de drainage ou bien à de jardins
2.08.8.7.1.2 Les surfaces en doivent rester hygièniques et faciles à nettoyer
2.08.8.7.1.3 Qu'il n'y ait aucun contact des pieds des usagers avec d'eaux de
surface
Les aires de lavage seront
réalisées dans le cadre des systemes de monnaies locales SEL-LETS. Réserve
couverture frais d'additives Euro 10.000
2.08.8.8. Les alentours des
puits
2.08.8.8.1 Les zones des
puits doivent être protégées contre l'accès de personnes non autorisées et
contrel'accès d'animaux
2.08.8.8.1.1 Les puits mêmes doivent être hermétiquement fermés contre les
insectes et tout ce qui pourrait y causer la contamination de l'eau
2.08.8.8.1.2 L'accès aux panneaux photovoltaïques ne sera permis qu'au
techniciens d'entretien. Les panneaux seront placés dans un enclos et resteront
sous supervision 24 heures sur 24 par de gardiens nommés et payés (en monnaie
locale) des commissions puits.
2.08.8.8.1.3 Les panneaux individuels contiendront un chip qui en permettra la
récupération suite au vol. Le vitre des panneaux aura une gravure “Nouveaux
horizons de Yoto Nord-Est” pour en décourager ultérieurement le vol.
2.08.8.9. Pose tuyau aux
réservoirs
2.08.8.9.1 À partir de
chaque forage, un nombre variable de tuyaux hygièniques en polyéthylene seront
posés chacun vers un réservoir dédié situé tout près des ménages des usagers.
Les tuyaux peuvent être longs quelques kilometres. Les tuyaux passeront fin que
possible par de chenaux communs pour ensuite se brancher sur les dernières
centaines de metres jusq'au réservoir. L'atelier pourrait même décider
d'installer de longueurs de tuyaux supplémentaires dans les sections communes
des tracées pour faire face à l'endommagement d'un tuyau et aux changements et
extensions successifs aux systèmes. Les obstacles telles les grandes routes et
les rivieres doivent être évitées. Les tuyaux passant au-dessous de routes
sècondaires doivent être dûment protégés.
2.08.8.9.2 Les chenaux
seront excavés et la pose réalisée dans le cadre des systemes de monnaies
locales SEL-LETS.
2.08.8.9.3 Coûts
2.08.8.9.3.1 Tuyaux 175.000 mètres
2.08.8.9.3.2 Joint rapides doubles
2.08.8.9.3.3 Protection tuyaux
Total costs 9.3 Euro 100.000
2.08.8.10 L'installation des
réservoirs ( 347 x 15.000 litres environs)
Des alternatives aux
réservoirs en béton seront construites en Beosite dans les usines locales et
dans le cadre des systemes de monnaies locales SEL-LETS. Les réservoirs seront
sphériques et placés sur de simples supports solides faits eux aussi en
Beosite.
Chaque réservoir sera équipé
de deux groupes de deux vannes a boisseau sphérique en série. Les réservoirs et
leurs supports seront résistants a toutes les conditions atmosphériques
prévisibles.
2.08.8.10.1 Coût des
réservoirs
2.08.8.10.1.1 347 réservoirs
a 15.000 litres
10.1.2 347 supports réservoirs
10.1.3 1388 x vannes à boisseau sphérique 1” acier inox 316/viton
10.1.4 Quelques tuyaux de drainage
2.08.8.10.1.5 Gravier pour les trous de drainage et pour les sentiers
Vannes à boisseau sphérique
Euro 50.000
Réserve réservoirs Euro 64.000
Réserve supports réservoirs Euro 36.000
Totale réservoirs Euro
150.000
2.08.8.11 Installation de
pompes solaires et manuelles
2.08.8.11.01 (Environs) 54
unités de pompage manuel triples faites partiellement en Beosite dans les
usines locales 82.000 plus quelques unités simples
2.08.8.11.02 103200 m tuyau polyéthylene 1 1/4" 16 bar tuyau 100.000 (pour
les pompes manuelles)
2.08.8.11.03 103200m environs ficelle sécurité polypropylène 15.000 (pour
pompes)
2.08.8.11.04 Raccords rapides doubles 2.250
2.08.8.11.05 Câble électrique préscrit pour les pompes solaires 52.000
2.08.8.11.06 Dotation initiale pièces détachées pompes manuelles 10.000
2.08.8.11.07 347 pompes solaires 449.500
2.08.8.11.08 25000 m tuyau HD polyéthylène diam. 26 mm ext/19 mm pour pompes
solaires 13.000
2.08.8.11.09 Pièces détachées pompes solaires 20.000
2.08.8.11.10 Transport international 40.000
2.08.8.11.11 Transport national 30.000
2.08.8.11.12 Supervision installation 25.000
2.08.8.11.13 Réserve 11.750
Total installation pompes
solaires et manuelles Euro 850.500
2.08.8.12. Installation
panneaux PV
2.08.8.12.1 347 arrays 48V 4
x 75 Wc en série 104.100 Wc environs @ Euro 6.25 approx Euro 649.500
2.08.8.12.2 Supports panneaux réserve 58.250
-a) fabrication en Béosite
localement
-b) chaque array aura le propre support
-c) quel type/modèle de support?
