Directeur
T.E.(Terry) Manning,
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Pays Bas
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E-mail (nomàfindeligne)
@xs4all.nl : bakensverzet
«L’argent n’est pas la clef
qui ouvre l’entrée au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell Silvio, «The Natural Economic Order »
Version anglaise révisée, Peter Owen, Londres 1948, page 228
Cette œuvre a été mise à la disposition du public général aux termes d’une
licence
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Attribution-Noncommercial-Share Alike 3.0 Licence.
Édition 01: 18 Octobre,
2007
Chapitre 05: L’ordre de séquence de l’exécution des acivités du projet.
05.04 Le résumé à quatre pages du projet.
Brève description de l’action proposée.
Le
projet innovateur de développement intégré durable (nom du projet) est ici
présenté sous la composante (description du fonds ou de l’initiative pour le
financement du projet)
Le projet
se réfère à (description géographique de la zone du projet) (pays), avec (nombre)
habitants distribués sur (nombre) villages (groupements de plusieurs localités)
sur une superficie de (superficie) km2. Une nouvelle vision des rapports entre
les structures sociales, financières productives et de service nécessaires au
développement intégré permet d’offrir une gamme entière de services durables à
tous les habitants sans exclusion des communes en question, à un coût inférieur
à celui d’un projet conventionnel d’hydraulique villageoise. Le projet est
établi avec les habitants mêmes, qui prennent parti actif à son exécution. Ils
participent à l’organisation des activités. Ils administrent et maintiennent
toutes les structures mises en place, dont ils sont les propriétaires. Un rôle
important est réservé aux femmes. Le montant du projet est établi en (Euro
5.000.000) soit Euro 100 environ par habitant. La contribution du (bailleur de
fonds) monte à (Euro 3.750.000) (75 %). La contribution des populations locales
est (Euro 1.250.000) (25%). Cette contribution prend la forme de (415.000)
jours environ (3.333.000 heures) de travail effectué dans le cadre des systèmes
de monnaie locale établis comme partie du projet. Ce travail est effectué
pendant les deux premières années exécutives de mise en place des structures du
projet. L’ évaluation de ce travail est basé sur un taux nominal d´échange de (Euro
3) par jour de travail. Toutes les transactions effectuées par les populations
pour le projet dans le cadre des systèmes de monnaie locale sont régulièrement
documentées et justifiées. Les intéressés reçoivent crédits réels pour leur
travail, utilisés pour l´achat de produits et services qui ont leur origine
dans la zone du projet. Les débits à couverture des crédits pour le travail
effectué sont distribués à la charge des comptes en monnaie locale des
habitants adultes de la zone du projet.
2.1 Besoins et contraintes.
Cette
proposition se réfère aux décisions prises en rapport au Millennium Development
Goals (MDGs) adoptés en 2000 au but de réduire entre 2015 du 50% la proportion
de la population mondiale sans accès durable à de l’eau potable saine, et à
celles prises en 2002 à Johannesburg, pendant
(Pays)
est reconnu comme l’un des pays les plus pauvres au monde. Le taux d’accès des
populations à de l’eau potable et aux services d’assainissement y est
extrêmement bas en particulier en milieu rural (pays), soit moins de (10%) pour
l’eau potable, et moins de (2%) pour l’assainissement.
(Corriger
là où nécessaire)
Le Plan
National d’Accès à l’Eau Potable de (pays), prévoit un ensemble d’interventions
au niveau régional de réhabilitation de structures de pompage existantes, de la
fourniture de nouveaux forages équipés de pompes, et à faveur de
l’assainissement. Pour
2.2
Populations pauvres et vulnérables.
La
proposition se base sur l’amélioration de la qualité de vie de tous les
habitants dans la zone du projet sans exception et en particulier de celle des
femmes, des enfants, et des plus pauvres. Les habitants eux-mêmes, et en
particulier les femmes, se mobilisent en se créant des milliers d’emplois (quatre
mille environ) durables. Ils mettent en place une gamme complète de structures
sociales, financières, productives et de service locales. Le projet ne se
limite pas donc à l’alimentation en eau et à l’assainissement. Il couvre en
plus, à titre d´exemple, des structures d’éducation à l’hygiène et de gestion
autonome des services de recyclage des déchets organiques et non au niveau
locale, des systèmes de monnaies locales, des systèmes de micro-crédits sans
intérêts pour l’augmentation de la productivité, des structures pour la
production locale de la plupart des biens nécessaires aux structures de base,
des systèmes d’éclairage pour les études, la production locale des fourneaux à
cuisine à rendement élevé pour l’élimination de la fumée à l’intérieur et autour
des habitations et des mini-briquettes combustibles pour les faire fonctionner,
des systèmes de récolte d’eau pluviale, la constructon d’écoles, de centres
pour infermières, de points de distribution de produits pharmacéutiques, des
services ambulances à bicyclette, des structures pour le stocakge des denrées
alimentaires, et des moulins pour la préparation des aliments. Les structures
d’alimentation en eau constituent toutefois le volet à contenu d’investissement
formel en Euro le plus élevé à cause des éléments qui ne peuvent pas être
fabriqués localement.
