ONG Bakens Verzet (“Une autre voie”)

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Edition 01: 20 Octobre, 2007

 


 

«L’argent n’est pas la clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »

Gesell Silvio, «The Natural Economic Order »

Version anglaise révisée, Peter Owen, Londres 1948, page 228

 

"À la fin, il s’agit d’aimer l’humanité. La liberté commence avec l’amour.

Notre défi est d’apprendre à aimer le monde."

L’écrivain Nigérien Ben Okri, ODE Magazine, Déc 2002-Jan. 2003, p.49

 


 

MODÈLE POUR PROJETS DE DÉVELOPPEMENT INTÉGRÉ AUTO-FINANCÉ ÉCOLOGIQUE ET DURABLE À FAVEUR DES PLUS PAUVRES AU MONDE

 


 

(IN ENGLISH)

 

 


 

COMMENT COMMENCER

Projets de développement intégré auto-financé, écologique et durable rédigés selon le Modèle portent à une amélioration  générale de la qualité de vie de tous les habitants de la zone du projet. Une approche plus générale aux problèmes du développement est, par consequence,  nécessaire. Un rôle important est réservé aux femmes et au développement de la productivité dans la zone du projet. Un système de sécurité sociale est créé et les structures de solidarité de la zone du projet sont renforcées.

Une zone de projet comptera de 50.000 à 70.000 habitants . Elle peut coincider avec tout ou une partie d’un district administratif, par exemple celui où le coordonnateur est le plus actif. Il n’y a rien de critique dans le nombre indiqué d’habitants, qui coincide avec celui des  cités “états” des anciens grecs. La population de la zone du projet doit être suffisament grande pour soutenir les différentes structures mises en place, et en meme temps d’une dimension telle que tous les habitants, s’ils le veulent, peuvent participer directement à la gestion  des structures et s’associer avec les activités qu’y ont lieu.

Dans le cadre de chaque zone de projet, un environnement financier coopératif, sans intérêts et sans inflation est créé. L’on crée des economies locales d’où la fuite financière est bloquée. Les montants réduits de monnaie formelle qu’y sont presents restent dans la zone locale du projet, où ils sont de continu recyclés. La fuite financière est due principalement aux intérêts (jusqu’au 40% du prix d’un produit industriel typique est constitué des intérêts accumulés), à l’énergie (toutes les sources d’énergie y compris les engrais pas produits dans la zone du projet même), et à la santé ( medicaments importés dans la zone du projet et souvent de l’étranger). On trouve des articles sur tels aspects financiers  auprès du website www.flowman.nl.

Chacune de ces économies locales doit avoir une salde financière qui tende vers le zéro .

a) Les systèmes de monnaie locale à l’intérieur d’une zone du projet doivent avoir une salde à zero entre eux.
b) Les systèmes de monnaie locale à l’intérieur d’une zone du projet  doivent avoir une salde à zero vis à vis les autres systèmes de monnaie locale hors de la zone du projet.
c) Le système de monnaie formelle à l’interieur d’une zone de projet doit avoir une salde à zéro vis à vis le système de monnaie formelle au niveau national du pays où le projet a lieu.
d) Le coût des biens et des services importés dans a zone du projet de l’étranger doit être équilibré à zero à travers l’exportation de biens et de services de la zone du projet hors du pays où le projet a lieu.

Comment est-ce qu’on crée les économiqes locales?

On crée une série de structures sociales, financières, productives et de service dans la zone du projet. L’ordre de séquence de la création de telles structures est critique au succès du projet.

1) Les 05.12 clubs d’hygiène sont établis. Les clubs d’hygiène se réfèrent à des groupements de 40-50 familles (200-300 personnes) à servir d’un réservoir  de fourniture en eau potable dont la gestion est contrôlée d’une commission réservoir  ou commission de développement local. Les clubs d’hygiène sont importants car ils constitutent une plate-forme qui permet aux femmes de s’organiser pour qu’elles puissant participer personnellement aux structures et voter en bloc pendant les réunions. Le problème du rôle joué des femmes au développement est résolu de cette manière et les femmes peuvent prendre la plupart des responsabilités pour la gestion du projet. Les dépenses initiales des clubs d’hygiène sont couvertes des fonds du projet jusqu’à la formation du système de monnaie locale. Il est evident que le système de fourniture en eau potable prévu n’est pas encore en place. Il est en effet l’une des dernières structures de la sequence prévue  du projet.