2.08.8.12.3 Transport
international panneaux 15.000
2.08.8.12.4 Transport local
panneaux 10.000
Total installation panneaux
Euro 732.750
2.08.8.13. (Éventuelle
installation unités de purification eaux pour cliniques et écoles)
2.08.8.13.1 L'eau est propre
au moment de son arrivée aux réservoirs. Les raisons pour laquelle on se sert
de réservoirs sont:
-l‘eau doit être disponible 24 heures sur 24
-une réserve d'eau doit être constituée pour faire face aux périodes de mauvais
temps (indicativement pour au moins 3 jours)
-Le volume des réservoirs doit être compatible avec le débit des pompes
-Au cas où l'eau est tenue dans un réservoir dans la République du Togo pendant
plusieurs jours, bien que bien protégée contre la contamination, de mésures
devraient être entreprises, spécialement dans les écoles et cliniques, pour
s'assurer qu'elle reste pure. Des systèmes de purification à rayons
ultraviolets sont donc prévus pour les écoles et cliniques déjà dans la phase 3
des travaux. Pour les autres réservoirs l'utilisation d'une telle protection
dépendra des financements disponibles pendant la phase 4 et de l'état des
connaissances techniques.
2.08.8.13.2 Prévision écoles
et cliniques
59 systemes de purification
solaires avec panneaux PV Euro 95.000 (Noter qu'ils y ont plusieurs systèmes
pour chaque réservoir).
2.08.8.14.0 Établissement
d'un système d'entretien pour les structures de fourniture en eau
La structure sera créée
pendant l'atelier organisationnel prévu.
2.08.8.14.1 Préparation personnelle entretien Euro10.000
2.08.8.15 Livraison oeuvres
2.08.8.15.1 Chaque systeme
forage sera livré à la commission forage du lieu, qui aurait été déjà
constituée pendant les ateliers pour les structures locales. À la commission
forage passera la gestion des forages, des pompes manuelles, des aires de
lavage, et des enclos pour les panneaux PV. Le passage formel de la propriété
des structures du projet a la commission aura lieu une fois que le crédit de
base aurait été remboursé.
Chaque systeme réservoir
sera livré à la commission réservoir du lieu, qui aurait été constituée pendant
les ateliers pour les structures locales. À la commission réservoir passera la
gestion des panneaux PV, des supports panneaux et des tuyaux dédiés au propre
réservoir, de la pompe solaire, du réservoir et ses accessoires. Le passage
formel de la propriété des structures du projet à la commission aura lieu une
fois que le crédit de base aurait été remboursé.
2.08.8.16. Les aspects
rélatifs à l'hygiène
Les ateliers
organisationnels établiront les détails sur les contrôles systématiques à
effectuer pour assurer la qualité de l'eau. Les suivantes observations
s'entendent indicatives:
2.08.8.16.1 De contrôles
systématiques sur la qualité de l'eau dans les puits et dans les réservoirs
seront effectués.
2.08.8.16.2. L'équipement
nécessaire pour l'exécution des contrôles sera installé dans une des cliniques
locales à charge du projet. La clinique effectuera les contrôles pour les
structures du projet gratuitement mais elle pourrait se faire payer ceux
effectués pour le compte de communautés hors de la zone du projet.