2.3.
Rapport aux objectifs et aux principes directeurs énoncés (dans l’appel).
La
proposition réponde de façon particulièrement innovatrice aux principes
directeurs énoncés dans (nommer l’Appel de Propositions). Elle prévoit le
développement de nombreuses infrastructures sociales, financières, productives
et de service physiques et durables permanentes qui deviennent propriété des
habitants locaux, à la gestion desquelles les femmes jouent un rôle déterminant.
Les habitants participent à la conceptualisation, à la mise en œuvre et au
contrôle du projet. Ils organisent, administrent et maintiennent aux propres
frais de façon durable toutes les structures mises en place. La contribution
mensuelle faite par chaque famille dans le Fonds Coopératif de Développement
Local à couverture de la fourniture des tous les services de base est à la
portée des familles les plus pauvres à travers un système de sécurité
(garantie) financière à trois niveaux qui fait parti intégré des structures
créées. Les systèmes durables d’éducation à l’hygiène, d’alimentation en eau
potable, d’assainissement «éco-sanitaires» au niveau des ménages, de recyclage
des ordures organiques et non, et d’élimination de la fumée à l’intérieur des
maisons contribuent à l’amélioration des conditions de santé en particulier des
femmes et des enfants. L’élimination de l’utilisation du bois pour la cuisine
porte à une forte réduction des émissions de CO2 et à la protection durable des
(parcs, forêts, réserves naturelles) qui se trouve(ent) dans la zone du projet.
Le projet établit une économie locale complète qui est volontaire, coopérative,
sans intérêts, sans inflation et entièrement gérée par la communauté elle-même.
2.4
Valeur ajoutée et effets multiplicateurs.
L’action
proposée est intégrée d’une manière tout à fait innovatrice. Elle représente
une nouveauté mondiale. Pour Euro 100 environ par habitant compte-on dans la
pratique d’éliminer la pauvreté dans la zone du projet sur une période de 4-5 ans,
fournir une gamme entière de structures de base nécessaires à une bonne qualité
de vie; créer de façon durable plusieurs milliers d’emplois (4000 environ)
individuels et coopératifs; établir un système de monnaie locale permettant
l’échange sans limite des biens et services produits localement; mettre à
disposition des familles des micro-crédits sans intérêts pour un montant total
moyennement de Euro 2.600 par famille sur chaque période de 10 ans, pour
l’augmentation de leur productivité. Succès de ce premier projet devrait porter
à l’adoption des concepts pour une stratégie de politique de développement au
niveau national, et à des actions pilotes aussi dans d’autres pays.
3.1 Activités proposées appropriées, pratiques et
cohérentes.
Le
projet met en place dans toute la zone du projet, et pour tous les habitants,
un environnement économique coopératif sans intérêts, sans inflation, et sans
but de lucre dans le cadre duquel les initiatives particulières et la
compétition économique puissent fleurir. Il donne emploi direct à 10% environs
de la population adulte et influence de façon puissante le développement
économique du restant 90% de la population. Toutes les structures sociales et
économiques et les services mis en place sont créées, gérées et maintenues par
les populations, qui en sont en même temps les propriétaires, de façon durable
et sans qu’il y ait besoin d’aucune subvention publique suite à leur formation.
Ces structures locales économiques et de gestion autogérées sont mises en place
au cours d’une série de “capacitation workshops” suivant la méthodologie du
sociologue Brésilien Clodomir Santos de Morais. La séquence de réalisation de
ces workshops est critique.
Les
principes nouveaux de développement intégré et durable appliqués ici pour la
première fois prévoient une séquence prédéterminée d’activités qui offre une
garantie optimale aux bailleurs de fonds pour ce qui concerne l’utilisation de
leurs fonds. On commence avec la formation des structures sociales, soient des
clubs d’hygiène (plate-forme pour la participation des femmes), des commissions
réservoir ou de développement local, des commissions forage (structure au
niveau intermédiaire), et une structure de direction autogérée au niveau du
projet. On poursuit avec la formation des structures financières, soient le
système de monnaie locale SEL-LETS, soit la structure pour les micro-crédits
autofinancés sans intérêts. Enfin organise-t-on la formation des structures
productives pour la fabrication, dans le cadre des structures financières
créées, de beaucoup des produits dont on a besoin pour les services de base
comme celui de l’alimentation en eau potable et celui de l’assainissement. À ce
point ont est prêt à mettre en place les strcutures de service prévues.