 2) Un fois en function les clubs d’hygiène peut-on établir les 05.13 commissions réservoir ou commissions de développement local.. Les commissions reservoir sont elles aussi basées sur le même groupe de 40 familles (200-300 personnes) . Les populations décideront combient de membres feront partie de leur commission reservoir. On prévoit une participation typique de 3 à 5 membres. La commission reservoir est le cœur battant du projet. Ces  fonctions sont décrites à la section 05.13 Les Commissions Réservoir et illustrées dans le schéma Les Structures Clef. Les dépenses initiales des commissions réservoir sont couvertes des fonds du projet jusqu’à la formation du système de monnaie locale. À travers les commissions réservoir procède-t-on à la constitution des autres structures sociales prévues, c’est à dire 05.14 les commissions forage, la 05.15 commission centrale avec la direction centrale, et, plus tard  06.16 les structures de sécurité sociale.

3) Une fois formées les commissions réservoir, peut-on passer à la formation du système de monnaie locale 05.21 SEL-LETS. La pauvreté t souvent associée avec un manqué chronique de monnaie formelle, en (pays) (monnaie). Lorsque les populations ne possèdent point de monnaie formelle en (monnaie), elles ne peuvent pas faire des transactions pour la vente et l’achat de biens et de services. Pourtant, l’absence de monnaie formelle ne signifie pas qu’elles n’ont pas de biens et de services à vendre où qu’elles n’en ont pas besoin. Le système de monnaie locale donnent aux populations un moyens d’échange pour tous les biens et services produits et consommés dans la zone du projet. Il s’agit à ce point de se server des technologies qui permettent la production de la plupart des biens et services nécessaires au développement local avc 100% de valeur local ajoutée dans la zone du projet. Tels biens et services peuvent être produits, installés, maintenus, et payés dans le cadre du système de monnaie local, sans qu´on ait besoin de la monnaie formelle. Par exemple, au cas du prèsent projet, les structures d´assainissement peuvent être réalisées, installées et maintenues   dans le cadre du système de monnaie locale sans qu´on ait besoin d´une centime de monnaie formelle. Les frais de gestion du systéme de monnaie locale sont couverts du systéme de monnaie locale lui-même.

4) Une fois en place le systéme de monnaie locale, peut-on distinguer entre ce qu´on peut et ne peut pas faire dans son cadre. Le moment est arrivé  pour réaliser la 05.22 sructure coopérative de micro-crèdits sans intérêts. Cette structure met les contributions payées des populations dans le Fonds Coopératif de Développement Local en recyclage continu et sans intérêts pour des crédits à financement des activités productives durables. Les crédits sont destinés à l´achat de biens (et de services) qui ne peuvent pas être mis à disposition dans la zone du projet. Le système de micro-crédit prévoit un financement moyen total sans intérêts pour au moins (€ 2600) par famille pendant le permier cycle de dix ans de fonctionnement des structures du projet. Le vrai montant à mettre à la disposition des familles sera vraisemblablement bien supérieur à (€ 2600) car ce montant est basé de manière conservative sur une période moyenne de reimbursement de deux ans. Les frais de gestion de la structure des micro-crédits sont couverts du système de monnaie locale. Le système des micro-crédits sera auto-géré de structures réalisées des habitants eux/mêmes.

5) Une fois réalisés le système de monnaie locale et le système des micro-crédits, peut­ -on établir les unités de production  05.31 d´articles composites de gypse.  D´entre les articles prioritaires pour la production dans ces fabriques sont ceux nécessaires aux structures de fourniture en eau potable tels les réservoirs à eau, récepients à eau, les aires de lavage, les margelles des pompes manuelles, les support des panneaux photovoltaïques. À peine leur capacité le leur permettra, commenceront-elles la fabrication des structures d´assainissement écologique, et d´autres articles tels les foyers à rendement élevé.

6) Des structures coopératives sans intérêts telles les `self-terminating building societies` peuvent être créés au niveau des commissions réservoir, et/ou au niveau des commissions forage, et/ou au niveau de la direction centrale du projet pour financer l´achat  sans intérêts de sytèmes solaires doméstiques et d´autres structures de génération locale d´énergie renouvelable d´intérêt particulier aux populations dans la zone du projet.

à part les structures nommées qui sont à la base d’une qualité de vie améliorée, telles l’éducation à l’hygiène, la fourniture en eau potable, l’assainissement, l’éclairage pour les etudes, le foyers améliorés, etc. le Modèle ne tente de faire aucune prevision des initiatives qui pourront être enterprises des habitants dans le cadre des structures mises en place pendant l’exécution du projet. Telles initiatives sont aussi variées que les cerveaux et les exigences exprimées des populations.