2.08.8.16.3 Éducation à
l'hygiène. On prévoit des initiatives soit dans la forme de clubs de Santé, que
dans la forme de cours auprès des écoles. Pour ce qui concerne l'utilisation de
l'eau potable fournie à travers les réservoirs, on devrait faire attention
particuliere à ce que les récipients et les équipements doméstiques restent
toujours en état hygiènique, et au lavage des mains .
2.08.8.16.4 Le programme
même des contrôles
2.08.8.16.5 L'organisation
pratique des contrôles
Le projet prévoit
l'éclairage photovoltaïque pour les étudiants au niveau de commission
réservoir.
Puisque peu des localités au
niveau de réservoir n'auront déjà une structure adaptée aux études, les
commissions réservoir devront en faire construire une dans le cadre des
systèmes de monnaie locale SEL-LETS en faisant débiter à chaque membre du
groupe SEL-LETS faisant référence au réservoir sa quote de frais. Pour donner
encouragement aux commissions réservoirs à procéder à la construction rapide de
la salle d'études, les frais des systemes d'éclairage PV et, éventuellement
ceux d'un appareil TV opérant à énergie photovoltaïque (POUR LES ÉTUDES !!),
sont couverts dans le cadre du projet. Ils y auront sans doute de problemes à
discuter en ce qui concerne la gestion des appareils TV, soit pour la sécurité
contre le vol, soit pour la protection nécessaire contre les éléments.
Pour les cliniques qui ne
sont pas déjè branchées à l'électricité, l'installation de l'éclairage PV et de
réfrigération PV pour les vaccins est prévue dans le cadre du projet, sur
responsabilité de la commission réservoir locale.
L'installation d'éclairage
PV dans une ou plusieurs salles de classe aux écoles est prévue, toujours sur
initiative de la commission réservoir locale, là où l'on a l'intention de
commencer de cours de soir, en particulier ceux pour les adultes.
La situation d'écoles et
cliniques hors de la zone du projet qui servent d'usage aux habitants dans la
zone du projet, et celle des écoles et cliniques privées qui se trouvent dans
la zone du projet, devront être prises en considération à l'occasion des
ateliers organisationnels et évalués de cas à cas.
La fourniture d'éclairage PV
ou d'énergie nécessaire aux activités productives sera financée cas par cas à
travers du système de micro-crédits sans intérets établi dans le cadre du
projet.
Puisque beaucoup de ménages
dépensent actuellement de Euro 4 à Euro 10 par mois seulement pour battéries de
radios, le projet institue un petit fonds supplémentaire pour l'achat de radios
à opération mécanique ou solaire et pour l'installation de systèmes solaires PV
domestiques. La participation à ce fonds coopératif sera volontaire selon les
décisions des commissions réservoir. Les participants feront une contribution
supplémentaire au fonds pour pouvoir bénéficier de l'achat d'une radio ou de
l'installation d'un système PV doméstique jusqu'au moment où tous les
participants n'aient reçu leur installation. Les priorités seront probablement
déterminées par tirage a lots, à choix de l'atélier organisationnel qui
s'occupera des structures locales.
2.9.1.1 Achat équipement
(voix a bilan Euro 200.000)
2.9.1.2 Frais d'installation ( à effectuer dans le cadre des systemes SEL-LETS)
Il est probable que la
commission réservoir locale demande à un des groupes qui auront installé les
systèmes de pompage de donner exécution à l'installation et à l'entretien des
systèmes d'éclairage.
Ils y ont actuellement cinq
cliniques (centre de soins) dans la zone du projet. Elles ne sont pas branchées
au réseau électrique.
On prévoit l'installation
tant d'éclairage que de réfrigération pour les vaccins dans ces cliniques.
Le montant au bilan est Euro
60.000 représentant Euro 6000 pour l'éclairage et Euro 6.000 pour la
réfrigération dans chaque clinique.
Il est probable que le
coordinateur demande aux groupes qui auront installé les systemes de pompage de
donner exécution à l'installation et à l'entretien des systèmes d'éclairage.