3.2
Participation partenaires et groupes cibles.
On
établit d’abord (200) Clubs de Santé basés sur des groupes de 40 familles
(200-300 personnes). Ils constituent une plate-forme qui permet aux femmes de
s’organiser et de participer en bloc aux réunions pour le développement local
et de participer de plein droit aux structures mises en place.
Une
fois que les clubs de Santé sont en opération, établit-on (200) commissions
réservoir autrement nommées commissions locales de développement. Elles sont
basées sur les mêmes groupes de 40 familles (200-300 personnes). Les
commissions réservoir comptent de 3 à 5 personnes, dont toutes ,ou bien la
plupart, sont femmes. Elles constituent le cœur du projet. Les commissions
réservoir nomment à leur tour (35) commissions forage. Les commissions forage
nomment une commission centrale à (35) membres, qui nomme et contrôle leds
activités d’une direction de projet qui a 5-9 membres y compris les membres du
secrétariat.
Etablies
les commissions des réservoirs et des forages, peut-on procéder à la formation
des systèmes monétaires locaux qui donnent aux populations les moyens pour
effectuer le transfert de tous les biens et les services produits et consumés à
l’intérieur de la zone du projet. À ce point, l’art devient d’identifier et
d’utiliser des technologies qui permettent la production dans la zone du projet
de la plupart des biens et des services nécessaires au développement local avec
100% de valeur ajoutée locale. Tels biens et services peuvent être produits,
installés, entretenus, et payés dans le cadre des systèmes monétaires locaux
mis en place, sans avoir besoin de monnaie formelle. Un exemple dont au projet (nom
du projet) est la possibilité de la production, l’installation, la gestion, et
l’entretien du système complet d’assainissement à compostage à sec
(éco-sanitaire) prévu sans avoir besoin d’un centime de monnaie formelle. Les
frais de gestion des systèmes monétaires locaux sont couverts dans le cadre des
systèmes mêmes.
Une fois
que les systèmes monétaires locaux sont en place, peut-on faire une distinction
entre ce que peut être réalisé dans le cadre des systèmes monétaires locaux et
ce qu’on doit “importer” dans la zone du projet. Pour ce qui concerne les
services urgents de base tels l’alimentation en eau potable, fait-on recours au
capital des bailleurs de fonds pour le financement des biens et services qui
doivent être «importés » et payés en monnaie formelle (Euro). Pour les autres
initiatives on établit des structures de micro-crédit sans intérêts. Ces
structures recyclent sans intérêts les contributions mensuelles (montant à Euro
0.60 par personne pendant les premiers 4 ans, de suite à Euro 0,75 par
personne) versées des habitants dans leur propre Fonds Coopératif de Développement
Local. On génère des crédits sans intérêts nécessaires à l’achat des biens
destinés à l’augmentation de la productivité locale et qui ne peuvent pas être
produits localement. Les frais de gestion des structures de micro-crédit sont
couverts dans le cadre du système monétaire local. Le Fonds Coopératif de
Développement Local fonctionnera utilisant des fonds fournis par les
populations. Le Fonds est le leur. Elles en sont les propriétaires. Elles
seront responsables de sa gestion, avec le support professionnel du
Coordonnateur du Projet et de son consultant au début du projet.
Une
fois en place les systèmes de micro-crédit et des monnaies locales, peut-on
procéder à la formation des unités de production, et notamment des usines pour
la production d’articles à base de composites d’anhydrite, par exemple des
produits nécessaires aux structures d’alimentation en eau potable tels les
réservoirs, l’aménagement des forages, des récipients. Dès que leur capacité de
production ne leur permettra, commenceront-elles la fabrication des systèmes
sanitaires et d’autres articles parmi lesquels des foyers à cuisine à rendement
élevé, des dalles pour les pavé des pistes à piétons et bicyclettes, des
éléments de construction etc. Supposant que des dépôts d’anhydrite se trouvent
dans la zone du projet, la production de tels articles aurait lieu sans qu’on
ait besoin de monnaie formelle.
3.3
Impact durable.
