ONG Stichting Bakens Verzet (Une Autre Voie), 1018 AM
Amsterdam, Pays Bas.
01. Cours e-learning : Diplôme de Développement Intégré (Dip. Dév.Int)
Édition
01: 25 Janvier, 2011.
Édition
02 : 07 Février, 2011
Valeur attribuée : 05 points sur
18
Travail prévu : 125 heures sur
504
Les points ne sont attribués
qu’après le complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 : Les aspects
économiques.
[Valeur 03 points
sur 18]
[Travail prévu : 85 heures sur 504]
Les points ne sont attribués qu’après le
complètement réussi de l’examen consolidé pour
Bloc 8 :
Les aspects économiques.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
04. Les activités CDM à petite
échelle.
05. Les programmes d’activités (PoA).
10. Graphiques et conclusions.
Sect. 5 : Protocole de Kyoto : Analyse des possibilités de financement. (Supplémentaire)
1. Introduction.
L’utilisation des bambous pour
les projets d’afforestation et reforestation (AR) dans le cadre de projets de développement
intégré résulte importante aux fins du financement CDM
aux termes du Protocole de Kyoto.
Pour des informations détaillées
sur le potentiel des bambous pour les projets CDM (AR)
voir : Lobovikov, M., Yiping,
L., et al, The poor
man’s carbon sink. Bamboo on climate change and poverty alleviation, Organisation des Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture
(FAO), Forestry Department,
Non-Wood Forest Products, document
de travail no. 8, Rome, 2009. Cette œuvre comprend une bibliographie complète relatif
au sujet avec quelques 160 ressources référées. Une deuxièe
ressource de bonne qualité est Yiping L. Yanxia L. et al, Bamboo and
Climate Change Mitigation, International
Network for Bamboo and Rattan (INBAR), Beijing, 2010.
La productivité annuelle du bambou
varie entre les 5 et les 12 tonnes of biomasse par hectare avec 2000-10000 pousses
par hectare. Telle production représente de 9 à 22 tonnes de CO2 par hectare par an. Les projets à faible ampleur couvrent
des épargnes jusqu’à 15000 tonnes de CO2 par an. Cela
signifie qu’une superficie de plantation d’au moins
Un projet de développement se
constituera de 200 environ d’unités de développement local chacun avec +/- 50
familles (soit 250 personnes). Les racines des bambous se trouvent à la superficie
des sols. Les plantes ont besoin de soins au cours des saisons sèches. Chaque
unité locale de développement devra s’occuper d’une superficie minime de
Puisque les projets de bambou fournissent
des revenus CDM à terme bref, soit au cours de première
sept années d’exploitation, les revenus en seront d’habitude dédiés au remboursement
des fonds initiaux d’investissement en compte capital du projet de développement
intégré en question. Suite au remboursement des capitaux initiaux, les revenus
successifs seront payés à l'Association coopérative pour la gestion permanente
des structures du projet. Tous les habitants de chaque zone de
projet sont de façon automatique des membres de
Supposant la mise en œuvre de
jusqu’à 2500 projets de développement intégré en Afrique de l’Ouest (exclus le
Nigeria et le Ghana) le schéma des plantations bambou donnerait un résultat
dans l’ensemble d’au moins Euro 3.675.000.000. L’application généralisé
des concepts en Nigeria et en Ghana en fournirait autant. Les pays pauvres ne
sont pas tenus à payer des frais d’enregistrement ni les frais d’émission. Le montants cités restent toutefois des indications lourdes,
car ils sont sujets à la déduction des frais de validation et de vérification
demandés par les Entités Opérationnelles Désignées. L’on se confie que tels frais puissent être réduits
à un chiffre nominal dans le cadre d’une convention générale de travail au
niveau sub-régional.
2. La
culture des bambous : exigences en eau.
Un désavantage de la culture des bambous est qu’ils ont besoin de
bonne fourniture en eau, laquelle n’est pas toujours le cas dans les pays en développement,
surtout dans les pays à zones arides et semi-arides.