Il est possible qu'ils y
aient de cliniques situées hors de la zone du projet qui servent les habitants
de la zone. Leurs éventuelles exigences seront prises en examen cas par cas et
les fonds nécessaires transférés des réserves.
On a établi une voix au
bilan pour Euro 60.000.
Actuellement les écoles
locales sont fermées le soir et il n'y a pas d'instruction sérale fournie par
le ministere de l'instruction publique.
On a pourtant exprimé une
exigence forte d'instruction sérale.
Il s'agit par conséquent
d'attendre que les commissions réservoir et/o les commissions puits puissent
prendre l'initiative pour l'organisation de cours d'instruction le soir, soit
avec professeurs du ministere, soit avec de professeurs locaux payés dans le
cadre des systemes de monnaie locale SEL-LETS.
En ce cas, on installera, à
charge de la communauté locale, d'éclairage PV dans les écoles en question. Le
fonds mis à disposition sera utilisé pour en faire le financement sans intérets.
Il est probable que la
commission réservoir locale demande à un des groupes qui auront installé les
systemes de pompage de donner exécution à l'installation et à l'entretien des
systèmes d'éclairage et de réfrigération.
2.09.4.1 On installera 347
réservoirs environs
2.09.4.2 En cas de contamination d'eau dans un réservoir, particulièrement en
cas de contamination systématique, on devrait procéder à la purification de
l'eau à travers de méthodologies supplémentaires. Différentes technologies se
trouvent actuellement en cours de développement, de systèmes de filtrage
susceptibles de fabrication locale aux systemes plus complèxes à rayons
ultra-violets PV à prix élevés qui devraient être importés dans la zone du
projet.
En cas de contamination des
eaux, on devra agir pour assurer une eau de bonne qualité à tous. On a prévu au
bilan un montant de Euro 100.000 pour la couverture de tels frais. Le but du
projet sera d'attendre les développements techniques aussi longuement que
possible avant d'agir. Les fonds pourront être mis à la disposition du
coordinateur pour le système des micro-crédts sans intérets.
Etant donné l'importance
spéciale de l'eau pure auprès des 59 écoles et des 5 cliniques, on prévoit
pourtant y faire des essais de différents systèmes de purification
supplémentaire disponibles. On a mis un bilan à ce but Euro 95.000.
Par la suite, observés les
résultats des essais, on passera, cas échéant, à l'installation dans les autres
réservoirs.
Il est probable que la
commission réservoir locale demande à un des groupes qui auront installé les
systemes de pompage de donner exécution à l'installation et à l'entretien des
systèmes de purification.
On a mis une voix
“pro-memoria” au bilan pour l'installation d'appareils TV pour les études.
Par principe, les
commissions réservoir pourront s'exprimer à faveur de l'installation d'un
appareil TV à opération photovoltaïque à condition que:
a) La salle d'études qu'on
aurait construite soit correctement protégée contre le vol et les éléments
(pluie, poussière)
b) Il y ait du matériel
scolastique suffisant pour justifier l'achat d'un appareil TV
c) Il y a une garantie que
l'appareil ne soit pas “confisqué” à utilisation “confort” pour la vision
collective de programmes commerciaux.
Les fonds nécessaires au
paiement d'appareils installés en bonne foi là où les conditions de base auront
été respectées seront des transferts des réserves.
Il est probable que la
commission réservoir locale charge l'un des groupes qui auront installé les
systemes de pompage de donner exécution à l'installation et à l'entretien des
systèmes de télévision installés.
Le projet ne couvre pas
directement les possibilités énormes offertes par de systèmes éfficients de
récolte des eaux pluviales. On prévoit que tels systèmes rentrent dans
l'extension normale des activités économiques dans la zone du projet.
Les eaux pluviales sont
captées tant pour l'irrigation pour que l'application doméstique. En cas
d'utilisation comme eau potable, il faut qu'il y ait en place un systeme de
purification à filtrage, car l'eau pourrait venir en contact de superficies
sales et pourrait être stockée pour de périodes relativement longues. La
purification demande l'application de technologies à gestion intensive, telles
le remplacement systématique de filtres. L'omission d'observation même de
simples règles de gestion au niveau de ménage peut porter à de conséquences
graves. C'est pourquoi le projet prévoit la fourniture en eau potable à partir
de puits et systèmes hermétiquement fermés aux impuretés.