Le
projet ne s’occupe pas de toutes les initiatives qui pourront avoir lieu dans
le cadre des structures créées dans la zone du projet, car elles sont aussi
variées que les désirs et l’imagination des habitants. Tout service retenu par
les habitants d’importance primaire peut être en principe encadré dans le
projet. Au cas du projet (nom du projet) prévoit-on par exemple l’établissement
d’une petite station radio locale. D’autres initiatives typiques comprennent la
mise en place de points de pasteurisation et vente du lait, la création de
facilités de stockage pour les aliments destinés à la consommation locale, la
création d’une banque de semences, le drainage et la formation des places de
marché. Pour quelques’une des ces initiatives a-t-on prévu une voix à part au
bilan ; les autres auront lieu dans le cadre des structures mises en place
du projet.
Les
contributions faites par les habitants dans le Fonds Coopératif de
Développement Local permettent la création progressive d’un fonds en compte
capital important ((Euro 3.750.000) environ sur 10 ans) à couverture des
extensions des services et du renouvellement à long terme des structures en
compte capital. Jusqu’au moment où l’on n’en ait besoin, ces fonds sont
recyclés sans intérêts pour le financement des micro-crédits. Au moment
d’utilisation de tout ou d’une partie du capital du fonds, le montant y
disponible pour les micro-crédits se réduit provisoirement. Puisque les
familles continuent à payer leurs contributions mensuelles, le fonds se
constitue de nouveau, le montant disponible pour les micro-crédits s’augmente
de nouveau, jusqu’à ce que on n’ait besoin de faire de nouveau des
investissements en compte capital et de commencer un cycle nouveau.
La
vision d’intégration globale sur laquelle ce projet se base permet aux
habitants de recouvrir toutes, ou au moins une partie de leur contributions
mensuelles à travers des épargnes réalisées comme conséquence des résultats
directs du projet. À titre indicatif, les populations ne doivent plus par
exemple payer en monnaie formelle séparément de l’eau potable, ni acheter du
bois pour la cuisine, ni payer des frais pour le recyclage des ordures. Il se
peut même que le projet se qualifie pour des certificats CER de réduction
d’émission de CO2 sous le traité de Kyoto.
4.1. L’expérience du demandeur.
(liste
des organisations desquelles
La (nom
de
(liste
des parteneaires)
Cette crédibilité a
permis à l’ONG de réaliser certains projets et activités. Ainsi en
(Liste des activités de l’ONG
an par an)
1997 , création d’une banque cerèaliere à makalondi avec
l’aide de CARITAS NIGER.
-Aider les organisations paysannes à concevoir et
à exécuter des projets générateurs de
revenus.
-Promouvoir à la sécurité alimentaire, de l’élevage, de l’artisanat ,de
la transformation ,conservation des produits agro-pastoraux.
-Susciter l’épargne aux niveaux des groupements
afin de permettre l’accès au crédit interne et externe pour le développement de
leurs activités.
-Lutter pour la protection et l sauvegarde de
l’environnement (désertification,faune …)
-Sauvegarde
des structures naturelles de la zone du projet, et en particulier (noms
des éventuelles structures spécifiques importantes).
-Aider à la promotion des annonces féminines.
Les
nouveaux concepts lancés dans le cadre du projet (nom du projet) permettent à
la (nom de
4.2.Expertise
technique suffisante pour mettre en œuvre l’action.
Les
responsables des structures sociales, financières, productives et de service
mises en place deviennent elles-mêmes responsables de façon autonome de la
plupart des activités et des travaux pour le projet. Un seul coordonnateur
exécutif avec le support d’un consultant, et l’assistance sur quelques mois de
trois spécialistes suffit pour l’exécution formelle du projet. Vue la
profondeur à laquelle l’eau se trouve dans la zone du projet, a-t-on au cas du
projet (nom du projet) besoin aussi de quelques services d’une société de
forages. Le coordonnateur et ses assistants sont “le gouvernement”,
l’exécuteur du projet. Ils sont indépendents de
Pour
les garanties financières nécessaires a-t-elle le support de (nom de Banque)
Pour advis peut-il cas échéant
obtenir les services des associés nommés au point 4.1 ci-dessus. Elle possède
des propres moyens de transport toutes-saisons pour effectuer des contrôles
systématiques sur site, au cas où il préfère ne pas se servir des structures du
projet.
Le coordonnateur nommé à
l’endroit pour l’exécution du projet est
(nom coordonnateur), né(e) en
(description brève de la
carrière du coordonnateur nommé et de ses responsabilités actuelles)
Le consultant nommé ONG Bakens Verzet est l’auteur du Modèle innovateur de
développement intégré sur la base duquel ce projet a été rédigé.
07.01 Ménu de tous les documents nécessaires aux applications aux bailleurs de fonds.
Suite:
05.05 Le description du projet pour
les bailleurs de fonds.
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Liste de projets rédiges aux termes du Modèle.