Our des raisons écologiques
les projets de développement intégré ne prévoient pas de systèmes d’irrigation
extensive au niveau industriel. Cela veut dire que les eaux de pluie dans les
zones à déficit en eau devront être supplémentés par de l’irrigation à gouttes
appliquée manuellement, le cas échéant à travers le recyclage des urines et des
eaux grises fournies par les ménages.
Pour d’autres informations
sur les exigences en eaux des cultures de bambou et leur distribution à travers
l’année voir : Aspects of Bamboo
Agronomy, Kleinhenz B. and Midmore J., Academic Press, North Rockhampton,
2001.
L’humidité
minime annuelle prévue pour les bambous est
Supposant des densités de
plantation typiques de 1000-2500 plantes par hectare (espèces monopodiales) et
150-300 touffes par hectare (espèces pachymorphes) la
superficie y intéressée au niveau de chacune des +/- 200 unités de gestion locale
serait de 650m x 650m
environ.
Les plantes de bambou répondent
bien à l’application de toute sorte de lisier organique. Le carbone de
bois des bambous fixe du carbone dans les sols avec un
bonne rétention de l’humidité et de nutritifs.
Pour
plus de détails voir la partie 4 de la section 09 09-04. Small-scale agro-forestry
activities – such as distributed bamboo plantations on grasslands and
croplands.
3. Les caractéristiques
principales du bambou.
[Traduction de l’anglais par Stichting Baekns Verzet]
“Les bambous
fournissent des matière premières pour 1500 produits commerciaux connus (Scurlock, Dayton et al. 2000). Tels produits comptent des
articles artisanaux tels les paniers tressés, les
pousses de bambou comestibles produites par 200 espèces, à de biens industriels
à valeur élevée tels la pâte de bois, papier, textiles, biocombustibles,
carbone de bois, logements, panneaux, revêtement de sol, et meubles (Lobovikov, Paudel et al. 2007) ”
[Lobovikov, M., Yiping, L.,
et al, The poor
man’s carbon sink. Bamboo on climate change and poverty alleviation,
p.13.] En
principe, là où les bambous sont utilisés pour la production de biens durables,
de pourcentages importants d’épargnes de carbone peuvent être stockés dans les
produits sur une période à long terme. Il faut remarquer cependant, que les
produits dérivants du bois récolté ne sot pas encore acceptés pour les calculs au termes du Protocole de Kyoto, bien que cette question se trouve en phase de débat.
Les plantations de
bambou produisent des possibilités variées pur la création de nouvelles
occupations.
La floraison des plantes de
bambou est à éviter. Comme est le case avec les herbes
communes, la floraison en peut porter à la fin du cycle de vie de la plante. La
morte de la plante, porte à la perte du carbone y séquestrée. On relève en même
temps que la floraison des bambous n’a lieu qu’une fois tous les 30 ans.