Les systemes en eau potable
prévus dans le projet base n'offre pourtant qu'une capacitation réduite pour la
consommation humaine, les petits animaux, et, éventuellement, l'irrigation à
gouttes appliquée aux petites cultivations à valeur ajoutée élevée. Le projet
bas ne couvre pas l'eau pour l'irrigation et l'agriculture en générale pour
lesquelles, compte tenue de coût des panneaux PV et/ou des générateurs à vent,
la fourniture a systèmes solaires reste toujours à ce jour anti-économique.
La récolte sur petite
échelle des eaux pluviales offre pourtant la possibilité de fournir de l'eau à
boire aux animaux plus grands et pour l'agriculture au but d'arriver à une
certaine extension de la saison de croissance et/ou un tampon contre de
périodes de rèlative sécheresse pendant la saison de croissance, augmentant la
sécurité de la gestion des terres.
La construction d'œuvres sur
grande échelle telles les digues sont en tout cas exclues du projet car elle
implique une fuite financière de la région telle que la production agricole
supplémentaire n'en pourrait jamais rembourser les frais. Elle ne rentre pas
donc dans la philosophie sur la base de laquelle ce projet a été développé.
L'utilisation de réservoirs
en Beosite (R) fabriqués localement dans le cadre des systemes SEL-LETS locaux
signifie que les ménages et les agriculteurs n'ont pas besoin d'argent formel
pour commencer et progressivement étendre leurs systemes de récolte des eaux
pluviales. Les réservoirs peuvent être remplis par gravitation à partir de
toits et/ou de pendances naturelles et/ou des surfaces des routes.
Dans le cadre des ménages,
les eaux pourront être utilisées pour l'hygiène personale et la lessive.
Des toits verts ou “vivants”
sont idéales pour la récolte des eaux pluviales.
La quantité de points de
récolte installés dépend de la distribution des pluies. Dans la zone de Yoto on
a moyennement 1000 mm de pluie par an, ce qui signifie 1m3 par m2, ou bien
1.000.000m3 par km2. Puisque le territoire du projet à une superficie de 1250
km2 environs, la pluie de la zone monte à 1.250.000.000m3.
L'eau récoltée devrait être
toutefois filtrée pour en éliminer les matériaux organiques, les solides et les
particules en suspension.
Ceci peut être réalisé en deux phases:
a) Au point de récolte, avec
une grille fine, avec éventuellement un matériel épongeux placé à la partie
supérieure du conduit.
b) Au dessus du réservoir où l'eau peut drainer à travers un récipient en
Beosite ou autre matériel (pas de PVC!) rempli de gravier et/ou sable/et/ou
charbon de bois fourni au niveau local.
Les dimensions des filtres
dépendront cas par cas de la quantité d'eau raisonnablement prévisible.
Les réservoirs prévus seront
normalement sphériques et fabriqués localement par les usines Beosite. Du point
de vue esthétique et de leur dessin, leur placement n'est pas relevant, car ils
se présenteront très bien aux yeux.
Les possibilités d'une
gestion et d'une conservation actives de cette Réserve à valeur écologique
inestimable dans l'intéret des générations à venir sont pourtant actuellement
mises gravement en danger cause la manque de fonds.
Ils existent de marges très
intéressants pour une coopération productive entre les habitants de Yoto, à
travers des structures créées par le projet, et l'administration de la réserve
au but d'en assurer le développement et l'exercice durable.
Au cas, par exemple, où
l'Administration de la Réserve devienne membre des systèmes de monnaies locales
mis en place, l'Administration pourra se servir de la main d'oeuvre locale sans
avoir besoin de monnaie formelle pour toute sorte d'activité, y compris, à
titre indicatif, entretien, plantation, travaux de gardien, guides,
conservation de la faune et de la flora, et construction d'infrastructures. Il
est possible que, sur demande de l'administration et l'accord des habitants,
qu'on place dans le parc des structures photovoltaiques pour la fourniture en
eau des animaux.