Les projets mobilisent directement le 10% circa de la population adulte de la zone du projet. Le 90% restant des habitants y sont intéressés  de façon plus indirecte. On attend que le chômage dans la zone du projet soit éliminé au cours des permiers quatres ans . Les structures financières sont décrites dans les articles sur des sujets spécifics. D’intérêt particulier sont:

a) L’application du principe de compensation à travers duquel les épargnes faites dans un secteur du projet couvrent les frais à charge d’autres secteurs, et
b) Les nouvelles possibilités offertes du traité de Kyoto à travers la vente des certificats (CER) de réduction des émissions du carbone.

Aux termes du principe de compensation, les contributions mensuelles faites des habitants dans leur Fonds Coopératif de développement local sont couvertes des épargnes sur leurs dépenses actuelles. Par exemple, les familles qui actuellement dépensent une partie importante de leurs revenus sur le bois à cuisine, sur l’achat de l’eau potable ou sur l’achat des médicaments n’auront presque plus de telles dépenses une fois en function les structures du projet. De l’argent formel des familles est alors mis à la disposition pour d’autres dépenses. On ne se servira plus du bois pour la cuiaine. Il sera remplacé des mini-briquettes produites dans le cadre des systèmes de monnaie locale. Les frais relatifs à la fourniture en eau et à l’entretien des structures sont déjà compris dans les contributions mensuelles prévues. L’augmentation de la qualité de vie générale (education à l’hygiène,  fourniture en eau potable, assainissement, elimination de la fume dans les ménages, une diète plus variée etc) devrait comporter une forte réduction de l’incidence des maladies, et à une reduction des médicaments nécessaires.

Quelques activités des projets portent à des réductions des émissions de CO2. Celle principale est l’utilisation de foyers à rendement élevé. D’autres exemples sont le remplacement des systèmes d’éclairage à kérosène avec les systèmes solaires domestics, et le remplacement de quelques structures pour la fourniture en eau avec des systèmes avancés de pompage à énergie solaire. Telles activités se qualifient en principe à l’émission de certificats CER aux termes du traité de Kyoto, qui pourront être revendus aux pays industrialisés. La valeur de tels certificates pourrait meme suffir pour payer le projet. Le problème pourtant est que les procédures aux termes du traité pour les projets de réduction des émissions de CO2 de petites dimensions sont toujours  maldroites et chères.

Pour commencer :

Une ONG (d’habitude une ONG déjà sur lieu qui est bien connue aux populations et qui a leur confiance) fera un parténariat avec une agence  plus grande au niveau national ou éventuellement international qui a accès aux bailleurs de fonds. Le parténariat sera responsible devant les bailleurs de fonds du projet. Il nommera un coordonnateur du projet, lequel, pendant la période d’exécution du projet, ne peut pas être member de la ONG ou du parténariat. Le parténariat et le coordonnateur deviennent des contrepartis : le coordonnateur est responsible de l’exécution du projet (avec le rôle du “gouvernement”) tandis que le parténariat est le contrôleur (ou le “parlement”) Le Modèle donne les details complet des structures de l’audit prévues. Une fois accepté (adopté) le projet (“la loi”) le parténariat (“le parlement”) le passé au coordonnateur (“le gouvernement”) pour l’exécution. À partir de ce point, le parténariat  en contrôlera l’exéution mais n’y participera pas.

Un projet selon le Modèle est rédigé sur la base d’un questionnaire avec une liste des informations demndées. Ces informations peuvent être fournies du coordonnateur dans quelques heures, car il devrait posséder déjà une bonne connaissance directe de la zone du projet. Le coordonnateur (avec ses assistants) pourra rédgier une première version du projet sujet aux modifications éventuellement demandées des populations locales.

Le texte du projet est adopté de la ONG et du parténariat qui en avancera demande de financement dans le cadre d’un programme pays d’un pays donateur partenaire du pays où le projet aura lieu, ou d’un partenaire du parténariat, ou d’une agence internationale. Les projets aux termes du Modèle répondent à toutes les priorités déclarées au niveau international relatives aux projet de l’aide au développement.

Le financement peut bien avoir lieu par moyen d’un prêt sans intérêst (seed loan) sur dix ans. Il est évident qu’un financement moyennant un don permettra un développemnt intégré local encore plus rapide à moyen terme.

 


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