Les caractéristiques
des bambous contre le changement du climat [ pris de Lobovikov, M., Yiping, L., et al,
The poor
man’s carbon sink. Bamboo on climate change and poverty alleviation,
cité ci-dessus, Table 3, p.28]
[Traduction de l’anglais
par
Attribut |
Avantage |
Désavantage |
|
|
|
Rotation brève. |
Fournit des revenus à
temps bref; flexibilité d’utilisation des terres et exportation élevé des nutritifs;
fréquence élevée d’adaptation aux changement de climat; conséquence de la perte
des plantations; petite échelle pour opérations productives continues; s’adapte
bien aux périodes de calcul des bénéfices et au concept tCER;
est bien adapté à l’intensité de l’investissement en compte capital ; exposition brève aux risques. |
Réduit le potentiel pour
les interventions de dégradation du site, par exemple compaction de la zone; pas
de certificats l-CERs. |
Production continue. |
Revenus
économique continus, occupation, demande de main d’œuvre. |
|
Gestion inéquienne . |
Multitude de produits; aucune
récolte totale; moins de perte de
nutritifs et moins de détérioration des sols; sarclage, utilisation herbicides, risques
en phase d’établissement.. |
Difficulté accès à l’intérieur
des touffes sympodiales; monitorage plus bas et
plus difficile ; amincissement. |
Rhizomes persistants suite
à la récolte des pousses.. |
Déclin lente de la
biomasse et du carbone stocke: régénération facile. |
Peut empêcher l’utilisation
agricole intermittente ou successive. |
Pléthore de produits. |
Efficience de conversion
extrêmement élevée, pertes de conversion réduites; réaction flexible aux fluctuations
du marché; bénéfices économiques continus le long la chaîne d’approvisionnement
de l’industries artisanale à la production industrielle à grande échelle. |
|
Attrayant aux
consommateurs. |
Revenus économiques élevés
pour les produits de bambou, des T-shirts aux médicaments aux panneaux de
plancher. |
|
Substitut pour le bois. |
Réduit la demande du
bois. |
|
Établissement végétatif . |
À bon marche, facile, indépendant
des limitations de durée des semences. |
|
Main d’œuvre intensive. |
Crée soit des emplois que
des occasions de travail autonome ; sensible aux augmentations des salaires
sur échelle industrielle, capital
extensif; travail pour femmes et
jeunesse. |
|
Léger une fois séché à
l’air. |
Dérapage et transport
manuels, utilisation des animaux, aucune compaction du sol. |
|
Possibilité d’intégration
dans les schémas agro - forestiers. |
Réduit la culture à brûlage
et/ou la déforestation; opportunités pour adaptatio
aux changements du climat synergies mitigation/adaptation. |
Possibilité d’allélopathie (“invasion d’autres systèmes végétaux”). |
Beaucoup d’espèces, distribution
dans tout le monde. |
Adaptation aux sites spécifiques
et au changements de climat possible; utilisation comme espèces introduites; chevauchement
avec les pays CDM. |
|
Croissance rapide sous-sol. |
Réclamation des sites ;
accumulation des substances organiques et du carbone. |
Envahissant; rupture de
pente en présence de masses denses de racines. |
Plante type C3. |
Augmente la production à
concentrations plus élevées de CO2 . |
Plus sensible à la sécheresse
que les plantes C4. |
Anatomie et physiologie. |
Contenu de cendres, silice-
et eau comme biocombustible. |
Monitorage du carbone difficile ;
émissions de méthane et substances organiques
volatiles autre que le méthane; contenu cyanure. |
Sect. 5 : Kyoto Treaty : Analysis of possibilities for finance. (Additional)
03. Potential areas of
application of CDM mechanisms
to integrated development projects.
04. Small-scale CDM activities.
06. Selection of the CDM methodologies
for the applications listed
in section 03.
08. Notes specific to the role of bamboo
in afforestation and reforestation (AR) projects.
09. CDM funding
indications for the selected
applications and methodologies.
Examen Bloc 8 : [4 heures]
Examen consolidé : Section C. [6 heures].
◄ Huitième bloc : Sect. 5 : Protocole de Kyoto :
Analyse des possibilités de financement.
◄ Huitième
bloc : Bloc 8 : Les aspects économiques.
◄ Table matières pour le Diplôme du Développement
Intégré (Dip.Dév.Int)
«L’argent n’est pas la
clef qui ouvre la porte au marché mais la clenche qui la barre. »
Gesell Silvio, «The Natural Economic
Order »
Version anglaise révisée,
Peter Owen, Londres 1948, page 228
“Poverty is created scarcity” (La pauvreté
est la privation construite)
Wahu Kaara,
point 8 of the Global Call to Action Against Poverty, 58th annual NGO Conference, United Nations, New York 7 Septembre 2005.
Cette
œuvre est mise dans le domaine public aux termes d’une licence
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Commons Attribution-Non-commercial-Share Alike 3.0.