Les frais (exprimés en
débits SEL-LETS) à la charge de l'Administration de la Réserve pour ces
services pourront être déchargés à travers la gestion strictement durable des
ressources de la Réserve. Par exemple, la vente de bois, de la viande, des
licences de commercialisation etc.
L'investissement d'argent
formel dans telles structures ne permet pas son recyclage rapide qui est l'une
des bases des projets auto-finançants de développement.
Le systeme scolastique dans
la région est presque totalement à la charge des parents des éleves. Les
associations des parents essaient à la mésure de leurs moyens des solutions
idoines aux problemes auxquels les écoles sont confrontées, qui sont nombreux
et graves.
Il s'agit :
a) d'un manque
d'infrastructure mobilière
b) d'une insuffisance mobilière
c) d'un manque de matériel didactique
d) d'une insuffisance de personnel enseignant
Le projet institue,
néamoins, des institutions qui sont importantes à l'amélioration du système
scolastique de la zone du projet.
Il s'agit :
a) Des commissions réservoir
b) Des systèmes SEL-LETS à monnaie locale
c) Des usines Beosite
Dans la pratique, tous les
biens et services disponibles localement peuvent être payés dans les monnaies
locales SEL-LETS. Ces biens et services peuvent comprendre :
a) Éléments en Beosite à
utiliser pour les constructions, y compris des structures portantes, donc aussi
pour les écoles.
b) Meubles en Beosite pour les écoles
c) De services de professeurs disponibles à travailler dans le cadre des
systèmes SEL-LETS pour un salaire exprimé en crédits SEL-LETS
d) La réproduction de matériel didactique à travers de systèmes TV à énergie
photovoltaïque et/ou à travers de services de rèproduction documentaire mis à
disposition de consultants locaux établis à travers le système de micro-crédits
dont au projet.
Les commissions réservoir
pourront prendre des initiatives concernant les écoles situées dans leur
territoire. La codification des membres des systèmes SEL-LETS prévu permettra
la possibilité d'identifier les parents des éleves de chacune des écoles. Les
populations décideront au cours de réunions convoquées par les commissions
réservoir, quels frais devront être distribués parmi toutes les familles et
quels frais (en monnaie locale SEL-LETS) devront être à la charge des seuls
parents des éleves.
La préparation du matérial
des transmisions sera complètement autonome.
En ce qui concerne les
programmes prévus, et sans vouloir influencer l'indépendance de l'atelier qui
aura lieu, ils pourraient se baser sur les éléments suivants:
a) Diffusion d'informations
sur les activités du projet (bulletins journaux)
- Invitations à réunions de structures (commissions réservoir, systèmes
SEL-LETS etc.)
- Informations sur les décisions prises pendant les réunions
- Informations sur le progrès fait avec l'installation des différentes
structures
- Informations sur les crédits sans intérets concédés
b) Informations de la part
de groupes intéressés
- Sur de nouvelles
initiatives qu'on veut prendre
- Sur le développement d'initiatives en cours de réalisation
c) Informations sur les
activités culturelles et sportives dans la zone du projet
d) Service émergences
e) Promotion du projet vers
l'extérieur
Financement
L'institution de programmes
radio est couverte d'une voix a part au bilan. Comment est-ce que la station
pourrait rembourser son crédit originaire?
- La main d'oeuvre (travail)
sera faite dans le cadre des systèmes de monnaie locale
- Les frais exprimés en argent formel (électricité , frais de gestion des
équipements) devront être remboursés sur les 3 ou 4 ans. Comment :
a) Récolte d'une petite
contribution auprès des ménages
b) Paiement pour services rendus aux habitants des zones aux alentours
immédiats
c) Publicité de producteurs dans la zone du projet vis à vis de marchés
extérieurs
En ordre alphabétique:
Prof. Raff Carmen,
Université de Manchester UK, informations sur les Ateliers Organisationnels
M L.F.Manning, New Zealand, qui a aussi fait beaucoup de travail sur la
rédaction des premières versions du modèle sur la base duquel ce projet a été
préparé
M Taake Manning, Pays Bas
M Eric Meuleman, de la EOS Consult, Pays Bas
Mme Juliet Waterkeyn, de la Zimbabwe AHEAD, Zimbabwe